Encyclopédie Marikavel-Jean-Claude-EVEN/Encyclopaedia/Enciclopedia/Enzyklopädie/egkuklopaideia
Breizh Bretagne |
Bro-Wened Pays de Vannes |
Carentoir * Carantoir *Kerantoer |
pajenn bet digoret e 2003 | page ouverte en 2003 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 28/07/2021 20:46:24 |
Définition : commune de
la Bretagne historique, en Bro-Wened, évêché de
Vannes. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite 'de Bretagne', département du Morbihan, arrondissement de Vannes; canton de La Gacilly, sur l'Aff, et les ruisseaux de Sigré, de Fondelienne, de la Lande Clavier Longlé, de Caurel Code postal : 56910 Superficie : 5671ha. Population : 6000 'communiants' vers 1780, y compris la Haute-Bourdonnaye, la Chapelle-Gaceline, la Gacilly, Gueleneuc. 4053 hab. en 1881; 3981 hab. en 1886; 2435 hab. en 1968; 2556 hab. en 1982; 2571hab. en 1996; 2544 hab. en 1999 |
|
Armoiries; blason : * Éditions Flohic : "le vert pour l'aspect verdoyant; le clocher pour la foi chrétienne; la maison est celle du couvreur; le noir pour la nuit des temps; la crosse et l'auréole pour la prédilection de saint Marcoul; la tour rappelle le château de la Ballue s'engloutissant; le chef d'hermine pour la Bretagne; la croix des Templiers, et une couronne murale propre aux armoiries municipales". * Michel Froger et Michel Pressense (1999) : "Parti : au 1, de sinople à une maison d'or, ouverte et éclairée de gueules, une échelle de couvreur du même posée sur le toit, accompagné d'un clocher issant; au 2, de sable à une tour d'or ouverte et maçonnée du champ, s'engloutissant dans des flots d'azur ondés d'argent, mouvant de la point; Une crosse d'argent ferrée, sommée d'une auréole d'or; brochant sur la partition; au chef d'hermine chargé d'une croix pattée alésée de gueules". Conception : J.P Fernandez. * JC Even : plus simple, c'est bien aussi ! |
|
Paroisse : sous le vocable de saint Marcoul, abbé de Nanteuil, dans le Cotentin, fêté le Ier mai. L'église est dédiée à saint Jean-Baptiste. |
Histoire : * Ogée. vers 1780 : Carentoir; à 10 lieues 3/4 à l'E.-N.-E. de Vannes, son évêché; à 10 lieues. 1/6 de Rennes, et à 4 lieues de Malestroit, sa subdélégation. Elle ressortit à Ploërmel, et compte, y compris les habitants de la Haute-Bourdonnaye, la Chapelle-Gaceline, la Gacilly et Gueleneuc, ses trêves, 6000 communiants; la cure, qui est un ancien doyenné, est à l'Ordinaire. Son territoire fournit un si grand nombre de carrières d'ardoises, qu'il fut autrefois nommé Kerantoir, Ville du Couvreur. Il est fort étendu, et forme de petites plaines coupées de vallons, dont les terres sont fertiles en grains. On y voit des prairies, des bois, la forêt de la Bourdonnaye, et une quantité prodigieuse de landes, qui pourraient être cultivées avec succès. On trouve auprès du village de la Cassais [Cossais] plusieurs pièces de terre pleines de cailloux blancs et transparents, pour la plupart de figure hexagone, qui deviennent sous la main de l'ouvrier à peu près semblables à ceux du Rhin. Le château de la Bourdonnaye, haute, moyenne et basse-justice, est la seigneurie de Carentoir, érigée en marquisat en 1717. Elle appartient à M. le marquis de la Bourdonnaye, conseiller d'état. Les autres maisons nobles de cette paroisse sont : en 1400, le Ronceray, à demoiselle Anne Guillou, fille aînée de la maison de la Lardaye; Bois-Basset, haute, moyenne et basse-justice, à madame de Peccaduc; en 1420, la Villerain, à Jean, sieur du Fresche; Trelan [Trelau], à Guillaume Pucy, sieur de Trelan; Peccaduc, haute, moyenne et basse-justice, à M. de Peccaduc; Trelo, haute, moyenne et basse-justice, à M. du Trelo; la Herblinais , moyenne et basse-justice, à M. Danet; la Danais , moyenne et basse-justice, à M. de la Danais; les Grès-Michel, basse-justice, à M. de Carheil; la Grée-Horlay, basse-justice, à M. de Trenégat [Trevégat], Les maisons nobles de la Basse-Bouexière, le Bois-Guillaume, la Touche [la Touche-Péchard], la Guichardaîs, la Boutinais, la Coussaye [la Cossais] , le Baranlo [le Daranlo], Coetu, Villenaru [Villenave] , le Boisbic, la Chohallaye [la Chauvelaye], le Bot, la Tronchaye, Launaye , la Gourlandais [la Gourgandais], la Ville-Juhel, la Bouexière, la Garillé [la Veriglé], la Ville-Orion , la Rochegestin, la Bouère, le Bochet, la Ville-Louet, la Vallée, le Noean [la Nouan], le Virgile, la Heruyais, la Ville-Queno, Guilleneuc, la Chouanière, le Mur, la Beauvais et la Ville-Guessant. * Marteville et Varin (1843) : CARENTOIR (dans le cartulaire de Redon, plebs carentorensis; sous l'invocation de saint Marcoulff, abbé), commune formée de l'anc. par. de ce nom. qui a conservé Quelneuc et la Chapelle-Gaceline, à laquelle on a ajouté le Temple (voy. ce mot) , et que l'on a diminuée de la Gacilly, sa trêve (voy. ce mot), aujourd'hui cure de 1ere classe; chef-lieu de perception. N'est plus chef-lieu de canton depuis 1839. Limit. : N. Monteneuf, Guer, Comblessac; E. Sixt, Bruc, Maure; S. la Gacilly; O. Saint-Nicolas du Tertre, Tréal. princip. vill. : Triniac , la Haute-Boissière, Marzac, les Vignes, Trémeleuc, la Ville-an-Toir, Quelneuc, le Temple, la Métairie-aux-Jolys, la Chapelle-Gaceline, la Moraye, Brangolo , la Danais. Superf. tot : 7798 hect. 32 a. , dont les princip. divis. sont ; ter. lab. 3428; prés et pât. 859; bois 598; verg. et jard. 244 ; landes et incultes 2493; étangs 12; châtaigneraies 112; sup. des prop. bât 38. Const. non imp. 214. (Moulins à vent des Rochelles, de Saint Jacques, du Temple, de Soie, de la Poupinais, de la Guichardais, du Tertre; à eau de Gouro, du Bochel, du Val, de la Grée, le la Bouexière, de Launay, de Huno, de Culny; ponts de Jouro et de Sixt). Les trèves et chapelles de Carentoir étaient la Chapelle-Gaceline, Quelneuc, la Haute-Bouexière, Saint-Jacques, Fondelienne, Saint-Marc et Saint-Adrien. Les deux premières et le Temple sont desservies régulièrement; on célèbre l'office dans les autres le jour de la fête patronale. L'église du bourg est ancienne, mais elle a été tellement réparée, qu'elle semble moderne. Carentoir veut dire assez exactement en breton la ville aux couvreurs. En effet, s'il y a peu d'ardoisières dans la commune elle-même, il y en a beaucoup dans les environs. Il ne reste des anciens fiefs que la Ville Quénot, la Poupinais, la Chouanière, Rollienne, la Guichardaye, Clazeul, la Herblinaye et la Touche Péchart; les autres sont tombés en ruines ou devenus fermes. Il faut remarquer toutefois que Ville-Louet, Ville-Orion, Ville-Geffes , la Gourgandais, Rochestin et la Bouère, sont en la Gacilly. La Bourdonnaye, qui est entretenue quelque peu, semble être d'une construction antérieure au XVIè siècle; toutefois ce château n'a pas de caractère. II y a au Val un bel étang. La voie romaine, qui, selon M. Bizeul , allait de Rennes a Keraës (Carhaix ) par Castel-Noëc en Bieuzy, entrait en Carentoir au sortir de Comblessac (voy. ce mot) , par le point qu'on nomme maintenant le pont de Marsac. A 300 m de ce pont au nord du village de ce nom, est un camp d'environ 600m de tour; de Marsac, la voie sert de limite actuelle à Comblessac et à Carentoir d'abord , puis à Carentoir et à Monteneuf , dans presque toute la partie septentrionale de la première de ces deux communes; enfin elle arrive au gué du pont Augier, sur le Rahun, point par lequel se touchent les quatre communes de Carentoir, Tréal , Réminiac et Monteneuf ; elle entre ensuite en Tréal et Remiliac (voy. ces mots). Cette voie porte dans le pays le nom d Chaussée d'Aête, ou d'Aês. Quelques usages originaux ont été conservés dans cette commune par la continuation du droit de neûme, qui a été perçu jusqu'en 1751. L'usage des sobriquets était entre autres tellement répandu dans le bourg de Carentoir, qu'aucun habitant n'y était connu par son vrai nom. Le commerce consiste en exportations de lins, de chanvres et de toiles, qui sont expédiées à Nantes, à Bordeaux et à Cherbourg. Il y a aussi une corderie assez importante au village de la Madelaine, situé à 1 kilom. du bourg. On disait autrefois les sorciers de la Madelaine, à cause de l'antique préjugé existant en Bretagne contre la profession de cordier. La partie du territoire qui longe la rivière d'Aff est la plus fertile. En mars 1793, Carentoir fournit 68 hommes pour l'attaque de Rochefort, qui eut lieu le 16 du même mois. Il y a foire le lendemain du troisième lundi de carême; le 1er mai , le mardi après le 15 août, et le 15 octobre; le lendemain si l'un de ces jours est férié. Géologie : le schiste argileux domine; ou l'exploite eu beaucoup d'endroits comme pierre à bâtir ; la forêt de la Bourdonnaye repose tout entière sur cette roche. On parle le français. ---------------- La commune du Temple a été réunie à celle de Carentoir, par décret de l'Assemblée nationale, du 22 juillet 1792. Depuis sa fondation , elle dépendait de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem; son territoire, peu étendu, paraît avoir eu une population nombreuse, si l'on en juge par les dimensions de son église encore existante, qui peut contenir 1500 à 2000 personnes. Son cimetière, aussi très-vaste, conserve des ifs dont le tronc creusé par le temps pourrait enfermer sept à huit personnes assises. Le château du Commandeur, ou la Commanderie, dont on ne voit plus que les ruines, s'élevait, a l'est de l'église, au milieu de vastes jardins et prairies. Des vestiges apparents indiquent que le bourg était divisé en quatre rues principales partant d'un centre commun, et s'étendant à une longue distance. Plusieurs manoirs fortifiés existaient sur ces lignes, tels que la remarquable maison des Thorel , l'hôtel Mancelaye, l'hôtel Labbé, la Cocherie, le Val, Rollienne, la Porte Justel. Chacun de ces manoirs avait sa vigne, aujourd'hui supprimée. Ils sont devenus l'origine d'autant de villages actuels. Pendant la haute puissance de l'ordre de Malte, les habitants du Temple jouissaient de divers privilèges, tels que l'exemption de la milice, celle de la corvée, et surtout le droit d'asile. Un arbre, que l'on nommait le Chêne de ta Liberté, étendait ses bras protecteurs sur les innocents et les coupables qui se réfugiaient sous son ombrage, et pouvaient embrasser son tronc, avant d'être atteints. Ceci explique le grand nombre d'habitations, dont les traces existent sur ce lieu. Quand le droit d'asile succomba avec la puissance de l'ordre, le voisinage du chêne fut abandonné, et les manoirs éloignés du centre reprirent leur splendeur. Avant 1789 , M. de Talhouet avait réuni au Temple plusieurs de ses jurisdictions, savoir : le Bochet, le Bois-Brassu , le Bois-Orhand , la Villequeno , Quelneuc , etc. Les jurisdictions de la Nouan, de la Chouannière et de la Commanderie s'y exerçaient également. Il y avait sénéchal, procureur fiscal , avocats, notaires et procureurs. Le recteur jouissait alors des revenus de la Commanderie, devenue propriété de la paroisse, qui rebâtit à ses frais un nouveau presbytère, vendu plus tard comme bien national. Vers l'époque de sa réunion à Carentoir, le Temple eut à soutenir un procès contre le curé-doyen de la paroisse a laquelle on l'annexait. Ce dernier voulait étendre sa dîme jusqu'au pied du clocher du Temple, faute de limites reconnues entre les deux paroisses. Le procès ne fut pas terminé; les habitants du Temple offrirent enfin de se réunir à leurs voisins, et l'Assemblée nationale décréta la réunion, à charge au curé de Carentoir de faire desservir la paroisse du Temple. Une ancienne grande route, de Redon à Dinan , traversait la paroisse du Temple; elle fut supprimée eu 1820, lors du nouveau tracé qui la fit passer par Carentoir. E. D. V. |
Archéologie.
Patrimoine : seules les fenêtres ouvertes (blanches) ont des liens actifs.
|
Étymologie : * Ogée (vers 1780) : "Son territoire fournit un si grand nombre de carrières d'ardoises, qu'il fut autrefois nommé Kerantoir, Ville du Couvreur". * Marteville et Varin : "dans le cartulaire de Redon, plebs carentorensis ..." " Carentoir veut dire assez exactement en breton la ville aux couvreurs. En effet, s'il y a peu d'ardoisières dans la commune elle-même, il y en a beaucoup dans les environs". * Albert Dauzat et Charles Rostaing (1963-1978) : "Carantoer, 826; paraît représenter un comp. breton Caer an Toer, la ville du couvreur (Ogée, Falc'hun); caer, ville ..." * Éditions Flohic (1996) : " de ker en toer, la maison du couvreur, fondation du village". "En 1182, une charte mentionne le Temple de Carentoir sous le nom de Karantoé" * Hervé Abalain (2000) : "Carantoer en 829; et Carantor au XIè siècle; nom de personne d'origine gauloise, d'un radical karant, 'ami', cf. Carentan; le cartulaire de Redon contient le nom de personne Caranton; Carantos est un anthroponyme gaulois : < plebs Carentorensis; on signalera aussi le nom de personne Carantoc / Carantec. Ce nom ne signifie pas 'le village du couvreur' ! Signalons toutefois que Taer est un nom de personne et que les noms de lieux Kerantère et Kerantaer existent". ---------------------------------------------------- * JC Even : la référence au couvreur semble en effet un peu trop facile et répondre à une étymologie dite 'populaire'. Avant d'affirmer cette étymologie, il faudrait peut-être se renseigner sur la façon de couvrir les maisons dans ce secteur, à une époque qui semble déjà assez reculée. On observera aussi que Carentoir se trouve dans une zone où les toponymes bretons ne représentent que 5 à 20 % de la toponymie globale (cf : J-Y Le Moing, carte p 9 ). Hervé Abalain aurait pu citer aussi, à titre d'exemple (une fois n'étant pas coutume), les indications de Dauzat et Rostaing à propos de Carantilly, dans la Manche : Karentelago vers 1056; de Karantilleyo, 1332, et de Charantilly, Indre-et-Loire, Charentiliacus, 1119; Carantiliacum, 1163 : d'un nom d'homme gallo-romain *Carantilius, de Carantos et suffixe -acum". |
Personnes connues | Tud brudet |
Ardamezeg * Armorial
Aulnette | Danet | Elvart | de la Jaminaye | de Talhouët | |
seigneurs
du Plessis-Gravelais, du Boismelleuc, du Vaultenet, du Papillon, de
Taligné, des Forges, en Noyal-sur-Vilaine;
de Boisby, en Carentoir;de
la Bornières, de la Feuillée, en Goven
"d'azur à trois croissants d'argent" "en glazur e deir greskenn en arc'hant" Trois procureurs du Roi à Rennes depuis 1590 Guy, greffier en chef au Parlement en 1640 (PPC |
seigneur du Passoué et de Trébulan, en Guer; de la Herblinaye, en Carentoir; du Coudray, en Plélan-le-Grand; des Longrais, en Saint-Thurial "de sable à la tour d'or" "en sabel, e dour en aour" références et montres de 1479 à 1513 (PPC) |
seigneurs de la Villelouët, en Carentoir "de sable au chef d'argent" "en sabel e gab en arc'hant" références de 1427 à 1447 (PPC) |
seigneur de la Villeneuve, en Carentoir "d'or au cerf passant de gueules, chargé sur l'épaule d'un croissant d'or" "en aour, e c'harv tremenant en gwad, karget ouzh e skoaz gant ur greskenn en aour" références et montres de 1427 à 1536 (PPC) |
seigneur dudit lieu en Pluherlin; de
Keredren et Kerbizien, en Questembert; de Trévérand, de Boisorhand, en Sixte; de la
Grationnaye, en Malensac; de Sévérac; de la Ville-Quéno, en Carentoir; de Bonamour,
en Trévé; comte de Villayers, en Ossé; marquis d'Acigné;
seigneur de Kerminizic, en Saint-Tugdual; de Marzen, en Caden; de la Villeneuve et de la
Coudraye, en Saint-Dolay;
de la Souchais, en la Plaine; de Lourmois, de la Grée,
de la Jou, de Monthonnac, du Couëdic et de Trévécar,
en Nivillac; de Toulhouët, en Sulniac "d'argent à trois pommes de pin versées de gueules" "en arc'hant e deir aval pin war o eneb en gwad" devise / sturienn : Nil altius (PPC) |
Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Communes du canton de La Gacilly | Parrezioù kanton Gazilieg | |
Carentoir | Kerantoer | |
La Chapelle-Gaceline | ||
Cournon | ||
Les Fougerêts | ||
La Gacilly | ||
Glénac | ||
Quelneuc | ||
Saint-Martin-sur-Oust | ||
Tréal |
Communes limitrophes de Carentoir |
Parrezioù tro war dro Kerantoer |
Saint-Nicolas du Tertre | Tréal | Monteneuf | Guer | Quelneuc | La Chapelle-Gaceline | La Gacilly |
Sources; Bibliographie : * OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; * MM. A. MARTEVILLE et P. VARIN, correcteurs et continuateurs d'Ogée, 1843. * Adolphe JOANNE : Géographie du département du Morbihan. Librairie Hachette et Cie. 1888 * Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire Meyrat. Dictionnaire national des communes de France. 1968. * Albert Dauzat et Charles Rostaing : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Guénégaud. 1978. * Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne. Coop-Breizh. 1990. * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Morbihan. 1996. * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Morbihan. Froger SA. 1999. * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. * J.L RAMEL et A.J. RAUDE : Liste des communes galaises du département du Morbihan. Rolaey dez comunn galeizz deu departamant deu Mor-Bihan. Roll komuniou galloweg departamant ar Morbihan . Maezoe-Heveziken. 2003. |
Liens électroniques des autres sites traitant de Carentoir / Carantoir / * Karantoer : * lien communal : https://www.carentoir.com/ * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Karantoer * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout vas vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |