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Breizh Bretagne |
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Pontchâteau Pont-Chastèu (*Pont-Kastell) |
pajenn bet digoret an 01.05.2014 | page ouverte le 01.05.2014 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 02/11/2024 13:45:50 |
Définition : commune
de la Bretagne historique, en Pays de Nantes / Bro Naoned;
évêché de Nantes. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite des "Pays de Loire", département de Loire-Atlantique, arrondissement de Saint-Nazaire; chef-lieu de canton; sur le Brivet. Superficie : 5536 ha. Population : 4000 'communiants' vers 1780 (y compris ceux de Sainte-Reine); 7537 hab. en 1990; |
Armoiries; blason : * Froger et Pressensé (1996) : * Éditions Flohic : "les croissants évoquent les armoiries du seigneur Eudon, ou Eon, et le fond provient des armes d'Hervé Ier de Blain" * JC Even : "brizhet, e deir greskenn en gwad" |
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Histoire : * Ogée (vers 1780) : Pont-Château;
gros bourg, sur la route de Nantes à Vannes; à 10
lieues à l'O.-N.-O. de Nantes, son évêché et son
ressort, et à 18 lieues de Rennes. On y compte 4000
communiants, y compris ceux de Sainte-Reine, sa trêve.
La cure est à l'alternative. On trouve à Pont-Château
une subdélégation, et un marché tons les lundis. C'est
une seigneurie considérable, qui envoie aux Etats, comme
baronie; mais elle n'a qu'une seule voix avec le seigneur
de Pont-Labbé. Pont-Château, haute-justice, à M. le
comte de Menou, seigneur de l'endroit et lieutenant-de-roi
à Nantes; le Crevi, moyenne et basse-justice, à M. le
sénéchal de kerguisé; Langle-Ruine, moyenne et basse-justice,
à M. Charette de la Colinière. L'an 1050,
Jarnogan, seigneur de Pont-Château, fit une donation au
prieuré de Saint-Cyr de Nantes, connu aujourd'hui sous
le nom de Saint-Léonard. Benoît, évêque de
Nantes, donna, en 1080, l'église de Pont-Château au
nommé Rodoald, avec tous les droits qu'il avait dans
cette paroisse, malgré la défense du concile tenu à
Rome en 1049, lequel désapprouve et condamne des
donations semblables, faites à des laïques. Rodoald,
étant tombé malade, eut envie de se faire moine, selon
la folie du temps, dans l'idée que cela seul suffirait
pour expier toutes les fautes qu'il avait pu faire; mais
comme il fallait beaucoup d'argent pour avoir la
consolation de mourir avec un froc, il n'eut d'autre
parti à prendre que celui de donner son église de Pont-Château
à l'abbaye de Marmoutier. On ne refusa pas son présent,
et le capuchon monacal lui fut sur-le champ accordé. De
pareilles bévues peignent très-bien les murs de
ces temps d'ignorance, et nous montrent jusqu'où peut
aller une aveugle dévotion. Rodoald avait une femme et
un fils à la mamelle, et il aima mieux laisser ces deux
faibles créatures dans la plus affreuse indigence que de
mourir hors du cloître; il se contenta de les
recommander à Benoît, évêque de Nantes, son
bienfaiteur, qui eut lui-même la faiblesse de consentir
à cette donation insensée et cruelle. Dès que Rodoald
fut mort, Bernard, abbé de Marmoutier, se rendit à
Nantes, chez les moines de son ordre, qui y demeuraient
alors, dans la paroisse de Sainte-Radegonde. L'évêque
Benoît, ayant appris l'arrivée de cet abbé, lui parla,
et l'engagea à pourvoir au besoin de la veuve et du fils
du donateur; mais celui-ci le refusa, et dit très-positivement
et très-monastiquement qu'il n'en ferait rien.
Quelque temps après, il partit pour prendre possession
du riche héritage qu'on lui avait si mal à propos
laissé. Heureusement, le baron et les autres seigneurs
des environs, qui se trouvèrent à cette prise de
possession, lui représentèrent avec tant de force qu'il
était juste qu'il fît subsister cette malheureuse
famille, que, cédant à leurs importunités, peut-être
plutôt qu'à la justice, il consentit de donner l'habit
de moine à l'enfant lorsqu'il serait en âge, et que, s'il
voulait rester dans le monde, il pourvoirait à ses
besoins. Depuis ce temps, l'église de Pont-Château est
restée aux moines de Marmoutier, qui en ont toujours
perçu les dîmes, qui produisent, année commune, au
moins cent tonneaux de grains : il faut pourtant avouer
qu'ils en abandonnent la cinquième partie au recteur. A
près cela, qui ne louerait pas leur générosité ? L'an
1116, Josselin, seigneur de la Roche-Bernard, donna au
prieuré de Pont-Château la troisième partie des dîmes
de son fief de Plaisance. L'an 1125, Olivier, seigneur de
Pont-Château, fils de Jarnogan, Savary, seigneur de
Donges, et quelques autres seigneurs, accompagnés d'une
troupe de brigands, se rendirent à Redon, et pillèrent
les vassaux des moines de Saint-Sauveur. Le duc Conan III
envoya contre ces seigneurs des troupes qui les
pressèrent si fort, qu'ils furent obligés de se
réfugier dans l'église de l'abbaye, où ils se crurent
en sûreté; mais ils se trompèrent, l'église fut
bloquée, et les assiégés, pressés par la faim, se
virent contraints de se rendre prisonniers. Ils furent
conduits à Nantes, et enfermés dans le château du
Bouffay, où ils restèrent jusqu'en 1127. Ce fut à
cette occasion que le duc fit raser le château de Donges.
Olivier de Pont-Château, qui avait été excommunié, ne
put recevoir l'absolution, ni s'accommoder avec les
moines de Redon, qu'en se dépouillant en leur faveur de
sa terre de Ballac, située dans la paroisse de Pierric,
terre qui depuis a formé un riche prieuré, dont
jouissent les bénédictins de Redon. Cette cérémonie
se fit avec la plus pieuse formalité, au pied des autels,
le 24 octobre 1127. L'an 1132, Olivier, plus irrité que
jamais contre les moines de Redon, pilla les possessions
qu'ils avaient dans la paroisse de Moais, où il leur
causa un dommage qui fut évalué à environ 500 sous.
Brice, évêque de Nantes, lança aussitôt contre lui
les foudres de l'excommunication, que le coupable ne put
faire lever que par la donation qu'il fit de la terre de
Brengoen, qui était à peu de distance de celle de
Ballac. L'écrivain qui rapporte ce fait assure qu'Olivier
ne voulut plus s'exposer une troisième fois à mériter
la disgrâce de ces religieux.. L'an 1189, Eudon de
Pont-Château, voulant réparer les injures qu'il avait
faites aux moines de Marmoutier, qui desservaient alors l'église
de Pont-Château, et se réconcilier avec eux, les
exempta de plusieurs droits qu'ils devaient à sa
seigneurie, particulièrement des 14 sous de rente qu'ils
lui devaient pour le droit de pêche dans la rivière, et
leur donna de plus un clos de vignes et deux pièces de
terre qui dépendaient de sa seigneurie. L'an 1225, la
terre de Pont-Château passa à la maison de Rohan, d'où
sortirent les seigneurs de Pont-Château. L'an 1236,
Constance, dame de Pont-Château, fille d'Eudon de Pont-Château,
fit plusieurs dons à l'abbaye de Blanche- Couronne.
Autrefois, pour honorer les morts, on allumait des lampes
sur leurs tombeaux. Eudon de Pont-Château en fonda une,
en 1258, dans l'église de l'abbaye de Blanche-Couronne,
pour brûler, jour et nuit, devant la sépulture de son
père, qui y était inhumé. On avait encore, en ce temps,
la coutume de mettre dans les tombeaux des pots avec du
charbon allumé et de l'encens; on en trouve plusieurs
preuves dans l'histoire. Durand remarque que cet usage n'était
pas général L'an 1274, Nicole, dame de Lesquern,
donna au prieuré de Pont-Château les deux tiers des
dîmes et des prémices qu'elle avait dans son domaine de
Pont-Château et de l'Ecran, avec un champ et un manoir
qui y était joint. Guillaume de Lesquern, son fils,
ratifia cette donation et y ajouta 11 sous 6 deniers de
monnaie courante de rente. L'an 1290, le seigneur de
Clisson était seigneur de Pont-Château. Pierre
de Rohan, baron de Pont-Château, mourut en 1518, et fut
inhumé aux cordeliers de Rennes. Ce seigneur avait fait
son testament dans la maison de la Thebaudais, le 12 juin,
et confirmé le 22 suivant; il porte qu'il sera dit dix
mille messes basses, et qu'on fera, à deux mille pauvres,
le jour de son service à Pont-Château, une aumône d'un
liard à chacun, si tant est que le nombre compétent
puisse s'y trouver; il fonda, par ce même testament,
dans l'église de cette paroisse, une messe quotidienne,
à diacre et sous-diacre, laquelle doit être chantée
par six prêtres et quatre chantres; il assigna une rente
annuelle de 72 livres monnaie courante, à prendre sur la
baronnie de Pont-Château. L'an 1625, René de
Cambout, marquis de Coislin, grand-maître des eaux et
forêts de France, acquit la baronnie de Pont-Château,
et épousa Françoise Duplessis, tante du cardinal de
Richelieu, de laquelle il eut deux fils : l'aîné,
nommé Jean, fut chevalier des ordres du roi, lieutenant
de roi en Bretagne, et gouverneur des ville et château
de Brest. Au mois de juillet 1709, Louis-Marie
Crignon de Montfort, un des grands missionnaires de son
temps, fit à Pont-Château une mission qui est regardée
comme une des plus fameuses qu'il ait faites dans la
province. Cet ecclésiastique zélé, voulant faire
construire un calvaire, exhorta le peuple à le seconder
dans son dessein; tout le monde s'y prêta avec joie, et
l'endroit pour la construction de ce calvaire fut choisi
dans une lande, à une demi-lieue à l'ouest-nord-ouest
de Pont-Château, sur une petite éminence d'où l'on
découvre sept à huit lieues de pays. A la voix du
missionnaire, les habitants de la campagne se rendirent
en foule pour travailler aux fossés qui étaient
nécessaires pour empêcher les bestiaux d'approcher de
la croix qu'on voulait planter. Ce missionnaire, voyant
la grande quantité de peuple qui venait travailler à
cet ouvrage, forma un plus grand projet : il fit creuser
de grandes douves, qui avaient cinq cent pieds de
circonférence, sur vingt pieds de largeur et autant de
profondeur dans uvre; les terres provenant du
creusement de ces douves furent amoncelées pour faire
une montagne. On employa quinze mois à ce travail; les
gens de la campagne y venaient de douze à quinze lieues
à la ronde, hommes, femmes, garçons et filles; il y
avait ordinairement trois cents personnes à travailler
par jour, et chacun y apportait des provisions et des
instruments. Le saint missionnaire, pour augmenter leur
activité, se mettait à leur tête et bêchait comme eux,
en chantant des cantiques, qu'ils répétaient. Enfin, on
parvint à faire une montagne de cent quarante pieds de
large, sur environ quatre-vingts de haut, sur le sommet
de laquelle le missionnaire planta trois grandes croix d'une
hauteur considérable : celle du milieu avait quarante-un
pieds trois pouces de hauteur; l'arbre qui servit à
cette croix était un châtaignier qui appartenait à un
paysan des environs. Le missionnaire, qui lui avait
écrit plusieurs fois, sans recevoir de réponse, prit le
parti d'aller lui-même le trouver, accompagné de deux
charpentiers; et ayant, par son éloquence, arraché un
léger consentement, il fit sur-le-champ couper cet arbre,
et le fit traîner, par vingt-quatre bufs, au
calvaire : c'était peut-être le plus bel arbre qu'il y
eût dans tout le comté nantais, et même dans la
province. Louis-Marie Grignon voulait faire bâtir quinze
chapelles autour de ce calvaire, dans lesquelles auraient
été représentés, de grandeur naturelle, les quinze
mystères du Rosaire; trois étaient déjà bâties,
lorsque le roi Louis XIV, craignant que cet endroit ne
devînt, dans la suite, une citadelle avantageuse à la
rébellion, ordonna de détruire ce calvaire. En
conséquence des ordres de la cour, les paroisses du
voisinage furent commandées pour démolir ce qui leur
avait coûté tant de peine à construire. On voit encore
les restes de ce calvaire, qui annoncent que c'était une
grande entreprise.* Lettres-patentes sur arrêt du
conseil, de l'an 1774, portant établissement de six
foires*, par an, à Pont-Château, en faveur de M. le
comte de Menou. Le territoire de Pont-Château
offre à la vue des terres de la meilleure qualité, des
prairies excellentes, et une quantité prodigieuse de
landes dont le sol paraît mériter les soins du
cultivateur. On y voit plusieurs bois taillis assez
grands; celui qu'on nomme la forêt de là Magdelaine
est le plus étendu. * Marteville et Varin (1843) : PONT-CHATEAU (sous l'invocation de saint Martin); ville; commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins sa trêve Sainte-Reine (voy. ce mot), devenue commune; aujourd'hui cure de 2° classe; bureau d'enregistrement; chef-lieu de perception; brigade de gendarmerie à cheval; bureau de poste et relai. Limit. : N. et N.-E. Saint-Gildas-des-Bois, Drefféac; E. et S.-E. Cambon, Prinquiau; S. et S.-O. Besné, Crossac; O. Sainte-Reine, Missillac. Princip. vill. : la Grée, Beaumard, Quéral, le Clos, la Gacognais, les Métairies, la Menais, la Dréchais, la Gérardais, l'Ile-Gouere, Soulaine, Lurin, Launay, Bressun, Pimpenelle, la Lande, le Rocher, Bréveneux, le Grand-Buisson-Rond, Callac, Pilé, la Jatte, la Percherais. (Voy. le Supplément pour les contenances cadastrales.) Moulins de la Pierre, de la Brissais, de la Madelaine, de Saint-Guillaume, de Beauchêne, de la Lande, de la Cuais, de Prunel, de la Ferrière. La petite ville de Pont-Château est située sur la route de Nantes a Audierne par Vannes, et à l'endroit où devient navigable la petite rivière du Brivé, qui traverse les marais de Montoire et va de là se jeter dans la Loire. Cette localité n'offre rien d'intéressant, si ce n'est un commerce assez important de tannerie et mégisserie, ainsi qu'une assez forte exportation de grains. Les terres qui environnent Pont-Château sont pour la plupart fertiles et produisent d'excellent