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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Nort-sur-Erdre

*Enorzh

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite 'des Pays de Loire', département de Loire Atlantique; arrondissement de Châteaubriand; chef-lieu de canton; sur l'Erdre.

Code postal : 44390

Superficie : 6656 ha.

Population : 3200 'communiants' fers 1780; 3180 hab. en 1800; 5765 hab. en 1876; 5445 hab. en 1881; 4147 hab. en 1954; 4436 hab. en 1968; 5050 hab. en 1982; 5362 hab. en 1991; 5885 hab. en 1999; 7781 hab. en 2010; 

* Froger & Pressensé (1996) : "de gueules au chaland contourné peint au naturel voguant sur des ondes d'azur"

Concepteur : Mr Georges Busson (1921). D.M. du 27 avril 1970. Enregistré le 13 mai 1970. 

* Delattre (2013) : "de gueules au chaland de sable voilé d'argent, sur une mer ondée d'azur, au chef d'hermine"

* JC Even : "en gwad e skaf ouzh kleiz en gwirion, war ur mor gwagennek en glazur; e gab en erminoù"

* Ogée (1780) : Nort; gros bourg, sur la rivière d’Erdre; à 5 lieus 2/3 au N.-N.-E. de Nantes, son évêché et son ressort; à 17 lieues de Rennes, et à 6 lieues 1/4 de Derval, sa subdélégation. On y compte 3200 communiants. M. de Goyon, maréchal-des-camps des armées du roi, est seigneur haut-justicier de cette paroisse. Il  s’y lient un marché tous les vendredis, et la cure est présentée par le chapitre de Nantes.

Les ponts de Nort, sur la rivière d’Erdre, furent commencés à bâtir en pierres de taille, en 1753, et ne furent finis qu’en 1775 : ils ont coûté plus de 150,000 livres à la province. Cette paroisse est divisée en trois parties, qui sont : Nort, Saint-Georges et le Port-Mulon. Ce dernier est comme le magasin d'une grande partie du bois et du charbon qui se consument à Nantes : on y amène aussi de ce port, par eau, le fer des forges de Moisdon et de Riaillé, et une grands quantité de charbon de terre, tiré de la mine de Languen *, située dans cette paroisse. C’est dans cette mine qu’il y a une pompe à feu très-curieuse; elle sert à pomper l’eau des puits, qui ont plus de trois cents pieds de profondeur. Cette mine fut ouverte en vertu des lettres patentes du 15 juillet 1746, portant permission à Simon Jarie d’avoir des ouvriers et de les occuper à tirer du charbon de terre dans la mine de Languen. Tous les vendredis de l’année, plus de deux cents marchands de beurre, de volailles et autres denrées des environs de Châteaubriand, de La Guerche, de Vitré, de Rennes, etc., viennent s’embarquer au port de Nort, pour se rendre à Nantes au marché qui s'y tient le samedi.

Le territoire de Nort est fort étendu; on estime qu’il a sept lieues de périmètre : il renferme plusieurs fiefs, qui relèvent du roi, de M. le prince de Condé et de plusieurs autres seigneurs; on y voit des terres en labour, des prairies, des landes immenses qui sont situées au nord du côté de Saffré, et quelques bois peu étendus. On trouve partout, dans le bourg de Nort, des tombeaux ou châsses de pierres ardoisines, dont on ne voit des pareilles qu’a trois lieues, vers Nozai, ce qui fait croire que ce ne sont pas des tombeaux du menu peuple, parce qu’il a fallu faire de grandes dépenses pour les faire venir à Nort. Il n'y a aucunes inscriptions sur les pierres, et les ossements qu’elles renferment sont entièrement consumés, à l'exception de quelques esquilles on de quelques dents. On peut conclure de là que l'endroit était plus considérable autrefois qu’il n’est aujourd'hui, et qu’il est un des plus anciennement habités de la contrée. Il y en a peu qui soient plus avantageusement situés, pour devenir ville avec le temps.

Le prieuré de Hénord, aujourd’hui Nord, fut fondé, en 1075, par les seigneurs du lieu, ceux de Cassum (c’est Casson ), et le recteur, qui y attachèrent des droits qu’ils avaient dans l’église de Saint-Christophe de Nort, à l'exception des dîmes, qu’ils se réservèrent. Quiriac, évêque de Nantes, approuva leur donation, et appela ce prieuré du nom de Saint-Georges.

La maison de Quiheix* appartient aux moines de l’abbaye de Meilleraye : on y voit une chapelle très-ancienne.

L’an 1480, Michel Guibé, évêque de Del, obtint l'église paroissiale de Nort par les minoribus.

