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Noms de lieux

Noms de personnes

Breizh

Bretagne

Kernev

 

Penmarc'h

 

page ouverte le 24.05.2005 forum de discussion

* forum du site Marikavel : Academia Celtica 

dernière mise à jour 21/06/2012 20:21:53

Définition : commune de la Bretagne historique, en Cornouaille / Bro-Gernev. Évêché de Quimper.

Aujourd'hui dans la région économique dite "de Bretagne", département du Finistère, arrondissement de Quimper; canton du Guilvinec. (29760).

Superficie : 1639 ha.

Population : 1000 'communiants' vers 1780; 2681 hab. en 1878; 7320 hab. en 1970; 6921 hab. en 1979; 6272 hab. en 1990; 6032 hab. en 2005; 

Blason : concepteurs R. Montfort et B. Le Brun. Dessiné par Y. Gloaguen. Adopté par le Conseil Municipal le 9 avril 1984.

* M. Froger et M. Pressensé (2001) : "au 1 : d'azur à la nef d'or, grande voile carguée, au 2 d'hermine, au 3 d'argent à la croix de sable cantonnée de douze mouchetures d'hermines posées en 1 et 2 dans chaque canton, au 4 d'or à la tête de cheval arrachée de gueules". Devise : War raog".

* Éditions Flohic : 

Paroisse : sous le vocable de saint Nonna ou Nonnan.

Histoire; Archéologie

Le territoire de l'actuelle Penmarc'h fait partie de la Civitas des Ossismes. 

Dès 385, suite à la partition territoriale opérée par Maxime, elle fait partie de la partie sud de ce territoire, confiée à une unité maure. Ce territoire constitue l'image première de la Cornouaille, secteur restant aux Gaulois de la cité des Ossismes alors que des Britto-romains sont installés dans le nord de la même cité, entre les Monts d'Arrée et la Mer de Bretagne (= la Manche). 

De ce fait, Penmarc'h fait partie de l'évêché de Quimper.

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Notes historiques, tirées de Ogée (vers 1780) (réf. in fine) : 

" En 1400, demoiselle Claude du Juch était dame de Padanroux (Pratanroux), de Pozmellec, de K/uquel, de K/riant, de Coëtgolan et de K/valgan, maisons situées dans ce territoire, où l'on voyait encore les manoirs de Coëtcanton, de Pratauron, de K/aulan et de K/caradec. Le territoire de Penmarch est plein de démolitions. Les pierres, qui sont entassées çà et là les unes sur les autres, suffiraient pour bâtir une ville : on ne sait de quels édifices elles proviennent. Avant l'établissement de la pêche de la morue au banc de Terre-Neuve, on pêchait sur la côte, près Penmarch, beaucoup de merlus (merluche) qu'on salait, et qui servait de poisson de carême, comme la morue".

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Marteville et Varin (1943) : 

" Penmarc'h n'offre plus aujourd'hui que des ruines au milieu desquelles il serait difficile de retrouver la rue des Argentiers, la rue des Merciers, qui autrefois étaient le centre de cette population industrieuse. Çà et là cependant on voit encore quelques vieilles maisons, reconnaissables à leurs mâchicoulis et à leurs portes armoriées. — L'église paroissiale est aussi restée debout, et son style atteste qu'elle n'a été bâtie, pour ainsi dire, que pour être témoin de la ruine de cette brillante localité. On y voit une statue de saint Jean, en albâtre, statue qui jadis était à Kerity. « On trouve encore, dit Souvestre, dans l'église de Penmarc'h, une trace de l'ancienne splendeur de ce lieu : c'est un tableau représentant une procession de cardinaux. La tradition du chapitre de Quimper est que cette procession eut effectivement lieu à Penmarc'h, et que le tableau qu'on y voit fut fait pour en conserver le souvenir. On voit dans le fond de cette peinture l'église de Penmarc'h, qui est fort reconnaissable. Ou ignore à quelle époque cette procession eut lieu; mais les personnages du tableau portent le costume de Louis XIII. » Cette église , remarquable par ses sculptures, où, au lieu d'armes seigneuriales, se rencontrent à chaque pas de petits navire» attestant son origine industrielle, n'était  pas la seule qui servît au culte catholique; K/ili, Saint-Pierre, Notre-Dame-de-la-Joie, Saint-Fiacre, Saint Guénolé, étaient plutôt des églises que de simples chapelles : cette dernière surtout, qui n'a jamais été achevée, eût été un remarquable fragment d'architecture gothique, à en juger du moins par ses débris. K/ity appartenait, dit-on, aux Templiers; son église est d'un goût parfait, et de la bonne époque du XIIIè siècle. — Nulle partie de la côte de Bretagne ne présente un aspect plus beau et plus sauvage que la côte de Penmarc'h. D'énormes rochers, incessamment minés par le flot, exposés à toute la fureur des vents d'ouest et de sud ouest, forment à cette terre une effrayante ceinture de récifs au milieu desquels se fait remarquer la fameuse Torche de Penmarc'h, On donne ce nom à un rocher creux, séparé de la terre par un espace dit le Saut-du-Moine. La mer, en se précipitant sur cette masse, qui la divise et se couvre d'écume, produit un bruit sourd, dont la terre semble ébranlée. Ce hurlement de la mer, quoique effrayant à entendre de près, est cependant plus saisissant peut-être quand on le perçoit de loin. Parfois, en errant dans les campagnes clés environs de Quimper, on entend une sourde détonation, semblable au bruit lointain du canon. L'on interroge les paysans, et ils vous répondent en se signant : "C'est la Torche de Penmarc'h ; elle prédit des orages. » En effet, c'est surtout lorsque le vent d'ouest et de sud-ouest souffle que la torche est plus bruyante , et ces vents sont terribles pour tout ce qui approche de cette cote. —On dit que ce fut une tempête soulevée par ce vent qui détruisit en un jour toutes les pêcheries et toutes les barques de Penmarc'h, et en chassa pour toujours un banc de morue qui faisait sa fortune. Il est à croire plutôt que la perle de l'industrie delà merluche et la découverte de Terre-Neuve, aidées des ravages de La Fontenelle, ont porté à Penmarc'h un coup plus terrible que le vent d'ouest. — Rien ne peut peindre l'aspect désolé et mourant qu'offre ce lieu. Partout des ruines, des sables, des écueils, un ciel gris et le bruissement triste ou terrible de la mer. Cambry exprime ainsi l'impression que lui a causée la côte de Penmarc'h : « J'avais attendu le moment d'une tempête pour me rendre à Penmarc'h; je fus bien servi par les éléments : la mer était dans un tel état de fureur que les habitants du pays, accoutumés à ce spectacle, quittaient leurs travaux pour la contempler. — Tout ce que j'ai vu dans de longs voyages, tout ce que j'ai décrit dans ce mémoire, la mer brisant sur les rochers d'Altavelle et les côtes de Fer, à Saint-Domingue, les longues lames du détroit de Gibraltar, une tempête qui combla sous mes yeux le port de Douvres, en 1787, la Méditerranée près d'Amalphy, rien ne m'a donné l'idée de l'Océan frappant les rochers de Penmarc'h. — Ces rochers noirs et séparés se prolongent jusqu'aux bornes de l'horizon. D'épais nuages de vapeurs roulent en tourbillons; le ciel et la mer se confondent. Vous n'apercevez dans un sombre brouillard que d'énormes globes d'écume; ils s'élèvent, se brisent, bondissent dans les airs, avec un bruit épouvantable; on croit sentir trembler la terre. Vous fuyez machinalement; un étourdissement, une frayeur, un saisissement inexplicables s'emparent de toutes vos facultés ; les flots amoncelés menacent de tout engloutir; vous n'êtes rassuré qu'en les voyant glisser sur le rivage et mourir à vos pieds, soumis aux lois de la nature et de l'invincible nécessité.» —Une telle côte était ou du moins dut être un lieu favorable au culte farouche des druides; aussi à chaque pas on rencontre, sur cette terre désolée , les traces de cette religion inconnue. Un dolmen détruit en 1820 avait vu passer l'industrieuse cité, et était resté debout jusqu'à cette époque, au milieu des maisons de K/ity. Un menhir est près de la chapelle de Notre Dame de la Joie. Deux menhirs fort beaux bordent la route se Pont-l-Abbé, à son entrée dans le bourg de Penmarc'h; enfin, un beau dolmen est derrière le vieux manoir de Gouesnac'h, aujourd'hui converti en ferme".

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Adolphe Joanne. 1878. 

- page 24-25 : "Sur la pointe de Penmarc'h, là où le vent ne rencontre aujourd'hui aucun obstacle, existait au moyen âge une cité industrieuse dont les habitants pouvaient armer sept cent bateaux pour la pêche lointaine et fournir 3000 archers. Les ducs de Bretagne citent Penmarc'h dans leurs ordonnances, comme l'une des communautés les plus riches du duché. Cette ville, souvent désolée par les pirates et par les Anglais, fut définitivement détruite pendant les guerres de la Ligue, et aujourd'hui il n'en reste que deux hameaux, dont les six églises attestent l'antique origine, et rappellent l'importance de la ville de Penmarc'h".

- page 58 : "Penmarc'h eut jadis 10,000 h.; il y a 400 ans c'était une cité maritime presque aussi importante que Nantes. De cette grandeur passée il resre 6 églises et de nombreuses ruines entre Penmarc'h et Kérity, les deux principaux centres de la commune". 

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Liste des maires de Penmarc'h depuis 1870 ;
 
Vincent TANNEAU 1870/9 à 1878/12
Jean GUIZIOU 1878/12 à 1904/5
Émile POIRIER 1904/12 à1908/5
Guillaume DURAND 1908/5 à 1919/12
Pierre-Jean LARNICOL 1919/12 à 1935/5
Jean JEGOU 1935/5 à 1940/7
Yves-Joseph PERON 1940/7 à 1940/10
Joseph KERIVEL 1940/10 à 1941/3
yves-Joseph PERON 1941/3 à 1943/6
Jacques DESSOUDRE 1943/6 à 1944/10
Jean-Louis SOURON 1944/10 à 1945/5
Thomas DONNARD 1945/5 à 1965/3
Jos PERON 1965/3 à 1977/3
Roger COQUELIN 1977/3 à 1983/3
Pierre DRAOULEC 1983/3 à 1995/5
Corentin CADIOU 1995/5 à 2001/5
Jacqueline LAZARD 2001/5

source: Bulletin Officiel Municipal de Penmarc'h

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Photographie par Jeannine Auboyer. Extraite de Visages de la Bretagne. 1941.

Patrimoine. Archéologie

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Église saint Pierre Iliz sant Per
Église de Kérity (notée en l'état de ruine en 1878) Iliz Keriti (anavezet kouezhet en en boull e 1878)
Église saint Guénolé (restes) Iliz sant Gwenole (restachoù)
Église saint Nonna Iliz sant Nonna
Église sainte Thumette  
Chapelle saint Marc Chapel sant Mark
Menhir de l'Évêque Peulven an Eskob
Menhir de Kerscaven Peulven ar Werc'hez
Menhir couché de Kergedal Peulven Kergedal en e c'hourvez
Tumulus de Poulguen Tossen Poull-Gwenn
Chapelle de la Madeleine Chapel ar Vadalen
Chapelle Notre Dame de la Joie Chapel Itron Varia al Levenez
Chapelle saint Fiacre Chapel sant Fiakr
Manoir de Kerbervé  
Manoir de Gouesmac'h  
Manoir de Kerouzy Maner Kerouzy
Manoir de Pors Lambert Maner Porzh Lamberzh
Tour carrée An tour karrez
Phare d'Eckmühl, à Kerity Tour Tan Eckmühl, e Keriti-Penmarc'h

 

Schéma économique de la partie cornouaillaise de la Bretagne. Extrait de Visages de la Bretagne. 1941

Étymologie

* Marteville et Varin (1843) : "Penmarc'h, qui signifie en breton tête de cheval, était jadis une pêcherie florissante qui relevait au spirituel d'une paroisse qu'on retrouve indiquée dans les anciens titres sous le nom de Tréoultré".

* Bernard Tanguy (1990) : 

"PENMARCH ' ' PENMARH

" Trebotref, v. 1330; Tuortre Nabat, 1349; Treffuortre, 1368; Trouortreffnabat, 1389; Treuoltre, 1420; Treoultrenabat, 1443; bourg de Kerity en la par. de Treoultre, terrouer de Penmarc, 1592; Treoueltre, 1675; breton Tre(v)oueltre, Penmarh.

La commune de Penmarch comprend aujourd'hui les trois paroisses de Penmarch, Kérity et Saint-Guénolé. Celle-ci, ancienne trêve de Beuzec-Cap-Caval, placée sous le patronage du fondateur de l'abbaye de Landévennec, qui y avait des possessions, lui a été rattachée en 1789. Le nom de Penmarch, du breton penn "tête" et de mark "cheval", correspondant exact de Cap-Caval, était jadis la dénomination bretonne d'un terroir et sans doute à l'origine d'une pointe. L'une des roches formant le groupe des Etocs est localement appelée Penmarh-Koz, "le vieux Penmarch".

Le nom de Penmarch s'est substitué à partir du XVIIIe siècle à celui de Treoultre qui primitivement désignait le quartier du principal des trois bourgs de la paroisse, les deux autres étant ceux de Kérity et de Saint-Pierre. Ce nom était aussi celui d'une des "parcelles" ou quartiers de Beuzec-Cap-Caval (cf. Plomeur), dit Trevostre-Beuzec en 1426, par opposition à Gorré-Beuzec, Creiz-Beuzec, et Treffrumon (Saint-Jean-Trolimon); un document de 1540 parle du bourg parrochial de Treoultre. Ce nom paraît être un composé formé du moyen-breton treff "quartier" et de guor-treff "village principal" (du vieux-breton guor, préfixe à valeur superlative). Possession de l'abbaye de Loctudy, Trévoueltré eut droit au qualificatif de Nabat, du breton an abat "l'abbé". C'est à Trévoueltré que se trouvait l'église paroissiale dédiée à saint Nonna, altération de saint Onna, éponyme de Logonna-Daoulas et de Logonna-Quimerch (cf. ces noms). L'îlot situé en face de Penmarch, appelé Enez-Nonna, a sans doute hérité du nom du saint patron de l'église.

Kerity avait sa chapelle placée sous le patronage de sainte Thumette, en breton local Tunve, éponyme de Landunvez (cf. ce nom). Homonyme de Kerity (C.-d'Ar.) — noté Keriti, Quirithi entre 1184-1189; Queriti, en 1198, Carrti, Keriti en 1202 —, de Kériti, village de Plougrescant (C.-d'Arm.), et de Kérity, village de Plonéis, le toponyme paraît être un composé formé avec le breton ti "maison" et, peut-être, un équivalent du gallois cariad "charité".

* Éditions Flohic (1998) : "du breton penn, tête, pointe, et marh, cheval".

* Hervé Abalain (2000) : 

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Observation JCE : noter que le nom de Kerity est apparemment rattaché aux Templiers. Ceci explique sans doute l'étymologie en "Maison de charité" = *cariad-ty.

