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Breizh Bretagne |
Bro-Sant-Malo Pays de Saint-Malo |
Paimpont *Pempont |
pajenn bet digoret e 2003 | page ouverte en 2003 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 09/11/2023 21:39:52 |
Définition
: Commune de la Bretagne historique, en Bro-Sant-Malo,
pays-évêché de Saint-Malo. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite 'de Bretagne', département d'Ille et Vilaine; arrondissement de Rennes; canton de Plélan-le-Grand; sur l'Aff. Code postal : 35380 Superficie : 10798 ha. (11028 selon D. Delattre) Population : 4000 'communiants' vers 1780 (y compris la trève de Saint-Péran) ; 3250 hab. en 1881; 1714 hab. en 1968; 1449 hab. en 1982; 1395 hab. en 1999; |
Armoiries; blason : * Éditions Flohic (2000) : "Ce sont les arme de l'abbaye. Le cercle évoque la table ronde du roi Arthur, et les trois couronnes d'or symbolisent le règne du roi Arthur, du roi Salomon et du roi Judicaël". * Froger & Pressensé (2008) : "d'hermine à un grand tourteau d'azur chargé de trois couronnes ducales d'or posées 2 et 1" * J.C. Even : "en erminoù, e dorzhell meur en glazur karget gant teir c'hurunenn dug en aour" |
Paroisse / Parrez : sous le vocable de la Vierge |
Histoire / Istor : Le territoire dans lequel se trouve aujourd'hui Paimpont faisait partie, à l'époque de la Gaule indépendante, puis de la gaule romaine, de la civitas des Coriosolites.
***** Ce territoire fait partie, dès 385, du Tractus Aremoricanus mis en place par l'empereur Magnus Clemens Maximus Augustus ( = Maxime), sans cependant faire partie de la dotation originelle du même empereur à son beau-frère le Britto-romain Kynan (Conan Meriadec).
Les relations intimes réalisées par l'alliance et la victoire conjointe de Carohaise / Carhaix entre Gaulois armoricains et Britto-romains fait que, peu après 496, Clovis reconnaît la réunion des cités ossisme et curiosolite dans le cadre de l'organisation d'une 'petite' Bretagne en extrême ouest armoricain. C'est de cette alliance des cités et des peuples qu'est née la Bretagne armoricaine. ***** * Ogée (1779) : Paimpont; abbaye et paroisse, située dans la forêt
de son nom; à 15 lieues au S.-S.-O. de Saint-Malo, son évêché;
à 7 lieues 1/2 de Rennes, son ressort, et à 3/4 de lieue de Plélan,
sa subdélégation. On y compte 4000 communiants, y compris ceux de Saint-Péran, sa
trève. La cure est présentée par le chapitre de l’abbaye, et c’est un
moine de cette maison qui fait les fonctions de curé. Ce territoire est un pays Ce fut l’an 1273 [1211]* que le monastère de Paimpont fut érigé en abbaye-paroisse et donné aux chanoines réguliers de Saint-Augustin, pour y faire les fonctions de pasteurs et de curés, sous le nom de Notre-Dame de Saint-Salomon [de Saint-Judicaël] de Paimpont*. Le seigneur de Loudéac contribua généreusement an nouvel établissement de ces moines, leur accorda le droit de chasse et la permission de prendre tout leur bois de chauffage dans la foret. L’étang de cette abbaye et celui de la Forge font la principale source de la rivière d'Aph[Aff], qui va se jeter dans celle d’Oust. La trève de Saint-Péran, le prieuré de Talhouet, Franqnemont ct la maison de la Gaillarde sont dans ce territoire. * Marteville et Varin (1843) PAIMPONT (sous l'invocation de la Vierge, le 15 août);
commune formée de l’anc. par. de ce nom, moins son ancienne trève
Saint-Péran; aujourd’hui succursale; chef-lieu de perception. — Lim.
: N. Concoret, Muel, Saint-Mâlon; E. Iffendic, Saint-Péran, Plélan;
S. Baignon, Campénéac; O. Tréhorenteuc, Néant, Mauron. — Princip. vill. :
la Ville-Danet, Gaillarde, Tellouet, l'Abbaye de Tellouet, les Quibois,
Haute-Sangle, le Buisson, Haut-Fourneau, Coganne, Trudeau, Trédéal, le Gué, les Forges, le Pont-
du-Secret, le Cannée, la Fonderie, Beauvais, la Touche-
Guérin, le Pertuis-Néanti, Follc-Pensée. — Ancien château de Paimpont, le
Pas-du-Houx. — Superf. tot. 11018 hect., dont les princip. div. sont :
ter. lab. 1834; prés et pât. 512;
bois 6070; verg. et jard. 64; landes et incultes 2042; étangs
233 ; sup. des prop. bât. 30; cont. non imp. 232. Const. div.
900; moulins 6 [de la Vallée, du Châtenay, de la Chèvre, à eau; petit
moulin à papier près la Ville-Danet; du Marnis,
de Beauvais, à vent).
L’ancienne abbaye de Paimpont, dite, par mauvaise traduction du nom de Paimpont,
abbatia beate Mariae de Panepontis, était, dans l’origine, une
dépendance de l'ancienne abbaye de Saint-Méen-dc-Gaël, desservie par
des religieux bénédictins. Vers la fin du XIIè siècle, une
lutte s’engagea entre les moines de Paimpont
et ceux de Saint-Méen, les premiers voulant se rendre indépendants des seconds; mais, en
1192, le pape Célestin III
trancha la question en soumettant définitivement le prieur de
Paimpont à l'abbé de Saint-Méen. Ce même prieur, Tual,
obtint peu après du pape Innocent III sa nomination à l’abbaye de
Saint-Jacques-de-Montfort. Cette dernière abbaye étant de l’ordre
des chanoines réguliers, dits Augustins,
les chanoines s’opposèrent à cette nomination d'un bénédictin;
mais Tual tint ferme, et finit par être installé. Alors
il reprit l'ancienne querelle de Paimpont contre Saint-Méen, et, pour
assurer le succès de la première de ces maisons, il ne trouva aucun meilleur
moyen que celui de la
faire changer d'ordre, ce qu’Innocent lui concéda encore.
— Paimpont est une altération du nom primitif, qui est
d’origine bretonne, et qui s’écrivit d’abord Penpont,, qu’on
a cru traduire en français par les mots tête de pont. On a
dit, pour justifier cette étymologie, que l'abbaye était située à la
naissance de la rivière d’Aff, et probablement
près d’un pont établi en cet endroit. C'est là, selon nous,
une étymologie peu probable. Il nous semble plus naturel
d’admettre que le second mot Pont n'est que le résultat d’un autre mot dénaturé ou par l’usage,
ou par l’orthographe. Pont, en breton, n’est qu’une imitation
de la langue
française, et ne remonte pas à une époque très-reculée. Or, la maison monacale
de Paimpont avait été, dit-on, fondée en 630 par Judicaël, et soumise par lui
à Saint-Méen, ce qui est fort probable, et ce qui s’explique par
le fait que Gaël et Paimpont devaient faire à cette époque, compris
tous deux dans la fameuse forêt de Brocéliande, dont les restes forment
maintenant la forêt de Paimpont. — Cette forêt, que notre auteur apprécie
à 23,000 arpents, ne pouvait
avoir cette superficie en 1780, puisque aujourd’hui elle n’a réellement
que 6070 hectares; c’est-à-dire a peine 12,000 arpents. — Telle qu’elle est cependant, on
peut citer la forêt de Paimpont comme une des plus belles de la Bretagne. Brocceliacensi monstrum adimirabile fontis (Philip., c. 6.) " Prodige admirable de la fontaine de Brocéliande ! Que l’on répande quelques gouttes de son eau sur la pierre qui touche ses bords, aussitôt cette eau se transforme en nuages épais et chargée de grêle; les airs retentissent soudain des mugissements de la foudre, et se chargent malgré eux d’épaisses ténèbres; ceux qui ont provoqué le prodige se repentent de leur imprudence, et voudraient ne 1’avoir pas connu, tant est grand le saisissement qui s’empare de leurs cœurs, tant est profond l'effroi où ils sont plongés. Prodige étonnant, mais vrai cependant, et attesté par une foule de témoignages." Ces relations poétiques trouvent un écho dans les témoignages des romanciers : La fontaine de Barenton
A Barenton per grant chalor,
Il y aurait tout un volume a écrire sur les merveilleuses traditions de la foret de Brocéliande. Nous ne pouvons mieux faire ici que de renvoyer, comme nous l’avons déjà fait, a l'ouvrage de M. Baron du Taya. Les vieilles traditions de la forêt enchantée ont traversé les siècles, et se sont implantées dans ce pays, où la croyance aux enchantements est restée vivace. Un ancien titre de la propriété de la forêt, que nous avons vu il y a près de vingt ans, avait transmis déjà ces traditions superstitieuses : "On y distingue (dans la forêt), y est-il dit, le Breil an Seigneur, auquel jamais n’habite ni ne peut habiter aucune beste venimeuse, ne nulles mouches,.... et quant en approchent tost sont mortes....." De nos jours, nos paysans n’en sont plus à croire cela; mais le soir, à la veillée, plus d’une vieille femme raconte encore aux enfants ces apparitions des follets ou de la fée Viviane, travestis en fées moins douces et moins gracieuses que la rusée et traîtresse mie de l’enchanteur Merlin. S’il est permis de justifier jusqu’a un certain point ces bizarres idées, nous dirons qu’il est bien constant que les marécages situés au nord de la haute forêt de Paimpont pressentent, au lever du soleil, le phénomène singulier de la réfraction des corps. Des hommes dignes de foi nous ont assuré, entre autres, avoir observé deux ou trois images de leurs personnes ou de personnes qui les accompagnaient, se reproduisant dans le brouillard du matin, lorsque les corps se trouvaient placés entre la lumière et les vapeurs condensées au dessus des landes tourbeuses. Peut-être ce phénomène était-il connu de nos ancêtres, et formait-il la base de tous les enchantements de la belle forêt de Brocéliande. Ce qu’il y a de certain, c’est que le même phénomène est bien connu en Hanovre sous le nom de Spectre du Brocken . et que là on rencontre, pour ainsi dire, les mêmes traditions superstitieuses que nous signalons ici. Sur le Brocken, l’un des pics des montagnes de Hartz, on voit des blocs de granit dits "Autel de la Sorciére", puis une source dite "la Fontaine magique", qui rappellent d’une manière frappante le Perron de Merlin et la Fontaine de Barenton. Enfin, Bouguer et La Condamine furent témoins, en novembre 1744, sur le sommet du mont Pambamarca, au Pérou, d’un phénomène analogue. — Il y a foire à Paimpont le mardi de la Pentecôte. — Géologie : quartzite; schistes rouges; argiles chlorotiques; tourbe dans les terrains ai nord; gisement de fer hydraté exploité pour les forges de Paimpont. Ces schistes rouges, et certains grès qui se taillent bien, sont aussi exploites et employés à la construction des fourneaux. — On parle le français. * Editions Flohic (2000) : page 1108, traitant de la "Carte de la forêt de Bréssilien : "Riche pour l'étude toponymique, elle permet de comprendre de l'implantation de rites "arthuriens" - relatifs à la légende du roi Arthur - est une acculturation récente." ============= J.C. Even : On pourra voir en activant les différents liens donnés ci-dessous en bibliographie, ce qu'il y a lieu de penser de "l'imaginaire de la forêt de Paimpont"
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Le thème arthurien en foret de Paimpont |
Documents relatifs à l'identification de Brocéliande à Paimpont |
Archéologie.
Patrimoine :
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Étymologie / Gerdarzh : * Marteville et Varin (1843) : "Paimpont est une altération du nom primitif, qui est d'origine bretonne, et qui s'écrivit d'abord Penpont, qu'on a cru traduire en français par les mots tête de pont. On a dit, pour justifier cette étymologie, que l'abbaye était située à la naissance de la rivière Aff, et probablement près d'un pont établi en cet endroit. C'est là, selon nous, une étymologie peu probable. Il nous semble plus naturel d'admettre que le second mot Pont n'est que le résultat d'un mot dénaturé ou par l'usage ou par l'orthographe. Pont, en breton, n'est qu'une imitation de la langue française, et ne remonte pas à une époque très reculée. Or, la maison monacale de Paimpont avait été, dit-on, fondée en 630 par Judicael, et soumise par lui à Saint-Méen, ce qui est fort probable, et ce qui explique par ce fait que Gaël et Paimpont devaient être à cette époque compris tous deux dans la fameuse foret de Brocéliande, dont les restes forment maintenant la foret de Paimpont". * Marquis de Bellevue (1912) : - page 65 : "Ce fut vers l'an 630 que le roi Judicaël fonda au cœur de la forêt de Brécilien, près du vieux château de Ponthus (Pen-Ponthi), un monastère sous le vocable de Notre-Dame qu'il donna aux moines de l'abbaye de Saint-Jean de Gaël, dite plus tard Saint-Méen" - pages 153-154 : "Pontus, dit la légende, était fils du roi de Galicie (Espagne); ayant, par suite d'un naufrage, attéri (sic) en Armorique, il se lia avec le seigneur de Gaël et de Brécilien, dont, après plusieurs passes d'armes ou tournois qui eurent pour théâtre "le champ clos des Tournois", il épousa la fille, la belle Sydoine. Après son mariage, il habita le vieux château de Bellanton, dit depuis "château de Pontus", et fut seigneur de la partie Nord-Ouest de la forêt de Brécilien, qui prit le nom de "Paimpont" ("Pen-Ponti, capitale et fief des Pontus"). * Dauzat & Rostaing (1963-1978) : Caput Pontis, 832-850; Penpont, 870. * Jean-Yves Le Moing (1990) : Caput Pontis, & Penpont, 850; Penpont, 1192; de Panis Pontis, 1330; * Erwan Vallerie (1995) : Caput Pontus, IXè; Pane Ponti, 1082; Penpont, 1192; Panis Pontis, 1207; Painpont, 1406; Penpont, 1451; Painpont, 1516 * Michel de Mauny (1996-2004) : page 19 : "Brocéliande, ou Brécilien, dont l'étymologie serait Barc'h Hélan, empire des Druides, s'appelle aujourd'hui Paimpont, déformation de Pen Ponthi, commencement (du fief) de Ponthus, ou de Pen-Pont, le bout du pont, sans qu'on puisse dire de quel pont il s'agir". * Éditions Flohic (2000) : "du latin caput pontis, "tête de pont" ou "bout du pont" |
Personnages connus | Tud brudet |
Éon de l'Étoile | |
du Bé | Le Dall | Polluche | Salmon | Vaillant |
Seigneurs
dudit lieu en Ménéac;
de la Morlaye en Saint-Aubin; de la Colinaye en Saint-Jean-sur-Couesnon;
de la Garenne et de la Hachenaye, en Paimpont;
de Trébert en Concoret;
de la Lande, en Etrelles.
"de gueules à trois écussons d'argent chargés chacun de
trois hermines de sable"
- Pierrot, écuyer dans une montre de 1382 (PPC) |
Seigneurs de Feuntenmen; de Penallen; de
Tromelin, en Kernouez; de Kerdivez "d'argent à une fasce de gueules, chargée d'une étoile d'argent, et accompagnée de trois trèfles de sable" "en arc'hant, e dreustell en gwad karget gant ur steredenn en arc'hant, hag heuliet gant teir melionenn en sabel" un abbé de Paimpont en 1773 (PPC) |
Seigneurs de Boutdeville, de la Bourdelaie 'd'or à trois fasces de gueules, au chef d'azur chargé dune grenade d'argent'. |
Seigneurs de Brandeseux 'd'azur au chevron d'or, accompagné de trois têtes de lion du même de profil' |
famille originaire d'Angleterre Seigneurs de Guélis "d'azur à l'ancre d'argent, trabée de sable; surmontée de deux molettes d'or" "en glazur, e eor en arc'hant, e neuenner en sabel; leinet gant div rodig-kentr en aour" Germain, abbé de Paimpont en 1554, évêque d'Orléans en 1586 (PPC) |
Vie associative et culturelle | Buhez dre ar gevredadoù |
Jumelage avec Cédeira, en Espagne |
Communes limitrophes de Paimpont |
Parrezioù tro war dro *Pempont |
Muel | Saint Malon sur Muel | Saint-Péran | Plélan le Grand | Tréhorenteuc | Néant-sur-Yvel | Mauron | Concoret |
Sources; Bibliographie : * OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vers 1780. * MARTEVILLE et VARIN, continuateurs, correcteurs et adaptateurs d'Ogée; 1843. * Marquis de BELLEVUE : Paimpont. Le camp de Coëtquidan. 1912. Réédition La Découvrance. 1994 * Albert DAUZAT & Charles ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Larousse, 1963; Guénégaud, 1978. * Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop-Breizh. 1990. * Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995 * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes d'Ille et Vilaine. * Michel de MAUNY : La forêt enchantée de Brocéliande. Editions Jos. 1996-2004 * Jacques BRIARD : Les mégalithes, ésotérisme et réalité. Éditions Jean-Paul Gisserot. 1997 * Daniel DELATTRE : L'Ille-et-Vilaine; les 352 communes. Éditions Delattre. 2004 * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et d'Ille-et-Vilaine. 2008 |
Liens électroniques des autres sites traitant de Paimpont / *Pempont : - site internet communal : https://www.paimpont.bzh/ - autres sites internet privés : * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Pempont * forum du site Marikavel : Academia Celtica * concernant l'établissement de la fausse identification de Paimpont à Brocéliande : http://marikavel.net/broceliande/broceliande.htm * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |