Encyclopédie Marikavel-Jean-Claude-EVEN/Encyclopaedia/Enciclopedia/Enzyklopädie/egkuklopaideia

d'ar gêr ! ***** à la maison ! ***** back home !

Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Bro-eskopti Sant-Maloù

Pays-évêché de Saint-Malo

  Plélan-le-Grand

*Plelann-Veur

 

pajenn bet digoret an 03.01.2019 page ouverte le 03.01.2019     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 10/07/2024 14:10:38

Définition / Displegadur : commune de la Bretagne historique, en Pays-évêché de Saint-Malo.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne"; département d'Ille-et-Vilaine; arrondissement de Rennes; chef-lieu de canton; sur l'Aff et la Chèze.

Code postal : 35380

Superficie : 4700  ha.

Population : 2200 hab. en 1780; 3593 hab. en 1881; 2336 hab. en 1968; 2349 hab. en 1982; 2940 hab. en 1990; 2940 hab. en 1999;

Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed

"Fretté d'azur et d'argent, à un croissant de gueules brochant en chef"

* J.C. Even : "Plezhek etre glazur hag arc'hant, e greskenn en gwad balirant ouzh kab"

Paroisse / Parrez: église sous le vocable de saint Pierre et saint Méen

Histoire / Istor :

* Ogée (1780) :  Plélan-le-Grand; gros bourg, sur la route de Rennes à Ploërmel; à 15 lieues au S. de Saint-Malo, son évêché et à 7 lieues de Rennes. Cette paroisse a titre de châtellenie, avec une haute-justice, qui ressortit au présidial de Rennes. Il s'y exerce, en outre, deux autres hautes-justices et deux moyennes, et il s`y tient un marché le samedi. Le roi y possède plusieurs fiefs. La cure est présentée par l'évêque. Le nombre des habitants est de 2200, y compris ceux de Trefandel, sa trève. Il y a à Plélan une subdélégation et une poste aux chevaux. L`an 869, le monastère de Saint-Sauveur de Redon ayant été ruiné par les Normands, l`abbé Ricand, successeur de saint Convion, premier abbé de ce monastère, alla trouver Salomon roi de Bretagne, qui était pour lors dans son château de Brecilien, à Plélan [tout au plus peut-on dire en Plélan] et lui demanda une retraite pour lui et ses moines. Le prince, touché de leur situation les transféra à Plélan dans son château de Brecilien, ou il avait fait commencer un monastère, du temps même de saint Convion pour servir d'asyle à ses moines pendant la guerre. Cette maison fut appelée Monastère  de Salomon. Lorsqu'il fut achevé de bâtir, ce prince lui fit plusieurs présents : il lui donna le corps de saint Maixent, qu'on venait d`apporter en Bretagne, d'où on l'avait ci-devant transporté en Poitou, pour le soustraire aux profanations sacrilèges des Normands; un calice d'or et une croix de même métal garni de pierreries et couverts d'un habit de drap d`or, qui lui avaient été donnés par le roi de France Charles II et trois grosses cloches. La reine Wembrit mourut à peu près dans le même temps, et fut inhumée, par ordre du roi, dans la nouvelle église de Plélan. C'est là l'époque de la fondation de l'église de Plélan qui, depuis ce temps, a toujours dépendu de l`abbaye de Saint-Sauveur de Redon. Elle porte toujours le nom de Saint-Maíxent de Plélan. Le roi Salomon fut pris dans l'église de Plélan par Pasquiten son gendre et Gurvand, gendre d'Erispoe, son filleul, qui, selon le rapport unanime des historiens, lui crevèrent les yeux, le livrèrent ensuite à des soldats français, qui l'enchaînèrent et le conduisirent en Basse-Bretagne, ou ils lui coupèrent la tête le 25juin 8711, dans l'endroit ou depuis, on a bâti une église en son honneur, sous le nom de Notre-Dame-du-Martyre; elle est située en la paroisse de Ploudiri, évêché de Saint-Pol-de-Léon; et on croit, par tradition, que le grand autel de cette chapelle est placé positivement dans l`endroit où le saint fut massacré. ( Voy. la Martyre. ) Wembrit ou Gyenbret épouse de Salomon, morte en 8611 ou 865, fut enterrée dans l'église de Plélan-le-Grand. Il ne reste plus que quelques vestiges du château de Brecilien et du monastère qui était auprès. L`église a été rebâtie plusieurs fois depuis sa fondation.

En 1420, Brelas, au sieur de la Chapelle; Cancouet, au sieur de Baulac; le Pont-Mussarl, à Geoffroi Touet; Villeneuve, à Olivier de Marezac; la Chéze, à Eon Robin; Breil-Houssou, à Guillaume Castenel : cette terre a haute, moyenne et basse-justice et appartient à M.  Joulneaux de Breil-Houssou; Beaulieu, à Jean de la Ville-au-Cerf; cette terre a haute-justice, et appartient à M. de Servaude, qui possède aussi la Ville-au-Cerf, qui a haute-justice; ces deux dernières jurisdictions  s'exercent au Gué de Paimpont, et celle de Breil-Houssou au château de ce nom. Les hautes justices de Plélan et de Chèze s'exercent dans le bourg de l'endroit; Elles appartiennent à M. de Montigny. Ce territoire est coupé par plusieurs vallons. On y voit des terres de bonne qualité, des prairies, beaucoup de landes, et la forêt de Paimpont, qui s'étend en partie dans ce territoire.

**********************

* Marteville et Varin (1843) : 

PLELAN :  (sous l'invocation de saint Pierre et de saint Méen ); commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins sa trève de Treffendel (voy. ce mot), devenue commune; aujourd'hui cure de 2è classe; bureau d'enregistrement; brigade de gendarmerie: chef-lieu de perception; bureau de poste et relai.- Limit, : N. Paimpont; Saint-Péran; Treffendel; E. Treffendel, Maxent; S. Maxent, Loutehel, Guer; O. Baignon, Paimpont. - Princip. vill. : la Rivière, Franquemont, le Trecouët, le Parissel, les Bigotais, la Garoulais, le Châtaignier, le Spelais, le Buisson, Lanlevrier, la Chapelle-aux-Chèvres, Pont-Muzaerd, le Moulin-à-Vent, la Prise, Trélo, la Hantrais, le Haut-Pennée, les Champds-Blancs, le Breil du Coq, Perquis, l'Eclardais, la Grée, l'Ile-Guichard, la Haute et Basse-Haie, le Bodo, la Vieille-Ville, la Bourgoulière, le Gué, Courdouan, Trégu, le Niard. -  Maisonsde la Ville-Neuve, de la Chèze, des Brieux - Superf. tot. 4972 hect. 73 ca., dont les princip. divis. sont : ter. lab. 2587; prés et pât. 337; bois 196; verg. et jard. 8; landes et incultes l582; étangs 44; sup. des prop. bat. 26; cont. non imp. 192. Cons. div. 854;  moulins 8 (de la Ruisselée, de Trecouët, de la Chèze, de Beaulieu, du Grand-Bois, à eau; du Haut, à vent; de la Chèze, à vent 1. Plélan est une petite ville assez bien bâtie et située sur la route de Rennes à Vannes, qui la traverse de l'est-nord-est à  l'ouest-sud-Ouest. L'église n'a rien de bien remarquable; une mairie avec école mutuelle a été construite depuis peu; c'est un bâtiment très-convenable. Tout ce que dit notre auteur sur le corps de Salomon a été démontré erroné à l'article Maixent, auquel nous ne pouvons mieux faire que de renvoyer le lecteur. - Plélan contient au sud les bois de la Chèze et de Berbohen; on y voit plusieurs petits étangs et partie de ceux de la Forge, des Glorets et de Franquemont. 

En 1843, Plélan fut le quartier-général du camp de Thélin. Ce camp, qui avait jeté quelque aisance dans le pays, et qui surtout lui avait fourni beaucoup d'engrais, était, peut-être, une mesure plutôt politique en elle-même que philanthropique; pour notre part nous regrettons, sous ce dernier rapport, qu'on y ait si tôt renoncé. - Le camp de Thélin était assis sur une lande fameuse dans ce pays sous le nom de République de  Thélin. - On n'a rien de précis sur l'origine de cette petite république; mais, selon la tradition, un Mortemart, fait prisonnier en Italie vers 1520, fut racheté par ses vassaux de Bretagne. De retour en ses foyers, le seigneur de Mortemart, reconnaissant, donna à ses vassaux, en toute propriété, le fief du Thélin, avec certains droits dans la foret de Paimpont. Thélin fut donc transformé en république, et administré par deux préfets, élus chaque année à la fontaine de Bodine. - Cette petite république avait sa chapelle où les citoyens Thélandays entendaient la messe le dimanche, son cimetière où seuls ils pouvaient recevoir la sépulture, etc. Mais, depuis quelques années, la république s'est séparée et a plaidé contre l'indivision : elle se ruine en procès. - Encore quelque temps, et il ne restera plus d'autre souvenir de cette curieuse individualité que les fragments d'une croix que l'on voit encore, près de Plélan, au lieu dit le Pont-Garin, dans un chemin de traverse qui conduisait au Thélin, avant que l'on eût fait une large et bonne route pour le service du camp. Cette croix porte une curieuse inscription, qui a été récemment relevée par M. Ramé, et dont nous donnons ici le texte aussi exactement qu'il nous a été permis de le traduire : l'an míl VCC LX et six ll ung vendredi au matin ll Thoumas  Dannet fist ll meptre ceste (croix) au Pont-Garin ll le Viii jor de juin ll  pour dire le vray ll fut amené du Coldin ll par les Thélandays. || Dans cette inscription, il y a plusieurs mots que nous avons déchiffrés plus par la rime que par les lettres qui les composent. Ainsi, le mot vray et le mot Coldin ne sont pas donnés par nous comme certains. - Quant a l'origine elle-même du Thelin, elle nous semble reposer sur une tradition peu certaine, car les Mortemart ne durent entrer qu'à la fin du XVIlè siècle dans la famille qui possédait le Thélin. - M. Baron Du Taya a fait imprimer une curieuse notice sur cet intéressant sujet; mais comme tous les vrais érudits, M. Du Taya, difficile et sévère à propos de ses propres œuvres, n'a pas encore voulu la publier, craignant de n'être pas assez certain des faits qu”il y a avancés.

Selon nous, les mots plé, ploué et plou, qui entrent en composition dans beaucoup de noms bretons, ne signifient pas peuple, territoire, comme on 1'a écrit tant de fois, et ne viennent pas du latin plebs, mais du breton plouef, et par contraction plouf et plef, qui, en composition, font plou, pleu et plé, surtout quand ils sont placés devant une consonne. Or, Daviès explique ce mot breton, qui s'écrit plwyf et se prononce plouef,  par le mot latin parocchia, paroisse, de même qu'au mot parrochus, curé, il donne l'explication offeirie plwyf, ou prêtre de la paroisse. Ainsi donc, quand même on démontrerait que le breton plouef vient du latin plebs et n'en est qu'une  traduction, il n'en serait pas moins prouvé que, dans les composés bretons, plouef signifie paroisse, et a dès lors une application analogue à l`autre mot dont nous avons restitué le sens, c'est-à-dire au mot lann  (voy. Lampaul.) Ainsi pleubían ne veut pas dire petit peuple, mais bien petite paroisse, et c'est, dans ce sens, l'opposé de plomeur, qui veut dire grande paroisse et non  grand peuple. Cette étymologie est éminemment simple; cependant, faute de l'avoir connue, on a donné et répété  les étranges explications, fondées sur les plebs. Pour Plélan, par exemple, on a accouplé  le plebs latin au land breton, qui veut dire lande, qui n'a rien de commun avec lann, église monastère, etc; de là on a fait peuple des landes; comme si, en Bretagne, cette dénomination n'eût pas convenu, il y a mille ans, à presque toutes les paroisses de l'intérieur du pays. - Fondé par les moines de Saint-Melaine, Plélan dût être appelé Plouef-lann, par contraction Plouélan, et enfin Plélan;  or, ces deux mots voulaient dire littéralement église du monastère. - ll y a foire le 15 février, le premier samedi d'avri1, le 19 mai, le Ier août, et enfin le 3 novembre. Cette dernière est dite foire des Trépassés. ll y a marché le samedi - Géologie : schiste argileux, quartzite. Plusieurs minières de fer sont exploitées sur ce territoire; les quatre principales sont celles de la Prée, de la Gelée, de Trudo et du Grand-Minerai. - On parle le français.

Nous croyons devoir compléter notre article sur Plélan par les fragments ci-dessous, que nous empruntons à d'excellentes notes qui nous ont été fournies par M. l'abbé Oresve.
« Lorsque Salomon III eut bâti le monastère de Maxent, auquel il donna le nom de monastère de Salomon, il bâtit un autre château dans l'endroit qu'on nomme aujourd'hui le Gué-de-Plélan. Il fut appelé le château de Trecouët ou de Brecilien. On voit encore l'emplacement de ce château. C'est une motte d'une grande étendue, entouré d'un fossé que remplissait le gros ruisseau qui passe auprès. Salomon s`était fixé dans cet endroit pour être plus a lieu de profiter des prières des moines de Maxent. ll avait fondé une chapelle auprès de son château, connue encore sous le nom de Trécouët. Cette chapelle, située sur les limites de Plélan et de Paimpont, occasiona, en 1230, une contestation entre l'abbé de Paimpont et celui de Saint-Melaine, qui fut terminée par une transaction. Salomon, à l'extrémité de son pare, avait aussi établi un oratoire où il se retirait souvent pour prier. Après la mort de ce prince, cet oratoire et ses dépendances furent donnés à l'abbaye de Saint-Melaine de Rennes. Les religieux de Saint-Melaine bâtirent ensuite une église et un prieuré qui ont donne naissance à la paroisse de Plélan. Après les ravages des Normands, vers 919, cette église fut envahie par des laïcs et desservie par des prêtres séculiers; mais Raoul II fut assez heureux pour se faire restituer cette église par le moyen de Donoal, évêque d'Aleth. Ego Donoatus, episcopus Alethensís, etc., R. abbatis Sancti-Melani monachorum ejus justis petitionibus safisfariens, etc., eas perpetualiter ecclesias quietè illos possidere confirmo, quibus illos rationabiliter jam investitos certissimè scio, ecclesiam scilícet de Ploëlan, etc. Cet acte est de 1122. Salomon III donna plusieurs privilèges aux habitants du Gué.
Parmi ces privilèges, il leur accorda une foire qui se tint en cet endroit jusqu'a 1'époqne ou les habitants de Plélan la transportèrent dans leur bourg. Une partie des chartes de ces privilèges royaux furent probablement perdue lorsque les Normands détruisirent le château; mais plusieurs autres papiers importants furent., pendant le temps de la Ligue, portés au château de Comper : on ne sait ce qu'ils sont devenus. La tradition de tous ces faits est encore bien conservée parmi les habitants du Gué-de-Plelan."

Patrimoine. Archéologie / Glad. Arkeologiezh

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Motte Salomon (IXè-Xè), au Gué  
Le bourg Ar bourg
Église saint Pierre (XVIIè; XIXè) Iliz sant Pêr
Chapelle saint Marc & saint Julien (XVIIè), au Gué  
Chapelle sainte Anne (XVIIè; XIXè), aux Rosais  
Chapelle de Thelin (fin XIXè-début XXè)  
Croix de l'étang de Trecouët (vers le XVIè)  
Croix des Thélandais (vers XVIIIè)  
Fontaine saint Fiacre (1860)  
Manoir de Pont-Muzard (XVIIè)  
Manoir de la Vielle-Ville (XVIIè-XXè)  
Manoir Mouton (XVII7) au Gué  
Manoir des Brieux  
Manoir de la Chèze-Erbrée (XVIIè)  

Étymologie / Gerdarzh

* Jean-Yves Le Moing : Plulan vicaria, 834; Ploelan, 862; Plebe Lann, 863; 

* Erwan Vallerie : Pluilan, 834; Ploelan, 862; Plebelan, 866; Plebe Lann, 869; Ploilan, 871; Plelan, 1144; Plelann, 1333; Plelan, 1394, 1467; Lerguedplelan, 1630; Ploelan, 1636

* Hervé Abalain : Paroisse de l'ermitage

Personnes connues Tud brudet
   

Armorial * Ardamezeg

 
de Beaulieu   Danet d'Erbrée Gaësdon / Gaedon  
Seigneurs dudit lieu, en Plélan-le-Grand; de la Rouzays, en Vézin; de Coëtquen, en Ploufragan; de la Ville-Juhel, en Saint-Michel de Saint-Brieuc

"d'azur au lion d'argent accompagné de neuf besants d'or, 4, 2, 3"

"en glazur e leon en arc'hant, heuliet gant nav bezantenn en aour, 4, 2, 3"

Deux connétables de Rennes, en 1495 et 1498

(PPC)

Seigneurs du Passoué et de Trébulan, en Guer; de la Herblinaye, en Carentoir; du Coudray, en Plélan-le-Grand; des Longrais, en Saint-Thurial

"de sable à la tour d'or"

"en sabel, e dour en aour"

références et montres de 1479 à 1513

(PPC)

Seigneurs dudit lieu paroisse d'Erbrée; de la Chèze en Plélan; de la Haye

"d'argent à trois molettes de sable"

"en arc'hant e deir rodig-kentr en sabel"

(PPC)

 

Seigneurs de Francmont  

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Plélan-le-Grand Kumunioù kanton *Plelann-Veur
Bréal-sous-Montfort *Breal-Monforzh
Maxent *Skirioù-Masen
Monterfil *Mousterfil
Paimpont *Pempont
Plélan-le-Grand *Plelann-Veur
Saint-Péran *Sant-Pêran
Saint-Thurial *Sant-Turiav-Porc'hoed
Treffendel *Trevendel

Communes limitrophes de Plélan-le-Grand

Parrezioù tro war dro *Plélann-Veur

Paimpont Saint-Péran Treffendel Maxent        

Sources; Bibliographie :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; 

* A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.

* POL POTIER de COURCY : Nobiliaire et Armorial de Bretagne. Tome IV. Edition 2015

* Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Editions FLOHIC : Le Patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine. 2000

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Les Universels Gisserot. 2000

* Daniel DELATTRE  : L'Ille et Vilaine. Les 352 communes. 2004

* Michel FROGER & Michel PRESSENSE  : Armorial des communes des Côtes d'Armor & Ille-et-Vilaine. 2008

* AL LIAMM : Nouveau Dictionnaire Breton / Français; Français / Breton. 2014

Liens électroniques des sites Internet traitant de Plélan-le-Grand / *Plelann-Veur :

* lien communal : https://www.plelan-le-grand.fr/

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* pour le blason de Plélan-le-Grand  : dessin JC Even sur logiciel Genhéral5. 

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

Retour en tête de page. En dro d'ar penn ar bajenn