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Breizh Bretagne |
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Kastell-Aodren
Châtelaudren |
pajenn bet digoret ar 04 Genver 2005 | page ouverte le 04 janvier 2005 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 09/01/2019 20:42:45 |
Définition : commune
de la Bretagne historique, en évêchés de Trégor et
Saint-Brieuc. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor; chef-lieu de canton, sur le Leff. Superficie : 46 ha. Population : 900 hab. vers 1780; 1304 hab. en 1860; 900 hab. en 1863 (?); 1285 hab. en 1878; 1353 hab. en 1881; 1443 hab. en 1890; 1128 hab. en 1968; 973 hab. en 1982; 988 hab. en 1985; 947 hab. en 1990; 921 hab. en 1999; |
Armoiries; blason : "d'argent au chef de gueules" * Régis de Saint-Jouan : "Un sceau armorié, avec un chef, était utilisé par Henri d'Avaugour en 1229; ...; Les armes d'argent à un chef de gueules, qui étaient sous l'Ancien Régime, celles du comté de Goëllo et de la baronnie d'Avaugour, étaient déjà considérées comme celles de Châtelaudren en 1771". DM : 10 novembre 1975. * Éditions Flohic : "Ce sont les armes du comté de Goëllo et de la baronnie d'Avaugour". * Daniel Delattre (2004) : "d'argent plein au chef de gueules" ------------- * JC Even : "en arc'hant, e gab en gwad". |
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Paroisse : église sous le vocable de saint Magloire. |
Histoire : Le territoire de Châtelaudren fait partie du territoire de la confédération armoricaine des Ossismes. Il fait ensuite partie de la Civitas Ossimiorum dans le cadre de l'Empire romain.
Dès 385, sur décision impériale dans le cadre des réorganisations territoriales menées par Maxime, le territoire des Vellavii armoricains est morcelé en deux parties : - la moitié nord fait partie de la dotation de l'empereur Maxime à son beau-frère Conan, dans le cadre du territoire donné en charge aux Britto-romains sur les cotes de la Manche de la Civitas Ossimiorum, Conan lui même étant mis en charge du Tractus Armoricani et Nervicani, - la moitié sud est transférée à la Civitas Curiosolitum; dont le quartier général est désormais placé à Aleto / St Malo. --------------------- * Ogée (1780) : Châtelaudren; petite ville, avec châtellenie, sur la rivière du Liest, et sur la route de Rennes à Brest; à 7 lieues de Tréguier, son évêché, à 23 lieues 1/3 de Rennes, à et 3 lieues de Guingamp, sa subdélégation. Cette ville ressortit à Saint-Brieuc, et compte 900 habitants. M. le prince de soubise en est le seigneur. la cure est présentée par l'évêque. On y trouve un couvent de récollets, et les maisons nobles suivantes : En 1300, Bois-Boessel et les Fosses-Rafflé, à Yves de Bois-Boessel, qui eut un fils de même nom, d'abord évêque de Tréguier, transféré, l'an 1330, à celui de Quimper, et, trois ans après, à celui de Saint-Malo. Un des seigneurs de cette maison fut maréchal-des-logis d'Anne, duchesse de Bretagne et reine de France. La terre de Bois-Boessel a une moyenne et basse-justice, qui s'exerce à Saint-Brieuc et appartient aujourd'hui à Mlle de Brehant; en 1380, la Ville-Hernault, à François de Rosmarch; le Quintillic, en 1440, à Jean Josom; Châtelaudren, haute-justice, à M. le prince de Soubise; Perrien, haute-justice, à M. de Perrien; Kerdaniel, haute-justice, à M. de Guébriant; Kermartin, moyenne et basse-justice, à M. de la Nascol; Malros , moyenne et basse-justice, à M. [Legac] de Sevigné; Treguidel, moyenne et basse-justice, à M. de Tremargat. Cette ville tire son nom du château bâti [vers 447] par Audren (1), fils de Salomon, quatrième roi de Bretagne [fils aîné de Salomon I er]. Ce prince monta sur le trône l'an 445; peu après son couronnement, il fit élever le château de son nom, auprès duquel on construisit des maisons qui formèrent dans la suite une petite ville, qui depuis a toujours porté le nom de Châtelaudren, et fut réunie au comté de Guingamp, dont la seigneurie passa dans la maison de Penthièvre, par le mariage de l'héritière de ce comté, qui épousa, en 1034, Etienne de Bretagne, fils du comte Eudon, frère du duc Alain IV. Après ce mariage, Etienne prit le nom d'Etienne de Penthièvre, et la seigneurie de Châtelaudren devint le chef-lieu du comté de Goelo et de la baronnie d'Avaugour, située dans la paroisse de Plesidi*. En 1420, le château de cette ville fut démoli par ordre du duc Jean V, qui fit encore raser plusieurs autres places qui appartenaient aux seigneurs de Penthièvre, pour les punir d'avoir osé attenter à ses jours, l'arrêter et renfermer, le 13 février 1419, dans leur château de Chantoceaux, à cinq lieues de Nantes. Ce fut par cette démolition qu'on apprit qu'Audren, roi de Bretagne, était le fondateur de la ville dont nous parlons. On y trouva plusieurs pierres sur lesquelles ce fait était écrit et énoncé très-clairement. Audren mourut, l'an 464, dans la soixantième année de son âge et la dix-neuvième de son règne. Par lettres données au château de l'Hermine, à Vannes, le 7 août 1422 , Artur de Bretagne, frère du duc Jean V, reçut en partage les terre, seigneurie et châtellenie de Châtelaudren. Le 24 mars 1480, le duc François II créa François de Bretagne, son fils naturel, seigneur de Clisson, baron des seigneuries d'Avaugour, Châtelaudren et autres lieux. La mine de plomb qui se voit à un tiers de lieue au sud sud-est de cette ville, et dans son territoire, fut découverte, en 1762, par Valmont de Bomare, savant naturaliste. La dame d'Anican [Danican] obtint du Conseil la concession du terrain où se trouve cette mine, qu'on exploite depuis quatorze à quinze ans. Elle renferme des cristaux très-petits et très-durs, des galennes de plomb grenelées et tissues d'antimoine, et beaucoup d'argent; mais la quantité d'arsenic qu'elle contient a obligé les travailleurs d'en abandonner plusieurs endroits, pour s'attacher à quelques autres où le poison n'est pas si abondant. Le 18 août 1773, il survint après midi un orage et un tonnerre affreux, suivis d'un tremblement de terre et d'une pluie qui dura l'espace de trente heures; les eaux devinrent si grandes à Châtelaudren, où cet orage se fit principalement sentir, que la ville fut presque entièrement submergée, et plus de cinquante personnes des deux sexes noyées et ensevelies sous les ruines de leurs maisons, qui furent emportées par les eaux dans la nuit du 18 au 19 de ce mois. Un pont de pierre, bâti sur un petit ruisseau, proche les casernes, sous lequel il ne passait ordinairement que très-peu d'eau, fut ébranlé jusque dans ses fondements, et le moulin qui est à côté tout-à-fait emporté pur le débordement de l'étang sur lequel il était placé. Les maisons des deux côtés du pont furent enlevées avec la chapelle de l'hôpital. Les eaux enfin débordèrent de telle sorte, qu'elles montèrent trois pieds au-dessus de la couverture des halles; elles endommagèrent l'église de Saint-Magloire, et entraînèrent avec tant de rapidité un charriot qui était devant l'auberge du Lion-d'Or, chargé d'environ sept milliers, que l'on prétend qu'il fit écrouler deux maisons du bas de la ville. On le trouva, après l'orage, dans les prairies voisines, avec toutes les marchandises qu'il portait. (1) Sur Audren ou Audroan, voir l'intéressante brochure anonyme intitulée le Roi Audren, publiée par M. Baron du Taya. Rennes, Vatar, 1841 --------------------- * Marteville et Varin (1843) : CHATELAUDREN, ville; anc. par. de ce nom, aujourd'hui cure de 2è classe; chef-lieu de perception: bureau de poste et relai; brigade dc gendarmerie à cheval; bureau d'enregistrement. - Limit. : N. Plélo; E. Plélo, Plouagat ; S. et O. Plouagat. Superf. tot. 46 hect. 53 a., dont les princip. divis. sont : ter. lab. 19; prés et pat. 5; verg. et jard. 8; étangs 2; sup. des prop. bât. 4; cont. non imp. 7. Const. div. 276; moulins 2 (ayant entre eux cinq roues). Avant 1790, cette ville était en partie de l'évêché de Tréguier et en partie de celui de Saint Brieuc; elle est tout entière aujourd'hui dans ce dernier. On y comptait une paroisse, un couvent de récollets et une maladrerie à fondation commune et à présentation de l'évêque. 11 y a aujourd'hui deux églises desservies : l'une, Saint Magloire (est la cure); son autel, qui date de 1730, est dû au ciseau du sculpteur Corlay, natif de Châtelaudren; l'autre est Notre-Dame-du-Tertre. La tour de celle-ci menace ruine. C'était à Notre-Dame que l'on célébrait, le jour de l'octave de l'Ascension, le service pour les victimes de l'inondation de 1773. Le château qu'Audren avait fait bâtir était sur l'emplacement où l'on voit maintenant une coquette promenade qui sépare la ville, qu'elle domine, de l'étang qui en bat les murs. Au-dessous est le champ de foire. Selon M. Miorcec de Kerdanet, les monuments historiques trouvés dans les ruines de ce château consistent dans un buste de pierre, des inscriptions et une médaille d'or qui doit exister à la bibliothèque de Rennes, mais où notre collaborateur, M. Ducrest de Villeneuve, l'a cherchée vainement. Châtelaudren est à l'extrémité ouest de l'arrondissement de Saint-Brieuc; ce dernier se termine en effet au pont de Notre-Dame. Avant 1790 Châtelaudren était le chef-lieu de la baronnie d'Avaugour, dont le château était en Plésidy, et non eu Châtelaudren, ainsi que le dit notre auteur. Du temps où écrivait ce dernier cette ville n'avait peut-être pas de jardins, mais a présent elle en compte un grand nombre. Les pommiers de ses enclos jouissent même d'une certaine réputation. A Saint-Brieuc on estime fort la reinette de de Châtelaudren. L'ancienne mine de plomb argentifère était
sur les confins des paroisses de Plélo et de Plouagat,
au sud de Châtelaudren, et au lieu nommé la rue
Bourgeois, ou rue Bourgeas. On a imprimé qu'elle
fournissait de 7 a 12 onces d'argent par cent livres de
plomb. Un arrêt du Conseil, rendu le 6 septembre
1766, déclara, non Mme Danican, niais le sieur Nioiret,
seul concessionnaire de cette mine. --------------------- * Anonyme (1860) : "On assure que cette ville doit son origine Audren, prétendu roi de Bretagne, qui dut y construire, en 445, sur le bord de l'étang actuel, un château fort dont les ruines ont été rasées en 1803 et sur l'emplacement des quelles on a planté une jolie promenade. Châtelaudren était le chef-lieu de l'ancien comté de Goëlo". --------------------- * J. Rigaud (1890) : "ce château fut rasé vers 1420". --------------------- * Régis de Saint-Jouan, 1990 : "Il faut sans doute ne voir qu'une légende dans le récit de la Chronique de Saint-Brieuc : Audroenus rex quartus a Conano fuit; iste fecit castrum Audroeni prope Guingampum. ... La fondation du château aurait eu lieu, non au Vè siècle, comme on le croyait autrefois d'après le texte cité, mais au milieu du XIè siècle. Autour du château et de son église se construisit un bourg (burgum) protégé par une enceinte fortifiée (castrum)". --------------------- Maires de Châtelaudren : J.M Suant de la FOREST; J. HAMON; L. LE MIRAUX; F. CORBEL; G. CADIAU; J. de GESLIN; P. GAUTIER; G. CADIAU; J.M ARTUR; P.M BASTIOU; A. MOURIN-d'ARFEUILLE; |
Patrimoine.
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Étymologie : * Ogée (vers 1780) : "Cette ville tire son nom du château bâti (vers 447) par Audren, fils de Salomon, quatrième roi de Bretagne. Ce prince monta sur le trône l'an 445; peu après son couronnement, il fit élever le château de son nom, auprès duquel on construisit des maisons qui formèrent dans la suite une petite ville, qui depuis a toujours porté le nom de Châtelaudren ..." * Régis de Saint-Jouan (1990) : "Castellum Audreoni, 1137/1148; de castello Trehanni, 1150/1159; Castrum Audreni, 1189; Chastelaudrien, 1352; Chastel-Audren, 1420". * Bernard Tanguy (1992) : "Castellum Audroeni, 1148; ecclesia S. Maglorii de Castello Trehanni, vers 1150; Castrum Audrini, 1181; Castrum Audreni, 1184-1189; Castrum Audroeni, 1198; Castrum Audrain, 1202; ecclesiae de Castro Audren, 1202; Chastel Audran, 1296; Chastel Audren, 1420; en gallo : Le Chatè; en breton : Kastelodren". "Bien que d'anciennes chroniques en attribuent la fondation à un légendaire roi breton du Vè siècle, ce château doit son nom à un obscur seigneur du nom d'Audren, - anthroponyme attesté en vieux-breton sous la forme Altroen (de alt "élevé, haut" et roen "royal"). * Éditions Flohic (1998) : "de castel, château, et Audren, anthroponyme attesté en ancien breton sous la forme Altroen, de alt, haut, et roen, royal". * Hervé Abalain (2000) : "Castellum Audroeni en 1148; de Aodren, qui vécut au Vè siècle; cf. aussi Plaudren" * Daniel Delattre (2004) : "Castellum Audroeni en 1148. Castrum Audrini en 1181. Chestelaudrien en 1352. Chastel-Audren en 1420. Châtelaudren tirerait son nom de Kastell-Aodren, le château d'Audren. La ville semble donc devoir son nom au château féodal bâti par le comte Audren". ***** Commentaire JC Even : lorsque j'étais enfant puis adolescent, entre les années 1950 et 1960, je me souviens parfaitement que pour nous, jeunes bretonnants passés de force à la langue française, il était question de Châteaulaudren, ce qui nous valait automatiquement de passer pour les ploucs de service, sachant que les gens biens (?), pour faire plus propre en français, se forçaient à s'écorcher le gosier à dire Châtel-Audrein. En breton de la même époque, ma propre grand-mère, monolingue trégorroise disait : "Mont da Gastolodrenn" ( = aller à Châtelaudren) , dans lequel nous entendions plutôt Gastolodenn. |
Toponymie : |
Personnes connues | Tud brudet |
de
Bois-Boessel
évêque de Tréguier, puis de Quimper dès 1330, puis de Saint-Malo dès 1333. |
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Charles de Blois | |
Prince de Soubise | |
Famille d'Avaugour | |
De
Bois-Boessel
Maréchal des Logis d'Anne, duchesse de Bretagne et reine de France. |
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Mlle CUQUEMEL
née à Rennes; décédée à Châtelaudren; auteur de cantiques imprimés à Rouen, en 1711 et 1725. |
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Yves
CORLAY architecte, sculpteur. Tréguier, 17.06.1700 / Châtelaudren, 24.03.1776. |
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Gilles
KERMORVAN Général Châtelaudren, 1740 / Paris, 1817 |
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Jean-Marie
Beaudouin de Maison-Blanche député; auteur des Institutions convenancières; Châtelaudren, 09.01.1742 / Lannion, 06.12.1812 |
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Olivier
RUPEROU Assemblée législative, 1791; Député des Côtes du Nord, 1815-1820; Conseiller à la Cour de Cassation Châtelaudren, 25.06.1763 / Paris, 28.04.1843; inhumé à Châtelaudren |
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Joseph
HUBY homme de religion Châtelaudren, 12.12.1878 / Laniscat, 07.08.1948 |
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Mr ARRIBART
curé de Châtelaudren pendant 40 ans. |
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Avaugour "d'argent au chef de gueules" "en arc'hant e gab en gwad" |
Boisboissel "d'hermines, au chef de gueules chargé de trois mâcles d'or" "en erminoù, e gab en gwad karget gant teir mailhenn en aour" |
Joseph-François Micault né à Châteaudren en 1777; anobli e 1815 "d'azur au cygne d'argent se mirant au bord d'une fontaine de même, et accompagné d'un soleil d'or en chef" "en glazur, e alarc'h en arc'hant o velezouriñ e-barzh ur veunteun ivez en arc'hant, hag eilet gant un heol en aour ouzh kab" |
Rosmar "d'argent au chevron d'azur accompagné de trois merlettes de même" "en arc'hant e gebrenn en glazur, eilet gant teir moualc'henn ivez en glazur" |
Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Jumelage avec Lenggries, en Bavière |
Gevellidigezh gant Lenggries, e Bavaria |
i
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Coiffe de Châtelaudren. 1905
i 25.09.2011 |
Sources : * OGEE : Dictionnaire de Bretagne, vers 1780; * MARTEVILLE et VARIN, continuateurs et correcteurs d'OGGE, 1843. * Anonyme : Dictionnaire des communes des Côtes du Nord. 1860. * M.N Bouillet : Dictionnaire universel d'histoire et de géographie. Librairie Hachette. Paris. 1863. * Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. 1878. * J. RIGAUD : Géographie historique des Côtes du Nord. Imprimerie Francisque Guyon. Saint-Brieuc. 1890. * René COUFFON : Recherche sur les églises primitives. Sté d'Émulation des Cotes du Nord. 1945-1946) * Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970. * Larousse : Petit Larousse illustré. 1979. * Michel de la TORRE : Côtes du Nord; l'art et la nature de ses 371 communes. 1985. * Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes . Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990. * Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Cotes d'Armor. Chasse-Marée - Ar Men. 1992. * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Cotes d'Armor. 1998. * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. * Alain DAG'NAUD : Guide des lieux insolites et secrets de Bretagne. Universels Gisserot. 2002. * Daniel DELATTRE : Les Côtes d'Armor. Les 372 communes. Éditions Delattre. 2004. |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Châtelaudren / Kastell-Aodren
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