Personnes connues Tud brudet
 Demoiselle Claude du Juch, dame de Pratanroux, de Pozmellec, de Keruquel, de Keriant, de Coëtgolan, et de Kervalgan.  Dimezell Klaoda a Iuc'h, itron Prat ar Rouz, Porzh-Melleg, Ker-Rugel,  Kerian, Koadgolan, ha Kervalgan.

i

 

Vie culturelle et associative Buhez gizioù ar vro ar gevredadoù ha
Penmarc'h, vu par Gustave Geffroy Penmarc'h, gwelet gant Gustave Geffroy
La complainte de Penmarc'h Gwerz Penmarc'h 

 

La planche ci-contre montre l'évolution de la coiffe bigouden de 1840 à nos jours : 

A. 1840. La coiffe à pointe proéminente qui apparaît à cette époque est à l'origine du nom de bigouden, donné alors à la population du Cap Caval. Les cheveux coiffés en catogan sont retenus par une forte résille. La coiffe est maintenue sur la tête par un lien, indépendant, noué sous le menton. 

B. 1845-50. Le lien fait partie de la coiffe qui recouvre en partie une sorte de calotte «à la grecque». (?) 

C-D. 1850-60. Le coëjf-bléo apparaît, la coiffe prend de l'importance, sa forme se précise. La calotte n'est
plus portée que pour les fêtes. Le lien redevient indépendant.

E. 1865-70. Le bandeau de velours remplace la calotte à la grecque, qui disparaît définitivement. 

F-G. 1875-80. La forme conique de la coiffe s'affirme. A la même époque apparaît le dal-léden qui dissimule le bandeau de velours ; celui-ci ne sert plus qu'à assurer la fixation de la coiffe. H. 1880-1900. Le dal-léden prend de l'importance.

I.-J. 1900-10-20. La partie antérieure de la coiffe grandit, le dal-léden diminue progressivement. 

K. 1920-30. La coiffe grandit encore ; le coëff-bléo est moins apparent. 

L. 1930-40. La coiffe atteint ses dimensions actuelles ; les brides, qui depuis l'origine n'ont cessé de s'élargir, dissimulent complètement le coëff-bléo et, parfois, le dal-léden disparaît. 

M.-N. Coiffes de Guiler et de Quimper dont les divers éléments sont analogues, dans leur principe, à ceux de la coiffe bigouden.

Dessin et texte extraits de Visages de la Bretagne. 1941

Communes du canton du Guilvinec  Parrezioù kanton ar Gelveneg 
Le Guilvinec   Ar Gelveneg
Loctudy   Loktudi
Penmarc'h Penmarc'h
Plobannalec   Pornaleg
Treffiagat   Triagad

Sources; Bibliographie :

- OGEE : Dictionnaire de Bretagne; vers 1780; revu et corrigé par MARTEVILLE et VARIN, 1843.

- M.N BOUILLET : Dictionnaire universel d'histoire et de géographie. 1863.

- Adolphe JOANNE : Département du Finistère. Hachette. 1878.

- Camille VALLAUX, Henry WAQUET, Auguste DUPOUY, Charles CHASSE : Visages de la Bretagne. Éditions des Horizons de France. Paris. (imprimé en Suisse). 1941.

- Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

- Petit Larousse illustré. Librairie Larousse. 1979. 

- Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère. 1990

- Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Finistère. 1998.

- Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

- Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Finistère. Éditions Froger SA. 2001

Liens électroniques des sites Internet traitant de Penmarc'h :  

* Site officiel municipal : www.penmarch.fr

* Office de tourisme : office-tourisme@penmarch.fr

* Blason : FROGER et PRESSENSE.

* Cette page a été complétée grâce à l'amabilité et à l'intérêt  pour sa commune de Yanick LOISON, sur les points suivants : 

- liste des maires de Penmarc'h

- Gwerzh de Penmarc'h : la complainte de Penmarc'h

* Autres sources : 

http://kbcb.pagesperso-orange.fr/kbcpenmarch/

* forum du site Marikavel : http://academia-celtica.niceboard.com/

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

hast buan, ma mignonig vas vite, mon petit ami

go fast, my little friend

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