Le château de Lussinière [Lucinière, aujourd’hui en Joué]* appartenait, en 1460, à Pierre de Cornullier, chevalier. Pierre, son fils, fut capitaine, en 1487, des arquebusiers à cheval de François, comte de Laval, seigneur de Chateaubriand. Pierre de Cornullier et Claude de Cornullier furent successivement trésoriers des finances de Bretagne. On commenç à démolir les fortifications du château de Lussiniere en 1589; mais quelques soldats, auxquels la défense de la place avait été confiée, empêchèrent qu’elle ne fut entièrement détruite. Pierre de Cornullier, abbé de Saint-Méen et de Blanche-Couronne, fut transféré de l’évêché de Tréguier à celui de Rennes, an mois de mars 1619. Jean de Cornullier, chevalier, seigneur de Lussinière, fut grand-maître des eaux et forets de Bretagne. Claude de Cornullier, président au Parlement, épousa Renée Haye de Nétumiere [Hay des Nétumiéres] . Toussaint de Cornullier fut président an même Parlement, et Pierre de Cornullier fut maître de l’oratoire de Monsieur, frère unique du roi. Cette seigneurie appartint encore à la même famille.  Le château de Montreuil* a aussi ses fiefs particuliers, et appartient à M. de Saint-Mars-Boux. En 1563, les calvinistes avaient un pasteur à Nort, mais sans titres.

* Marteville & Varin (1843) : NORT (sous l'invocation de saint Christophe); ville; commune formée de l'anc. par. de ce nom; aujourd'hui cure de 2è classe; chef-lieu de perception ; bureau d'enregistrement; bureau de poste; brigade de gendarmerie à cheval;  — Limit. : N. Joué, Saffré, la rivière d'Erdre; E. les Touches; S. et S.-O. Sucé, Petit-Mars, la rivière d'Erdre; O. Eric — Princip. vill. le Friche, la Brezardière, les Vigneaux, Saint-Georges, l'Isle, la Noë-Guy, Tomblehoux, la Poupinière, la Briaudière, la Dubertière, la Davitière, la Provostière, Languin, la Buissonnière, la Bellerie, le Plessis-Pas, Brunet. — Superf. tot. 6656 hect. 99 a., dont les princip. divis. sont : ter. lab. 3928; prés et pât. 1077;  vignes 210; bois 574; verg. et jard. 128; canaux de navigation 26; landes et incultes 317; étangs 4; chantiers 2; châtaigneraies 7; sup. des  prop. bât. 37; cont. non imp. 344. Const. div. 1233; usines 3; moulins 15 (de Franchault, de Galichet, de Pancante, de Quiheix, du Plessis-Pas, Brunet, des Brosses, à eau). Nort est une petite ville située dans une position agréable, sur la rive droite de l'Erdre, qui ne commence qu'en cert endroit à être navigable. Elle est partagée en trois quartiers, qui sont le Port-Mulon, Nort et Saint-Georges. Ce dernier communique à la ville par les ponts dont parle Ogée, et qui, commencés en 1753, n'ont eu leurs parapets posés qu'en 1819. Le Port-Mulon est toujours le quartier commerçant : c'est d'où partent pour Nantes les immenses approvisionnements de toutes sortes que l'arrondissement de Châteaubriand concentre sur ce point. Nort tend à s'agrandir de jour en jour, et partout on y voit surgir des constructions nouvelles et s'ouvrir des magasins élégants; sous peu, cette ville sera l'une des plus jolies du département de la Loire-Inférieure. — L'église est nouvellement construite. Elle a été commencée en 1839, sur un de ces plans modernes qui ,se rapprochent beaucoup du style grec. L'intérieur est orné d'un double rang de colonnes ; l'ordre ionique règne dans le chœur et l'ordre dorique dans la nef. Les bas-côtés font le tour du chœur, à la mode des basiliques; enfin, la coupole du sanctuaire, séparée de la voûte par un arc-doubleau, est d'un bel effet. Le clocher doit avoir 42 mètres d'élévation, dont les deux premiers tiers en pierre de taille et le troisième en fer. Il y avait autrefois en cette paroisse plusieurs chapelles : 1° le Pas-Durand, aujourd'hui abandonnée; 2° celle de la mine de Languin, qui sert aujourd'hui d'écurie; 3° celles du cimetière et de la Berthaudière, où l'on dit encore la messe de temps à autre. 

La seigneurie de Nort était autrefois partagée en deux. Le Pont-Hue était seigneurie du bas Nort et du ce,ntre; la Lucinière était seigneurie du haut-Nort. — Cette dernière, qui est actuellement dans la commune de Joué, est encore un joli édifice, bâti au sommet de l'une des collines de la rive gauche de l'Erdre, à environ 6 kilom. de Nort. — Les mines de Languin, dont parle notre auteur, avaient peu à peu considérablement déchu; leur exploitation était même entièrement suspendue, lorsqu'en 1828 M. de Granville se rendit adjudicataire de cette concession, qui ne contient pas moins ded 50 km. de superficie et qui s'étend à l'est jusqu'aux mines de Mouzeil (Voy. ce mot). M. de Granville entreprit de suite des fouilles et fit constater que sur certains points le filon n'avait pas moins de 10 mètres de puissance. Bientôt quinze ou vingt puits furent ouverts sur une étendue de moins de500 mètres carrés, et donnèrent  les plus beaux résultats. La mort de M. de Granville vint rendre ces travaux à néant. Plusieurs sociétés se formèrent de 1834 à 1837; mais ce ne fut qu'en 1839 que la concession fut divisée en deux. La partie ouest, contenant les anciens travaux, conserva le nom de Languin; la partie est prit celui de concession des Touches. L'exploitation est aujourd'hui en bon train, surtout depuis la concession de Languin à M. Després. — Les antiquaires ont tenté beaucoup d'étymologies sur le mot Languen, dont ils ont fini par faire territoire blanc, nom assez bizarre, on l'avouera, pour un terrain houiller, et qui est une erreur basée sur cette vieille idée que le Llan breton veut dire terre. Nous avons établi (voy. t. I, p. 425) que ce mot signifie église, chapelle, temple, nous voyons naturellement dans ce texte les mots chapelle blanche, qui durent être le nom priomitif et générique de la petite chapelle de Languen qu'on voit encore en ce lieu.

Aux terres nobles énumérées par Ogée, il faut ajouter la Gazoire, remarquable par plusieurs belles avenues, et la Bertaudière. Ces châteaux sont habités et bien entretenus. Montreuil subsiste encore, mais il n'est ni entretenu ni habité. Quiheix est en ruines, ainsi que la Ville-Neuve et le Vieil-Hôtel, ces deux derniers omis par notre auteur. L'époque des guerres de religion a été celle de la destruction de ces châteaux.

Nort a daté dans la guerre civile de 1793 par un assez beau fait d'armes.  Lorsque l'armée vendéenne songea à attaquer Nantes, une de ses colonnes se présenta aux portes de Nort, le 27 juin 1793. Depuis huit heures du soir jusqu'au lendemain matin, le 3è bataillon de la Loire-Inférieure, commandé par un Nantais, nommé Meurice, défendit le passage des ponts de Nort. Enfin, après dix heures de la plus énergique résistance, les républicains furent forcés d'abandonner la partie et la position, qui fut enlevée par M. d'Antichamp. Mais cette défense avait empêché le corps commandé par Cathelineau, d'Elbée et d'Antichamp d'être au commencement de l'attaque de Nantes, ce qui contribua puissamment  à faire échouer cette entreprise.

Nort, avons-nous déjà dit, est une petite ville très commerçante. Un beau bassin ou port y a été creusé récemment, pour satisfaire aux besoins toujours croissants de cette localité. Son champ de foire, qui est ouvert les premiers vendredis de janvier, février, mars, septembre, les 25 juins, 11 novembre, 8 décembre, est un des plus fréquentés de la Loire-Inférieure. Il y a marché tous les vendredis. La commune exporte des cuirs de ses produits, de la brique, de la faïence, ainsi que des houilles. Son agriculture aussi est florissante, et l'on commence à défricher les vastes communs qui si long-temps étaient restés incultes. Aussi elle regrette vivement que l'embouchure  du canal de Nantes à Brest dans l'Erdre, qui d'abord devait avoir lieu immédiatement au dessous de Nort, ait été reportée définitivement à 6 kilomètres plus bas. C'eut été pour cette localité une importante chose de l'entrée de ce canal juste à l'abord de son champ de foire et de ses chantiers. — Les routes royales n° 174, dite d'Angers à Brest, et 178, dite de Caen aux Sables-d'Olonne, se croisent à la porte de Nort, ce qui donne à cette ville quatre abords principaux. — Géologie : la roche dominante est le stéaschiste. L'amphibolide schistoïde se montre au nord-est de la ville, les argiles à l'ouest, et le micaschiste au sud. — Terrain houiller de Languin, courant de l'ouest à l'est. — Calcaire avec débris coquillers à l'écluse de la Robinière. A ce même endroit, quartz agathe pynmaque. — On parle le français.

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Château de Montreuil. Façade nord

(Wikipédia & Pinterest)

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Rue de la Barre

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Joseph-Marie-Emmanuel Herbert

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Les arches du canal

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* Ogée (1780) : Nort

* Marteville et Varin (1843) : Nort

* Jean-Yves Le Moing (1990) : Honort, XI, Enort, 1115, de Norto, 1330; 

* Abbé Alexandre Crépin :

- p. 7 :  "... in castro Honort", charte du XIè siècle"

- p. 7 : "Remarquons en passant que, du XIème siècle au XIVème siècle, le nom de notre territoire porte plusieurs noms à la fois, soit successivement, on l'appelle le territoire d'Honort, et d'Hénort, puis c'est Anort, Angnort, Auguenort, que sais-je ?".

" Enfin, au XIIIème siècle, on trouve plus simple de prendre le radical de ces divers noms et d'en faire Nort : "Chacun sait, lisons nous dans un acte du XVIème siècle, que Nort s'appelle Nort depuis trois cents ans".

- p. 10 : "... in castro Hénort", charte du XIè siècle"

* Erwan Vallerie (1995) : Honort, XIè; Enort, 1115; Anort, 1227; de Norto, 1330

* Éditions Flohic (1999) : "Peut-être de l'ancien français onor, fief"

Seigneur de Nort; féal du seigneur d'Ancenis

Aotrou Enorzh; leal aotrou Ankiniz

écuyer, seigneur de Montigné et de la Martinière (XIVè)

floc'h, aotrou Montigné ha la Martinière (XIVt)

seigneur de la Haudelinière

capitaine des arquebusiers à cheval du seigneur de Châteaubriant

aotrou la Haudelinière

kabiten akebuterien war varc'h aoutrou Kastell-Briant

Prêtre en 1889; missionnaire; vicaire de Guérande; vicaire de St Nicolas de Nantes (1899-1907)

Auteur d'une monographie de Nort.

Nort, 30.09.1864 / 22.02.1908

Beleg e 1889; misioner; vikel Gwenrann; vikel Sant-Nikolas Naoned (1899-1907)

Aozer un unskrid war Enorzh.

Enorzh, 30.09.1864 / 22.02.1908

Abbé; prêtre 

Nort, 12.07.1868 / ? 

Abad; beleg 

Enorzh, 12.07.1868 / ? 

"d'or à la croix de gueules, cantonnée de quatre lionceaux de même"

"en aour e groaz en gwad, heuliet gant ul leonig ouzh pep konk"

(PPC)

Maint. à l'intendance en 1702, ressort de Nantes.

D’argent à quatre pieds de vautour de sable, grilletés d'or, liés de gueules

En arc'hant e bevar bav-gup en sabel, grizilhonek en aour, staget en gwad

alias: 

D'argent à la croix de sable accompagnée de quatre pieds de vautour de sable, grilletés d'or, liés de gueules

En arc'hant e groaz en sabel heuliet gant pevar bav-gup en sabel, grizilhonek en aour, staget en gwad

- Trois auditeurs des comptes depuis 1672.

-- Pierre Bellot de la Hunaudais en 1672,

-- ???

-- ...

La branche de la Galmelière fondue en 1663 dans Fournier.

(PPC)

Déboutés à la réforme de 1670, ressort de Nantes

"d'azur au lion d'argent, surmonté d'une devise de même, chargée d'un croissant entre deux étoiles de gueules" 

"en glazur e leon en arc'hant, leinet gant un dreustellan ivez en arc'hant, karget gant ur greskenn etre div steredenn en gwad"

Devise / Sturienn : 

Virtute conciliatur amor

- Pierre, avocat au Parlement de Bretagne en 1598; auteur de plusieurs ouvrages de jurisprudence.

(PPC)

"écartelé, aux 1 et 4 : de gueules à trois haches d'armes d'argent; aux 2 et 3, trois huchets"

"palefarzhet, ouzh 1 ha 4, en gwad e deir c'hadvoualc'h en arc'hant; ouzh 2 ha 3, tri hucher"

alias / neuz all

" ... sur le tout : de Guibé"

" ... e-greiz : de Guibé"

références de 1429 à 1513

sceau / siell : 1516

(PPC)

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; 

* MM. A. MARTEVILLE et P. VARIN; continuateurs et correcteurs d'Ogée; 1843. 

* Adolphe JOANNE : Géographie du département de Loire-Inférieure. Librairie Hachette et Cie. 1884

* Adolphe JOANNE : La Loire Inférieure au XIXè siècle. 1874. continué et commenté par Christophe BELSER : Loire-Atlantique. Éditions C.M.D. 2000.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire Meyrat. Dictionnaire national des communes de France. 1970.

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990.

* Association HONORT : éditrice des cahiers : Histoire, Origine de Nort, Traditions. 

- n° 1 (1995) : Monographie de Nort, par l'abbé Alexandre CREPIN (1864-1908). 

- n° 2 (1995) : Histoire du Pays de Nort, par l'abbé Félix SAUTEJAUD. 

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez. Corpus. An Here. 1995

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes de Loire-Atlantique. 1996.

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes de la Loire-Atlantique. 1999.

* Daniel DELATTRE : La Loire-Atlantique. Les 221 communes. 2013

* lien communal : https://www.nort-sur-erdre.fr/

* Wikipédia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Enorzh

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much