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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

 

Bro hag Eskopti Naoned

Pays-évêché de Nantes 

  Vertou

* Gwerzhav

 

pajenn bet digoret an 23.11.2018 page ouverte le 23.11.2018     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 14/10/2024 20:12:52

Définition / Displegadur : Commune de la Bretagne historique, en Pays-évêché de Nantes.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "Pays de Loire"; département de Loire-Atlantique; arrondissement de Nantes; chef-lieu de canton; sur la Sèvre nantaise et la Verronne.

Code postal : 44120

Superficie :  3568 ha.

Population : 4400 'communiants' vers 1780;  4461 hab. en 1806; 6313 hab. en 1861; 5706 hab. en 1866; 5388 hab. en 1901; 6330 hab. en 1931; 9223 hab. en 1954; 12089 hab. en 1968; 15631 hab. en 1982; 18236 hab. en 1990; 20268 hab. en 1999; 21443 hab. en 2010;

Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed

* Froger & Pressensé (1996) : "d'argent à un if arraché de sinople, chargé sur le fut d'une fleur de lys d'or accosté à dextre d'une fleur de lys d'azur et d'une hermine de sable posées l'une sir l'autre, et à senestre d'une moucheture d'hermine de sable et d'une fleur de lys d'azur aussi l'une sur l'autre"

Sceau de la Prévôté de Vertou (XVIè).

Dessinateur : Mr Michel Presenssé

D.M : 1957. Enregistré en 1972

"Blason du Chapitre Saint-Martin. Le bâton de pèlerin planté par St-Martin prit racine et devint un arbre. Louis XIII gravât une fleur de lys sur le fut d'un if taillé à trois étages en 1620"

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* Éditions Flohic (1999) : "il représente un if enraciné. D'après la légende, saint Martin, sur le point d'effectuer son dernier voyage, planta son bâton de pèlerin au milieu de la cour de l'abbaye qu'il avait fondée. Ce bâton prit racine et devint un arbre magnifique qui vécut plusieurs siècles"

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JC Even : "En arc'hant e wezenn-ivin diframmet en geot, karget war ar c'hef gant ur vlourdilizenn en aour, hebiaet ouzh dehoù gant ur vlourdilizenn en glazur hag ur vrizhenn erminig en sabel, an eil dreist egile,; hag ouzh kleiz gant ur vrizhenn erminig en sabel hag ur vlourdilizenn en glazur, ivez an eil dreist egile"

Paroisse / Parrez : église sous le vocable de saint Martin.

Histoire / Istor :

* Ogée (1780) :  Vertou; sur une hauteur; à 4 lieues 3/4, au S.-E. de Nantes, son évêché, sa subdélégation et son ressort, et à 23 lieues 3/4 de Rennes. Cette paroisse relève du roi et compte 4400 communiants; la cure est présentée par l'abbé de Saint-Jouin-de-Marne. La chapellenie de messire Gabriel Bretonneau, présentée par la famille, doit une messe par semaine. Ce territoire, baigné des eaux de la rivière de Sèvre, est d'une grande étendue; il renferme des terres en labour de bonne qualité; beaucoup de vignes, dont le vin n'est pas mauvais; quelques bois de peu d'étendue, et des landes qui mériteraient d'autant mieux d'être cultivées que le sol en paraît bon, et qu'elles sont aux portes de Nantes et sur les bords de la Sèvre, qui porte bateaux; mais l'indolence est générale en Bretagne* — L'église paroissiale de Vertou sert au recteur et aux moines. Elle est surmontée de deux clochers, dont un pour la paroisse et l'autre pour l'abbaye, qui est de l'ordre de saint Benoît. Ce monastère doit son existence à saint Martin-de-Vertou, disciple de saint Felix, évêque de Nantes, vers l'an 550. Ce saint, après plusieurs voyages en différents pays, ou il se fit remarquer par le succès de ses prédications, de retour à Nantes, lieu de sa naissance, éleva, dans la foret du Menne, un petit oratoire, ou il se retira. Quelques solitaires s'étant joints à lui, 
ils bâtirent une communauté dans le lieu le plus reculé de cette forêt, appelé Vertaw, depuis nommé Vertou, ou il établit une règle particulière, qu`il avait apportée d`Italie. Sa réputation lui attira un si grand nombre de disciples, que, ce monastère ne pouvant suflire à loger plus de trois cents religieux, il fut obligé d'en édifier un autre dans l'endroit nommé Durin, que l'on appelle présentement Saint-Georges-de-Montaigu, à sept lieues de Nantes, sur la route de la Rochelle.

L'an 1105, Bricius était abbé de Vertou et de Saint-Jouin. Raoul, qui lui succéda, ayant fixé sa demeure à Saint-Jouin, l'abbaye de Vertou ne fut plus gouvernée que par des préposés, qui lui ont fait donner le nom de Prévôté. Dans le commencement de leur institution, ces prévôts furent amovibles, comme le sont aujourd'hui quelques prieurs; mais, dans la suite, cette prévôté prit une consistance fixe, et le prévôt, devenu inamovible, jouit de toute l'autorité des anciens abbés.

A la mort du cardinal d'Avignon, prévôt de Vertou, en 1474., le pape Sixte IV écrit au duc François Il, et le prie d'agréer que le cardinal, neveu de Paul II, soit pourvu de cette prévôté. Le pontife, qui désirait ardemment réussir dans ce dessein, et qui savait cependant bien qu'il n'y réussirait que difficilement, parce que François II refusait constamment de donner les bénéfices de ses États à des étrangers, use de beaucoup d'adresse, et tient au duc les discours les plus flatteurs pour arracher son consentement. Il est à présumer que les lettres du pape et les belles paroles de son envoyé gagnèrent le prince, qui, dans le courant de la même année, envoya au pontife une ambassade solennelle, pour l'assurer de sa parfaite soumission a l'Église. Sixte IV lui sut gré de cette démarche, et publia les lettres que le prince lui avait écrites en rendant un témoignage éclatant à sa piété. C'est ainsi que les papes retenaient les princes dans l'esclavage, par des louanges données à propos et avec prudence et réserve, et par des poursuites vives contre ceux qui manquaient a l'Église. Ce fut par cette soumission respectueuse que le duc gagna les bonnes grâces du pontife, qui, pour le récompenser de
sa docilité, lui accorda, en 1475, une faveur singulière : c'était de ne pouvoir être excommunié par d'autres que par le pape; il joignit à cette grâce la permission de faire construire une forteresse sur les terres de l'évêque de Saint-Malo, moyennant un dédommagement envers le prélat; il lui fit témoigner, dans le même temps, combien il désirait que le cardinal jouit de la prévôté de Vertou, qu'il lui avait donnée en commande. Le pape avait été si content de Bertrand Millou, l'un des ambassadeurs du duc à Rome, que, pour lui témoigner sa satisfaction, il lui donna un morceau de la Vraie-Croix. Ce trait fait l'éloge de Bertrand. Sixte IV était un des hommes les plus éclairés de son siècle, un grand prince, un grand pape, et il savait apprécier le mérite. François II, qui lui avait demande un chapeau de cardinal pour Pierre de Foix, évêque élu de Vannes, son beau-frère, reçut à ce sujet la réponse la plus satisfaisante, qui ne tarda pas à avoir son effet. Malgré toutes ces grâces, le duc ne laissait pas perdre ses droits et ses privilèges, et, dans le cours de cette année, il rendit une ordonnance qui portait défense à toute personne, de quelque qualité qu'elle fût, de publier les bulles et mandements apostoliques, avant de les avoir montrés au conseil, et sans sa permission, sous peine de bannissement et de confiscation de tous ses biens.

On assure que la table de marbre, de dix pieds de longueur sur quatre de largeur, qui est dans l"église de Vertou, est la même qui servait à. saint Martin pour célébrer l'office divin. En 1700, on voyait encore dans le cloître du couvent un arbre que les gens de la campagne révéraient au point qu'ils s'estimaient heureux d'en posséder une branche. Ce respect extraordinaire venait de l'opinion reçue dans le pays, et qui se conservait. par tradition : on pensait que saint Martin, quittant Vertou pour se rendre a Saint-Georges de Montaigu, avait planté en terre son bâton, qui avait pris racine et avait formé cet arbre, qui existait depuis près de mille ans. Je ne sais s'il a été abattu. ou s'il est tombe de vétusté : dans le premier cas, je suis persuadé que les paysans auront murmuré contre les moines.

Arrêt du Conseil, du 2 juin 1750, qui permet aux religieux de Vertou de construire une écluse sur la chaussée de Vertou, avec établissement de droits pour la construction et l'entretien de cette écluse.

La Ramée, moyenne-justice, appartenait, en 1390; à N.  des Ramées et de Blossac; la Prévôté de Vertou, avec haute-justice, a M. le Prevôt; la Maillardière, haute-justice, à M. de Coëssal; Goyou. à M. de Kergus de Kerstang.

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* Marteville et Varin (1843) :  VERTOU; commune formée de l'anc. par. de ce nom; aujourd'hui cure de deuxième classe; chef-lieu de perception. — Limit. : N. Saint-Sebastien, Basse-Goulaine, Haute-Goulaine; E. la Haye-Fouassiere, Saint-Fiacre; S. le Bignon, Château-Thebautl; O. Pont-Saint-Martin, Rezé. Nantes. — Princip. vill. : Beautour, le Planty, la Gra moire, la Ville-au-Blanc,  la Billardiere, les Mortiers, la Denillère, la Ramée, la Gaubergère, la Boutière, la Haudrière, la Bastière, les Reigniers, Portillon, les Grandes-Bouches. les Serinières. la Haute-Lande, la Noé, le Chêne, la Barbinière, l'Herbray, la Rousselière, les Pegers, la Bouteillerie. — Superf. tot. 4452 ha. 11 a. dont les princip. div. sont : ter. lab. 1895: prés et pât. 645; vignes 1216; bois 299: verg. et jard. 116; landes et incultes 4; sup. des prop. bat. 72; cont.  non imp. 203. Const. div. 1648; moulins 17 (de la Lande de Beautour, du Bois-Hardy, de la Garouère, de la Nicolière, des Herettes, Chauveau, des Sergeux, des Mustières, des Couteaux, de l'Herbray, de la Noë, du Chêne, des Haies. Notre auteur se trompe étrangement, quand il parle de la grande quantité de landes que renferme le territoire de Vertou :elles ne représentent pas le millième de la superficie totale. — On remarque à peu de distance du bourg, sur la rive gauche de la Sèvre, la propriété de l'Ebeaupin, jadis fréquentée pour une source d'eau minérale ferrugineuse. aujourd'hui complètement abandonnée. — Le pare de la Maillardière est visité pour le plus immense magnolía qui ait été connu en France dans les premiers temps où cet arbre y fut cultivé. — Il y a foire le 4 février et le 1er avril. — Géologie : miscaschiste et amphibolite; ophiolite au sud du bourg et dans la foret de Vertou: stéaschiste et micaschiste au village de Portillon. — Ou parle le français.

* Daniel Delattre (2013) : En 1865, une portion e Vertou est détachée pour former la commune des Sorinières.

Patrimoine. Archéologie / Glad. Arkeologiezh

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Eglise saint Martin (fin XIXè) Iliz
Chapelle de Beautour (fin XIXè)  
Chapelle de la Bastière (1820)  
La Chaussée aux Moines (vers l'an 1000)  
La Salmonière (XVè-XIXè)  
Le Portereau (XVIè-XIXè)  
La Noë Richard (avant le XVIIIè)  
Manoir de la Bareille (XVIIIè)  
Château de L'Angebardière (VIIIè)  
Château de la Frémoire (1725)  
La Bauche-Malo (1774)  
l'Aulnaye (fin XVIIIè)  
Mottechaix (milieu XIXè)  

Étymologie / Gerdarzh

*Dauzat & Rostaing (1963-1978) : Vertavus, IXè

*Jean-Yves Le Moing (1990) : Vertavus, IXè; Vertou, 1287

* Erwan Vallerie (1995) : Vertavum, 1199; Vertou, 1287; Vertou, 1790

* Éditions Flohic (1999) :"du breton ver, ruisseau, rivière, et tav, paix, silence"

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 JC Even : la proposition des éditions Flohic me semble abusive, car la langue bretonne n'a jamais été parlée en ce secteur, même si dans le langage vernaculaire on pourrait peut-être trouver des racines similaires à *ver-. Dauzat & Rostaing n'ont pas osé proposer un nom d'homme comme à leur habitude, bien qu'ils en évoquent la possibilité à l'article Vertault, Côte-d'Or.

Personnes connues Tud brudet
Saint Martin de Vertou (Nantes, 527 / Vertou, 601)  
Paul de la Gironnière

Médecin et explorateur

(Vertou, 1804 / 1862)

 
Marie-Alphonse Bedeau

Général

(Vertou, 1804 / Nantes, 1863)

 
Jean-Baptiste Batty de Bréa

général; propriétaire de l'Ebaupin.

(Menton, 1790 / Paris, 1848)

 
Marie Heurtin

(Vertou, 1885 / 1921)

célèbre sourde-muette, qui a servi aux études de Louis Arnould

 
Robert Hersant

Éditeur

(Vertou, 1920 / Neuilly-sur-Seine, 1996)

 

Armorial * Ardamezeg

Arquistade ou Darquistade l'Aubier / Laubier d'Aussonvilliers Armand Bazin de Bezons Bellot / Belot

Seigneurs de la Mallardière, en Vertou; de la Sénéchalière et du Gué-au-Voyer, en Saint-Julien-de-Concelles

"d'argent au chevron de gueules, accompagné de trois trèfles de sinople"

"en arc'hant e gebrenn en gwad heuliet gant teir melchonenn geotet"

Devise / Sturienn

"Patrio clarum suscepit amore"

(PPC)

Seigneurs de la Chaussée, en Vertou; de la Borderie, en Saint-Herblain.

 "d'argent à trois grils de sable, aux manches bouclés de même"

"en arc'hant, e deir c'hrilh en sabel o zroad gant blougoù ivez en sabel".

 (PPC)

Originaires de Normandie.

Seigneurs dudit-lieu; barons de Courcy en Normandie. Seigneurs de Flémorbé, en Mélesse; des Navinaux en Vertou; de la Tour, en Port-Saint-Père

"d'azur au sautoir d'or, cantonné de quatre étoiles de même"

"en glazur e lammell en aour, ur steredenn ivez en aour ouzh pep konk"

(PPC)

abbé de Saint-Martin de Vertou Seigneurs de la Placelière et de la Roulière, paroisse de Vertou

"d'argent à un paon rouant de sinople cantonné de quatre mouchetures de sable"

"en arc'hant e baun o rodal en geot, ur vrizhenn en sabel ouzh pep konk"

- Pierre, échevin de Nantes en 1698

(PPC)

 

   
    Gabard de l'Isle le Naurois
    Seigneurs de la Maillardière et de la Rousselière, en Vertou; des Jammonières, de la Moricière, de la Souchais et de la Haye-Riau,en Saint-Phlibert-de-Grand-Lieu; du Plessix, de la Roche-Hervé et de Pontraut,en Missillac; du Tharon,en Saint-Père-en-Retz; de Roslieu, de Théhillac; du Moulinieret, de la Noë, en la Limousinière; de Maren, en Sainte-Marie-de-Pornic, de la Sénaigerie, en Bouaye

"de gueules à deux étoiles d'or en chef, et un croissant d'argent en pointe"

"en gwad e ziv steredenn en aour ouzh kab hag e greskenn en arc'hant ouzh beg"

(PPC)

Seigneurs de la Cormeraye, en la Chapelle-sur-Erdre; du Pineau, de la Barre-Sauvage, des Pezeries, en Château-Thébault; de la Verrerie; de la Gironnière, en Sainte-Luce; de la Nicollière, la Noë-Talbot, en Vertou; de la Ferté, en Vallet; de la Gravelle, en Monnières; de Fiefrosti, la Bretonnière, en Sautron; la Marilière; Souchais; Molière; du Dreneuc, en Bains.

"de gueules à dix billettes d'or, 4, 3, 2, 1"

"en gwad e zek kanochenn en aour, 4, 3, 2, 1"

1488, 1489, 1668, 1685

(PPC)

Seigneurs de Saint-Clair, du Soucinet, du Drouillay, en Vertou; de la Clave

 

     
Paignon   Pantin    
Seigneurs du Teilleul, en Corps-Nuds; la Bauche en Vertou; la Rivière-Pellerin, près Redon

"de sinople au lion d'argent"

"geoted e leon en arc'hant"

1400; 1416; de 1427 à 1513; 1669

sceau / siell 1400

(PPC)

  originaires d'Anjou

Seigneurs de la Hamelinière, du Boisrouault et de la Gaudinière, en Mouzillon; de Landemont, paroisse de ce nom; de la Guère, en Saint-Géréon; de la Verrie, en Belligné; du Verger, de la Rouaudière, de la Villeraud, de Lauvinière, en Mésanger; de la Noë-de-Passay, en la Chevrollière; de Gras-Mouton, en Château-Thébaud; des Navinaux, en Vertou; du Plessix-Moussard.

"d'argent à la croix de sable, cantonnée de quatre molettes de gueules"

"en arc'hant e groaz en sabel, ur rodig-kentr en gwad ouzh pep konk"

devise / sturienn

Crux dux certas salutis

références et montres de 1430 à 1543

(PPC)

   

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
Jumelage avec Morges, en Suisse

Kevellet eo Gwerzhav gant Morges, e bro Suis

Communes du canton de Vertou Kumunioù kanton *Gwerzhav
Les Sorinières *Kersoren
Vertou *Gwerzhav

Communes limitrophes de Vertou

Parrezioù tro war dro *Gwerzhav

Saint-Sébastien-sur-Loire Basse-Goulaine La Haie-Fouassière Saint-Fiacre-sur-Maine Château-Thébaud Le Bignon Pont-Saint-Martin Rezé

Sources; Bibliographie / Eien; Levrlennadur :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; 

* A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.

* Pol POTIER de COURCY : Nobiliaire et armorial de Bretagne. 1890. Éditions des Régionalismes. 2011 / 2015

* Albert DAUZAT & Charles ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Larousse, 1963; Guénégaud, 1978.

* Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes de Loire-Atlantique. 1996

* Éditions FLOHIC : Le Patrimoine des communes de Loire-Atlantique. 1999

* Daniel DELATTRE : La Loire-Atlantique; les 221 communes. Éditions Delattre. 2013

* AL LIAMM : Nouveau Dictionnaire Breton / Français; Français / Breton. 2014

Liens électroniques des sites Internet traitant de : Vertou / * Gwerzhav :

* lien communal : http://www.vertou.fr/fr/information/78957/pour-commencer

* Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Gwerzhav

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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