grain; ou ne s'en étonne que davantage de voir encore incultes beaucoup de landes, dont le sol promet de dédommager des soins qu'on lui donnerait. Aujourd'hui qu'on ne voit plus, comme autrefois, un point dangereux dans la moindre taupinière, l'uvre du missionnaire Grignon a été reprise, en 1822, par le curé de Pont-Château. Comme le père Griguon, il trouva les paysans des environs empressés de lui obéir, et ces braves gens vinrent en procession travailler à relever la montagne, détruite par ordre de Louis XIV; bientôt le calvaire fut relevé. C'est aujourd'hui un monument remarquable, et que sa position sur un point déjà élevé fait distinguer de loin. C'est par erreur qu'Ogée a indiqué en Drefféac la terre de Casso ou du Plessix-Casso. Cette terre, qui appartenait à M. de Lesquen du Plessix-Casso, est aujourd'hui à M. Calvé de Soursac. Les six foires qui se tenaient jadis à Pont-Château ont d'abord été réduites à quatre, et sont maintenant au nombre de cinq; elles se tiennent les deuxième lundi d'avril, 11 juin, 22 juillet, 1er septembre et premier lundi après le 2 novembre. Il y avait à Pont-Château une maladrerie de fondation commune, à présentation de l'évêque. Géologie: Cette petite ville est située sur le sommet du coteau septentrional de la Loire, qui porte le nom de Sillon de Bretagne. Le sol de la commune est un mélange de gneiss passant au micaschiste, alternant avec le granite et la diorite schistoîde; au sud se développent les marais tourbeux. Une source d'eau ferrugineuse existe à la Béraudais. (V. sur Pont-Château dom Morice, Mém., t.I, col. 471, 474, 531, 702, 713, 715, 1031, 1032; t. II, col. 1640; t. III, col. 232, 662, 945). On parle le français. !!!!!!!!!!!!! |
Paroisse : église sous le vocable de saint |
Patrimoine.
Archéologie : seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs
|
i La Bretagne contemporaine. Félix Benoist. 1865 |
Armorial * Ardamezeg
de Talguern | ||||
Guillaume,
de la paroisse d'Herbignac, anobli
en 1486 (PPC) |
Étymologie : * Ogée (1780) : * Marteville et Varin : * Dauzat et Rostaing (1963-1978) : * J.Y Le Moing (1990) : * Editions Flohic (1999) : * Hervé Abalain (2000) : - Phil. Saupin : ------------------ Observation JC Even : |
Communes du canton de Pontchâteau | Kumunioù kanton Pont-Kastell | |
Besné / Bèsnét | *Gwennenid | |
Crossac | ||
Pontchâteau | ||
Saint-Joachim | ||
Sainte-Anne-sur-Brivet | ||
Sainte-Reine-de-Bretagne |
Communes limitrophes de Pontchâteau | Parrezioù tro war dro *** |
Sainte Anne sur Brivet | Missillac | Saint Gildas des Bois | Drefféac | Sainte Reine de Bretagne | Campbon | Prinquiau | Besné | Donges | Crossac |
Personnes connues | Tud brudet |
Famille Chomart | |
Famille Rogon | |
Famille la Muce | |
Famille la Riaillais | |
Famille Chiron du Brossay | |
Robert Craig, Walter
Doughty, Gordon Finch, Clément Haaland, Norman Gronbeck,
Joseph Nelson, Stafford Sullivan Aviateurs du Commonwealth, abattus par la DCA allemande le 25 juillet 1944 |
|
Jacques DEMY réalisateur de cinéma Pontchâteau, 5.06.1931 / *** / 27.10.1990 |
Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Sources; Bibliographie : * OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; * A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843. * Adolphe JOANNE : La Loire Inférieure au XIXè siècle. 1874. continué et commenté par Christophe BELSER : Loire-Atlantique. Editions C.M.D. 2000. * Albert DAUZAT et Charles ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Guénégaud. 1963. Edition 1978. * Editions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire national des communes de France. 1070. * Jean-Yves LE MOING : Noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990. * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes de Loire Atlantique. Froger SA. 1996. * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes de la Loire-Atlantique. 1999. * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. * J.L RAMEL et A.J RAUDE : Liste des communes du département de Loire-de-Bretagne. Maezoe-Heveziken. 2003 |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Pontchâteau : * lien communal : * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |