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Noms de lieux * Anoioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Kernev

Cornouaille

Bro Boc'her

Poher

  Rostren * Rostrenen  

pajenn bet digoret e 2004 page ouverte en 2004     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 13/06/2019 14:10:01

Définition : commune de la Bretagne historique, en Haute-Cornouaille / Kernev Uhel, en Poher / Bro-Boher; Évêché de Cornouaille.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor, arrondissement de Guingamp; chef-lieu de canton.

Superficie : 3217 ha . (y compris l'ancienne commune de Bonen entièrement absorbée, et des 'annexions' de plusieurs villages de Kergrist-Moëlou et de Glomel).

Population : 800 hab. environ avant 1789 (Rostrenen n'étant alors qu'une trève de Kergrist-Moëlou); 1141 hab. en 1863; 1858 hab. en 1878; 1989 hab. en 1881; 1989 hab. en 1886; 2083 hab. en 1968; 3868 hab en 1982; 4079 hab. en 1990;  3616 hab en 1999;

Blason : (Régis de Saint-Jouan) : "d'hermines à trois fasces de gueules".

" ... Ces armes ont été empruntées à l'ancienne baronnie de Rostrenen et figuraient déjà sur le sceau de Pierre de Rostrenen, en 1279. En 1843, elles ont été figurées dans la IVè salle des croisades du Musée de Versailles, comme étant celles de Geoffroy de Rostrenen, croisé en 1270". 

* JC Even : "en erminoù; e deir dreustell en gwad"

Histoire :

 

Carte extraite de Frotier de la Messelière

Points de couleurs ajoutés par JC Even (en bleu : Brécillien, en Paule = Brocéliande historique)

Extrait de la carte établie par Mouez ar Vro / Alain Le Diuzet

Carte extraite de Patrick Galliou : L'Armorique romaine.

Couleurs ajoutées par JC Even : gros point rouge : Vorgium / Carohaise / Carhaix; petit point rouge : Rostrenen; petit point bleu : Brécillien, en Paule (= Brocéliande historique)

* Ogée (vers 1780) : Rostrenen; Petite ville, située au pied d'une montagne, sur le route de Pontivy à Carhaix; à 15 lieues à l'E-N-E de Quimper, son évêché; à 26 lieues de Rennes, et à 4 lieues de Corlai, sa subdélégation. C'est une trève de la paroisse de Kergrist-Moelou, qui ressortit à la barre royale de Carhaix. On y voit une église collégiale, dont madame la princesse d'Elbeuf présente les canonicats. Il y a dix foires par an, et marché tous les mardis de la semaine. — En 800, toute cette ville consistait dans le château de ce nom, dont il ne reste plus que les vestiges, château qui appartenait aux seigneurs de Rostrenen. Cette famille est très ancienne, et tous les historiens demeurent d'accord que c'est elle qui a donné à la France son premier connétable, sous l'empereur Louis le Débonnaire. Ce connétable mourut au service de son prince, l'an 834. Elle a produit plusieurs grands officiers de la couronne; ses armes sont : de Bretagne, à trois fasces de gueules.

Le 8 avril 1593, René de Rieux, seigneur de Sourdéac, lieutenant pour le roi en Bretagne, donna commission au capitaine du Liscouet de fortifier les ville et château de Rostrenen, et d'obliger les habitants de quarante paroisses des environs à venir travailler, deux jours par chaque mois, aux fortifications de cette place, qu'on voulait mettre en état de défense. En 1727, le seigneur de Rostrenen fit un grand nombre d'afféagements, qui lui procurèrent un des fiefs les plus considérables et les mieux cultivés de la province".

* Chevalier de Fréminville (1837) : 

"La ville de Rostrenen ne consistait en l'an 800 qu'un un fort château dont il ne reste plus que la place sur les bords d'un étang marécageux. La famille des seigneurs de Rostrenen, était de la plus haute antiquité et l'une des plus illustres en Bretagne. L'un d'eaux était connétable de France sous l'empereur Louis le débonnaire en 834. Un autre, Pierre de Rostrenen fut chambellan de Charles VII.

Cependant il ne reste dans la ville qui porte leur nom aucun objet d'antiquité remarquable. Son église, lourd et massif édifice de la fin du seizième siècle, est du plus mauvais goût, la tour qui lui sert de clocher, a été refaite en entier en 1677 et son portail en 1776.

Sur les murs intérieurs de la petite chapelle St. Antoine, qui est assez ancienne et bâtie dans le cimetière, je remarquai un bas-relief représentant notre seigneur portant une croix, environné des soldats de Pilate. Ces soldats sont revêtus de l'armure du quinzième siècle, deux d'entr'eux seulement, ont un vêtement juste et tout couvert de plaques écaillées. Ce bas relief me semble provenir d'un édifice plus ancien que celui où on le voit aujourd'hui appliqué en hors d'œuvre et qui n'est que du seizième siècle. Il en est de même des deux statues de saints du portail et d'une troisième placée contre le mur opposé à celui sur lequel est le bas-relief".

* Marteville & Varin (1843) : ROSTRENEN; commune formée de l'anc. trève de ce nom; en 1790, chef-lieu de district; aujourd'hui cure de 2ème classe; chef-lieu de perception; bureau d'enregistrement; bureau de poste; résidence d'une brigade de gendarmerie à cheval. — Limit. : N. Kergrist-Moëlou; E. Plouguernevel; S. Plouguernevel, Glomel; O. Glomel. — Princip. vill. : Kerbescont, La Corderie, Campostal, Sainte-Barbe, Saint-Jacques. — Superf. tot. : 272 hect.; dont les princip. div. sont : ter. lab. 139; prés et pât. 42; verg. et jard. 11; bois 6; landes ou incultes 55; etang 1; sup. des prop. bat. 3; cont. non imp. 14. Const. div. 219; moulin 1 (de Kerbescont). Ros signifie, en breton, terrain en pente, tertre inculte; et, bien qu'il ait parfois le sens de rose, il faut ici le prendre sous sa première acception. D'un autre coté, drainon ou drenon signifie ronce, et généralement tout arbuste épineux. Rostrenen aurait donc pour étymologie les mots : Tertre épineux. Il est à remarquer, en coincidence avec cette interprétation, que Rostrenen est sous l'invocation de Notre-Dame-du Roncier. — Cette petite ville a donné le jour au père Grégoire, capucin, auteur d'un dictionnaire français-celtique ou français-breton, que Dom Taillandier vante et critique tout à la fois; et d'une grammaire française-bretonne, que le Brigant juge très-sévèrement. Le père Grégoire de Rostrenen n'en a pas moins donné une certaine illustration a sa ville natale, et gardé un nom distingué parmi les auteurs bretons. — Guillaume de Rostrenen fut, dit-on, l'un des connétables (comes-stabuli) de Charlemagne, titre qu'il ne faut pas confondre avec celui de grand counétable, créé sous les rois de la troisième race. D'Argentré parle de lui (année 834), ainsi que uelques historiens français, entre autres Daniel, Belle-Foret et Fauriel. — Rostrenen vit naitre aussi, en 1761, Perrin Ollivier, peintre. On a de lui les dessins originaux dont son fils s`est servi pour publier, à Brest, la Galerie bretonne, dans laquelle l'auteur a retracé avec ne rare fidélité les principales scènes de la vie d'un paysan breton. — Rostrenen n'offre rien de remarquable; mais c'est une localité importante par les nombreuses foires qui y attirent les paysans de la partie sud de l'arrondissement de Guingamp. Ces foires ont lieu le premier mardi de janvier, et le mardi après le l5 de ce mois; le premier mardi de février, le mardi avant le Carnaval, le deuxième mardi de Carême et le mardi apres la Mi-Carême; le mardi de la Passion; le mardi avant et le mardi après Pâques; le mardi après le 15 mai; le mardi avant l'Ascension; le mardi après la Pentecôte; les deuxième et quatrième mardis de juin; les premier, troisième et quatrième mardis de juillet; le mardi après le 15 aout; le dernier mardi d'aoôt; les mardis après le 14 et le 29 septembre; le mardi après le 15 octobre et le dernier de ce mois; le mardi après la Toussaint; le premier mardi de décembre et celui qui suit la Nativité. Il y a, en outre, marché tous les lundis. — Archéologie : Dom Morice, Preuves, t. I. Col. 1114: t. II, col. 1207; t. Ill, col. 539, 1562, 1574, 1633. — Géologie : granite, schiste maclifère dans le nord. — On parle le breton.

* Bernard Tanguy (1992) : 

" A en juger par la découverte "en divers quartiers", de monnaies allant d'Auguste à Tetricus, le site de Rostrenen aurait été occupé à l'époque romaine jusqu'au dernier quart du IIIè siècle. Il est probable qu'une station routière fur installée au bord de la voie de rennes à Carhaix qui, de Croix-Julou, passait à 200 m au nord de l'église et rejoignait le vallon de Saint-Jacques".

Mais la ville n'a sans doute pris naissance qu'à l'époque féodale quand y fut bâti un château. Établi sur la pente du coteau, à l'emplacement actuel de la mairie, dominant un étang, il devait devenir le siège d'une puissante baronnie relevant de la vicomté de Poher. Incendié en 1592, il fut rasé e, 1601*".

(* en 1951 selon Régis de Saint-Jouan)

Paroisse : sous le vocable de Notre-Dame du Roncier. 

Il est à noter que cette ancienne trève de Kergrist-Moëlou se trouve elle aussi sous le patronage de Notre-Dame.

Patrimoine. Archéologie

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

La ville Ar gêr
Église collégiale Notre-Dame du Roncier (XIIIè - XIXè) Iliz Itron Varia an Draenenn
Église Saint-Claude de Bonen (XVIè - XVIIè) Iliz sant Klaod Bonen
Chapelle saint Jacques (XVè) Chapel sant Jakez
Fontaine Notre-Dame du Roncier Feunteun Itron Varia an Drezenn
Chapelle Notre-Dame de Locmaria-Gaudin Chapel Itron Varia Lokmaria-Gaoudin
Menhirs de Kerauffret et de Kerallain Peulvenoù Keraoffred ha Kerallan
Camp de Kerbescond Kamp Kerbeskont
Fortifications de Faouédic  
Manoir de Botcoat Maner Bodkoad
Manoir de Compostal (XVIIè - XXè) Maner Kompostel
Manoir de Kerbescond Maner Kerveskont
Manoir de Keringant Maner Keringamp
Manoir de Coadernault Maner Koad-Ernod
Manoir du Couar  
Manoir de Kerjégu (XVIIè) Maner Keijegu
Presbytère de Bonne Nouvelle Presbital Keloù Mat

Armorial de Rostrenen : une page spéciale a été ouverte sur ce sujet le 13 mai 2006, à partir des documents en notre possession.. Activer le blason de Rostrenen ci-contre, qui contient un lien électronique.

Étymologie

* Marteveille et Varin (1843) : "Ros signifie, en breton, terrain en pente, tertre inculte; et, bien qu'il ait parfois le sens de rose, il faut ici le prendre sous sa première acception. D'un autre côté, drainon ou drenon signifie ronce, et généralement tout arbuste épineux. Rostrenen aurait donc pour étymologie les mots : Tertre épineux. Il est à remarquer, en coïncidence avec cette interprétation, que Rostrenen est sous le vocable de Notre-Dame du Roncier

* Mme la comtesse du Laz (1892) : note de renvoi n° 1, bas de page 11 : "Rostrenen est écrit tantôt Rostrenan, Rothelin, Rostrelan, Rostrelehen".

* Dauzat et Rostaing (1963-1978) : "du breton roz, tertre".

* Bernard Tanguy (1992) : "Rostrenen, 1248; Rostraenen, 1254; Rostrenen, 1262, 1267, 1269; Rostraenen, 1270, 1285; Rostrenein, 1294; Rostrenen, 1296; Rostrainen, 1317; Rostraenein, vers 1330; Rosdrenen, 1368; Rostrenen, 1535-1536; en breton : Rostren". 

" ... c'est un toponyme descriptif formé du breton roz = tertre, colline, et draenen = ronce, difficile à dater en raison de la pérennité de ses composants".

* Erwan Vallerie (1995) : "Rostrenen, 1267; Rostroenen, 1270; Rostrenein, 1294; Rostrenan, 1306; Retrelen, Retrelan, 1320; Rostrenen, 1328; Rostrenan, 1352; Rostrenen, 1354; Rostrenen, 1368; Rosdrenen, 1368; Castro de Rostrelehen ?, Rostraenen, 1371; Rostrenan, 1379; Rostrenen, 1410; Rostrelain, 1425; Rostrenen, 1516; Rostrenen, 1536; Rotrenan, 1593; Rosternon, Rosternen, 1636; Rosternen, 1731"

* Éditions Flohic (1998) : "du breton roz, colline, et draenen, ronce".

* Fanch Morvannou (1998) : ""Comme dans Roscoff, Rosporden, Rospez, Roz-sur-Couesnon et aussi Roscommon en Irlande, la première syllabe de Rostrenen signifie "colline, tertre" : la réalité est conforme à cette désignation. En breton on prononce Rostrenn (qui est peut-être une contraction de Rosdraenenn, "la colline de la ronce"). Faut-il voir là un rapprochement avec l'un des noms de la Vierge de Rostrenen, notre-dame du roncier ? Cette dernière appellation est aussi celle de la Vierge de Josselin ..."

* Hervé Abalain (2000) : "Rostrenenn, de roz draenenn : le tertre aux épineux".

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Commentaire JC Even

Il est parfaitement clair que la première syllabe, Ros-, correspond à la racine bretonne *ros- = colline, tertre, etc, qui est commune aussi au gallois, cornique, gaélique). compte tenu de la topographie locale, cela ne peut même pas être contesté.

Cette appellation est à rattacher à de nombreux autres toponymes de la région, y compris d'ailleurs la racine *moel-, issue du celtique *metl- > *medl- > *m°el = colline, présente dans Maël-Carhaix, Kergrist-Moëlou, etc. Nous sommes là  dans le domaine du celtique ancien. 

Pour la deuxième syllabe, - trenn, il est évident qu'il s'agit du mot breton draenenn, issu de *draezenn, singulatif de *draez = ronces.

On peut y voir un sens premier, tel un buisson d'épines, comme cela est interprété traditionnellement. 

J'y vois pour ma part un second degré, à relier à la totémique divine, non pas celle du Buisson ardent de Moïse sur le Sinaï, mais au buisson d'épines, voir d'aubépine, symbole totémique de la déesse mère gallo-romaine Cybèle. Ce rapprochement se fait sur la base de la présence de;la route gallo-romaine importante de Vorgium / Carhaix à Condate Rhiedonum / Rennes, ainsi que sur le thème de la Brocéliande historique située à Saint-Symphorien en Paule.

En effet, ce site précis correspond à l'endroit où a été découverte la statuette à la lyre, à la source pérenne de l'aqueduc romain de Carhaix, St Symphorien ayant supplanté Cybèle à l'époque de l'implantation des cultes chrétiens, à l'identification de Brécillien / Bressilien à la Brocéliande de la Légende, et à l'identification de la Carmélide des Romans arthuriens avec le Pays des collines du bassin de Carhaix. 

Il nous est apparu en effet que la plupart des lieux de culte aujourd'hui sous le vocable de Notre-Dame ne sont en réalité que d'anciens lieux de cultes gallo-romains sous le vocable de la déesse mère Cybèle, les symboles étant quasiment les mêmes.

Personnes connues Tud brudet
Guillaume de Rostrenen, connétable de Charlemagne (?)  
Rivoalan, sénéchal de Bretagne en 1068  
Famille de Rostrenen

d'hermines à 3 fasces de gueules

 
Grégoire de Rostrenen, capucin Gregor Rostren, kabusin
Famille de Pont-l'Abbé

d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur

 
Famille de Foix de Candale

Écartelé, aux 1 et 4 : d'or à trois pals de gueules, qui est Foix; aux 2 et 3 : d'or à deux vaches de gueules, accolées et clarinées d'azur

 
Famille du Quélennec, Vicomtes du Faou

d'hermines au chef de gueules, chargé de trois fleurs de lys d'or

 
Famille de Beaumanoir, Vicomtes du Besso

d'azur à onze billettes d'argent, 4,3,4

 
Famille de Guémadeuc

d'argent au lion de sable, accompagné de six coquilles de même

 
Famille de Keradreux

d'argent à trois léopards d'azur

 
Famille de Lantivy de Coscro

de gueules à l'épée d'argent en pal la pointe en bas

 
Famille de Rougé du Plessix-Bellières

De gueules à la croix pattée et alésée d'argent (1276)

Ecartelé de Derval (1352)

 
François TAILLAUD  
Jean LE FUSTEC  
Emile CHAMAILLARD  
Joséphine BAUDRY  
Francis LE BOURC'HIS-KERBIZIET  
Pierre OLLIVIER, (Perrin Olivier-Stanislas)

peintre

Rostrenen, 1761 / Quimper, 1832

 
Philomena CADORET, colombe d'Armor Filomena KADORET, Koulmig an Arvor
Pierre LE GOYET  
Auguste BONCORS, poète  
Armand ROBIN  
Émile GUYOMARD  
Danielle COLLOBERT  
Fernand RUCHON  
Françoise MORVAN Soaz MORVAN
Yann ORVEILLON Yann ORVEILLON

Vie associative Buhez ar gevredadoù
Cercle celtique de Rostren

fondé en 1947 par Mr Penault

Kelc'h Keltieg Rostren

bet krouet e 1947 gant Ao. Penault

Jumelage de Rostrenen avec Kanturk Rostren gevelet gant Kanturk

Les blasons ou triskells rouges sont des liens actifs

Communes du canton de Rostrenen Parezzioù kanton Rostren
Glomel Gronvel
Kergrist-Moëlou Kergrist-Moeloù
Plouguernével Plougernevel
Plounévez-Quintin Plounevez-Kintin
Rostrenen Rostren
Trémargat Tremargad

Sources

* OGEE : Dictionnaire de Bretagne; vers 1780.

* Chevalier de FREMINVILLE : Antiquité des Côtes-du-Nord. Lefournier, Brest, 1837; réimpression Slatkine Reprints. 1980.

* MARTEVILLE et VARIN : continuateurs d'Ogée, avec adaptations post-révolutionnaires. 1843.

* M.N BOUILLET : Dictionnaire universel d'histoire et de géographie. Hachette. 1863.

* Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878.

* Madame la comtesse du Laz : La baronnie de Rostrenen. 1892. Réédition Le Livre d'Histoire. Rassorts Lorisse. 2001.

* Adolphe JOANNE : Les Côtes du Nord. Éditions du Bastion. 1990. réédition de 1886.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Patrick GALLIOU : l'Armorique romaine. Bibliophiles de Bretagne. 1984

* Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes . Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990.

* Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. ArMen - Le Chasse-Marée, 1992

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes ***********

- Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Cotes d'Armor. 1998.

- Fanch MORVANNOU : Kanennou ar Feiz. Bretagne, les chants de la Foi. Éditions du Layeur. 1998.

- Edmond REBILLE : Itinéraire littéraire en côtes d'Armor. Coop Breizh. 1998.

- Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

* Daniel DELATTRE : Les Côtes-d'Armor; les 372 communes. Editions Delattre. 2004

Liens électroniques des sites Internet traitant de Rostrenen / Rostren :

* lien communal : 

* http://www.rostrenen-histoire.com/index.php

* Centre généalogique du Poher : http://cgh.poher.free.fr

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout vas vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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