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Breizh Bretagne |
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Duaod * Duault |
pajenn bet digoret e 2003 |
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dernière mise à jour05/01/2024 20:22:35 |
Définition : commune de la Bretagne historique, en
Haute-Cornouaille / Kernev Uhel, en Poher / Bro-Boher;
Evêché de Quimper. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor, arrondissement de Guingamp; canton de Callac-de-Bretagne; sur l'Hyères. Code Postal : 22160 Superficie : 2159 ha. Population : - vers 1780, y compris Landugen, Burtulet, Locarn, Saint-Nicodème : 3000 'communiants'. - 2832 hab. vers 1860 (y compris Saint-Nicodème et Saint Servais); 1344 hab. en 1878; 1332 hab. en 1886; 1430 hab. en 1890; 638 hab. en 1970; 529 ha. en 1978/1985; 404 hab. en 1990. |
Armoiries : de la famille des seigneurs de Duault : " d'argent au lion de sinople, armé et lampassé de gueules et couronné d'or". * JC Even : "en arc'hant, e leon geotet, krabanet ha teodek en gwad ha kurunet en aour" |
i Le clocher de Duault, en venant de la route de Locarn, par-dessus le champ de kolza / Tour Duod, gwelet en ur tont dre hent Lokarn, dreist ar park kolza |
Histoire : * OGEE, vers 1780 : "Duault, à 14 lieues 1/2 à l'E.-N.-E. de Quimper, son évêché; à 26 lieues de Rennes, et à 2/3 de 1ieue de Callac, sa subdélégation. Cette paroisse relève du roi, et ressortit au siège royal de Carhaix. On y compte 3000 communiants, y compris ceux de Landugen*, de Burtulet*, de Locarn* et Saint-Nicodème*, ses trêves. La cure est à l'Ordinaire. Landugen est un prieuré où l'on fait les fonctions curiales. Albert de Morlaix et quelques autres disent que Duault est une des plus anciennes paroisses de Bretagne. Saint Hernin, qui vint s'y établir en 532, reçut du seigneur de Quélin [Quélen] un petit terrain situé auprès de l'ancienne ville de Keralus. Ce saint y bâtit un monastère, dans lequel il vécut jusqu'en 540, année de sa mort. On éleva dans la suite, sur son tombeau, l'église de Locarn, qui forme aujourd'hui une trêve de Duault-Quélin. La chapelle de Saint-Servais, sise à trois quarts de lieue de ce bourg, et dans son territoire, est très-renommée dans le pays, surtout par une assemblée qui s'y tient tous les ans, le 13 de mai, et où il se trouve plus de dix mille personnes, particulièrement de l'évêché de Vannes, qui font ce voyage pour demander une récolte abondante. Les femmes, en entrant dans cette chapelle, ôtent leurs coiffes et les mettent au bout de leurs bâtons , pour les faire toucher à la figure du saint, qu'elles prient à haute voix de leur accorder de bon blé-noir, de bonne avoine et autres grains. Les hommes en disent autant; et, après la cérémonie, ils entrent dans la sacristie, où ils achètent du marguillier la bannière processionnelle, qu'ils paient argent comptant, et avec laquelle ils forcent le prêtre de faire une procession autour de la chapelle, auprès de laquelle est un petit ruisseau qui sépare cet évêché d'avec celui de Vannes. Les habitants de l'évêché de Quimper, pour empêcher qu'elle ne passe de l'autre côté et ne tombe par là dans la possession des Vannetais, attendent la procession dans cet endroit, où la bannière est mise en pièces par tons les assistants, qui s'efforcent d'en avoir chacun un petit morceau. Ceux qui ne peuvent en approcher tiennent leurs bâtons en l'air, et demandent, par des cris horribles, une bonne récolte. Pour empêcher le désordre, on a soin de commettre environ deux cents hommes pour y mettre la police; mais, pour l'ordinaire, cette troupe, trop peu nombreuse, est repoussée et vaincue par le grand nombre des combattants. En 1766 . l'évêque de Quimper défendit au recteur de Duault d'ouvrir la chapelle de Saint-Servais le jour de l'assemblée dont on vient de parler. Le prêtre voulut obéir à ses ordres; mais les Vannetais se rendirent à la cure, se saisirent du curé, le mirent sur leurs bâtons, avec lesquels ils avaient formé une espèce de brancard, et le portèrent jusqu'à la chapelle, dont ils brisèrent les portes, et le forcèrent de célébrer l'office divin comme par le passé. - Le matin du jour de cette assemblée, il est d'usage de mettre, dans un endroit de la chapelle, un petit pain d'un sou, béni et enfermé dans une espèce de reliquaire qu'on appelle le seuil de Saint-Servais. Tout le monde se trouve à la même heure pour veiller à son ouverture, et celui qui peut s'emparer de ce pain l'emporte et le dépose précieusement chez lui; il l'examine soigneusement quand lui ou quelqu'un des siens tombe malade. Si, disent-ils, il vient à moisir, le malade en mourra; mais s'il reste dans son état ordinaire, la maladie ne sera pas dangereuse. Il y avait jadis à Duault-Quélin (Quélen) une jurisdiction royale qui fut unie et incorporée à celle de Carhaix par édit du roi Charles IX. donné le 29 mars 1564. Il ne s'y exerce plus qu'une moyenne-justice qui ressortit à la Cour royale de Carhaix. La terre et seigneurie de Quélin appartenait, en 1460, à Olivier de Quelin, que le duc François II, par ses lettres données à Nantes le 7 janvier de cette année, créa grand-maître de son artillerie, capitaine général et gouverneur des francs-archers et arbalétriers élus des paroisses du duché de Bretagne. Le roi Louis XII, par ses lettres données au mois de mai 1512, accorda la qualité de banneret à Olivier, seigneur de Quélin et du Vieux-Châtel, pour qu'il pût, ainsi que ses successeurs, porter ses armes et intersignes en bannières. Cette maison portait pour devise, dans ses armes, ces mots : En toute saison, il fait bon prendre conseil. Cette seigneurie a une haute, moyenne et basse-justice, qui s'exerce à Locarn, et appartient présentement aux héritiers de M. de Carcado. Les autres maisons nobles sont : Kernorquin, Kerbournet, l'Espoul [Lespoul] et Kermatman; ces deux dernières ont chacune haute, moyenne et basse-justice (1) qui s'exercent à Callac, et appartiennent à M. de Coat Goureden, chevalier, seigneur des dits lieux, et descendant de Pierre Coat Goureden, écuyer de la duchesse Anne, son sénéchal universel en Bretagne et son ambassadeur vers le roi d'Angleterre en 1/J89. On trouve dans cette paroisse le canton du Bourgneuf, qui fait partie de l'ancien bailliage de Duault, qui depuis peu a été réuni au domaine du roi sous le ressort de Carhaix; et la forêt de Duault. qui appartient à Sa Majesté, et contient environ huit cent quarante arpents de terrain : elle est entourée de murs fort antiques et en partie écroulés. Les ruines d'un ancien château des ducs, qu'on y aperçoit, nous prouvent que c'était autrefois un parc *. C'est dans cette forêt qu'est la source de la rivière d'Aulne*, qui va se perdre dans la rade de Brest, à seize lieues de là*; cette rivière et les autres du pays abondent en truites. Ce territoire est irrégulier et assez mal cultivé. On y voit des terres labourables, de bonnes prairies et beaucoup de landes". ********************** * Marteville et Varin (1843) : "... Outre l'église , il y a eu Duault les chapelles Saint-Servais et Saint-Nicodème. Le pardon de Saint-Servais est, ainsi que le dit notre auteur, un des plus fréquentés des environs; on nous a rapporté que cette chapelle était remarquable par ses sculptures. A 200 m. environ du moulin de Lobuen, on voit un menhir dont la dimension nous a été donnée, mais que nous ne pouvons nous empêcher de croire fort exagérée. M. de Lilois nous a transmis la véritable devise des Quélen : "Em peb amser quélen", que nous croyons devoir traduire ainsi : «En tout temps conseil» ce qui est tout à fait eu harmonie avec le langage héraldique. Il y a dans cette devise un de ces jeux de mots si fréquents dans le blason. En effet, Quélen signifie houx et aussi conseil. Le houx figure dans les armes de cette famille, à laquelle appartenait Mgr .de Quélen, récemment décédé archevêque de Paris. C'est à tort qu'Ogée place dans la forêt de Duault la source de l'Aulne. La rivière qui prend naissance en cet endroit est une des branches de l'Hyère, qui elle même se jette dans l'Aulne. Le parc de Duault, dont notre auteur suppose l'existence, était le principal haras des ducs de Bretagne, s'il faut en croire la tradition du pays. Lors du traité entre le duc de Bretagne et le comte de Penthièvre (voy. dom Morice, t. II, col. 582 et 655), le duc donna, entre autres gages, la châtellenie de Duault pour onze cents livres. » Géologie : schiste argileux, porphyres quartzifères Archéologie : Dom Morice, Preuves, t. I, col. 41 ; t. II, col. 1320. 1418; t. III, col. 348, 1021. On parle le breton". ********************** * Anonyme, vers 1860 : " DUAULT , 2,832 hab.; - bornée au N.- O. par Callac; au N.-E. par Pestivien; à l'E. par Maël-Pestivien , Peumerit-Quintin et Trémargat ; au S. par Kergrist-Moëllou et Locarn; à l'O. par Carnoët et Plusquellec; traversée par les chemins de grande communication Nos 11, 13 et 52, et par le chemin d'intérêt commun No 3l ; école de garçons, 50 élèves; de filles, 18 élèves; dépend de la perception de Callac; faisait partie de l'évêché de Quimper; on parle le breton. Territoire élevé, accidenté et montueux dans toutes ses parties; peu boisé dans quelques-unes et beaucoup dans d'autres. Il est sillonné par de nombreux cours d'eau qui se jettent dans l'Hière. Les terres, généralement légères ou semi-argileuses, sont susceptibles d'être améliorées. Les prairies forment le septième de la contenance totale, dont près de 1/4 est encore couvert de landes et de bruyères. - La forêt de Duault, qui contient environ 500 hectares, appartenait jadis aux ducs de Bretagne , qui y avaient un rendez-vous de chasse et y entretenaient un haras. Peut-être faut-il faire remonter jusqu'à eux l'enceinte murée dont on voit encore des traces au centre même de la forêt et qui portait le nom de Parc de Duault. C'était autrefois l'une des plus importantes forêts de notre province, et elle a fait, jusqu'en 1831, partie du domaine royal. Celle commune est divisée en trois succursales : Duault, Saint-Nicodème et Saint-Servais. La première est sous le patronage de saint Maudez, dont la fête a lieu le 3è dimanche de novembre; la deuxième a pour patron saint Nicodème, que l'église honore le 1er dimanche d'août ; enfin la troisième est sous l'invocation de saint Servais, dont la fêle et le pardon ont lieu les 12 et 13 mai. Il se rend à ce dernier pardon plus de dix mille pèlerins, non seulement du pays, mais encore du Morbihan et du Finistère, et ceux-ci, pendant longtemps, se sont livrés, régulièrement le 12 mai, après la procession à de véritables combats pour conquérir la bannière de saint Servais, dont la possession assurait de bonnes récoltes au vainqueur. Cet usage, auquel l'autorité a dû mettre fin , a souvent occasionné de graves accidents. L'église de Duault présente sur l'une de ses portes la date de 1589, et sur son clocher, celles de 1770 et 1721. Celle de Saint-Servais, beaucoup plus remarquable, appartient également au XVIè siècle; de même que les chapelles de Burtulet et de Saint-Yves. On voit, en Duault, neuf menhirs, dont trois près du village du Clajou et six dans la forêt ; plus deux dolmens, l'un près du village de Kerpinson et l'autre, plus intéressant, en face du château de Rosviliou. La partie la plus ancienne de ce château remonte au XVIè siècle; il a été restauré par Fleuriot de Langle, l'un des compagnons de La Peyrouse. Les manoirs de Kerivoallen, Kerfichant, Lezmabon, Coas-an-Amon sont convertis en fermes. On a trouvé , il y a quelques années, en Duault, plusieurs pièces de monnaie celtiques (ossismiennes). Cette commune est très giboyeuse, surtout dans le voisinage de la foret; ses rivières sont aussi très poissonneuses. Elle possède une scierie mécanique. Points culminants : Kerviou, 192 m.; Saint-Michel, 275 m.; Guerlevanou , 296 m.; menhir dans le bois, 294 m. ; Sainl-Nicodème, 279 m.; Quinquistilis, 288 m. Géologie : Schiste argileux; entre Duault et Landugen , porphyre quartzifère. Maires : MM. 1790, Vauchel ; 1794, Quenec'hdu ; 1796, Le Bonhomme; 1798, Le Moine; 1798, Le Lostec; 1800, J. Conan; 1806; Y. Conan; 1808, Le Lostec; 1846, Bercot; 1853 , Thomas; 1833 , Courtois, maire actuel". ********************** * Régis de Saint Jouan (1990) : "Un arrêté du 19 avril 1869 sépara de Duault le territoire de deux nouvelles communes : Saint-Nicodème et Saint-Servais (jadis Burtulet)". ********************** Maires de Duault : MMs VAUCHEL, 1790; QUENEC'H-DU, 1794; LE BONHOMME, 1796; LE MOINE, 1798; LE LOSTEC, 1798; J. CONAN, 1800; Y. CONAN, 1806; LE LOSTEC, 1808; BERCOT, 1846; THOMAS, 1853; COURTOIS, 1855; |
Paroisse : église sous le vocable de saint Maudez. |
Miz Du 2006 - Novembre 2006 |
Patrimoine.
Archéologie : seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs
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Galerie de photos |
Diskouezadeg poltrejoù |
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Étymologie / Gerdarzh : * Ogée (1780) : * Régis de Saint-Jouan (1990) : " Duault-Kaelen (sic) est cité parmi les bénéfices du diocèse de Quimper taxés en 1368. Cette paroisse, appelée ensuite Duault ou Duault-Quelen, avait pour succursales Burthulet, (ou Burtulet), Landugen, Locarn, et Saint-Nicodème... Duault-Quelen devint Duault en application du décret des 20/23 juin 1790 ..." * Bernard Tanguy : "Duaut, 1269, 1305; Duaut Kelen, vers 1330; Duaut Kaelen, 1368; Duaut, 1375, 1391, 1445; Duault Quelen, 1574; en breton : Duod". "Le nom de son chef-lieu, homonyme de villages de Pommeret, Trébry et Trédarzec, est un nom descriptif, vieux-breton si on en juge par l'ordre des termes, formé de du "noir" et alt (en moyen-breton aut, en breton moderne aod) "hauteur, colline", équivalent des Duallt gallois, antithétique quant au sens à Guénault, village de Perret, formé avec le beton gwenn "blanc". * Erwan Vallerie (1995) : "Duaut, 1304; Duaut, 1330; Duault Kaelen, 1368; Duau, Burginovi in Duaut parrochia, 1371; Duault, 1391; Duault, 1448; Duaust, 1479; Duault Quelen, 1516; Duhaut, 1533; Duault, 1566; Deuot Quelen, 1630; Duaut, 1709" * Hervé Abalain (2000) : "Duaod (de du aod), "colline noire". Explication étymologique : breton du = noir, et alt = hauteur, colline. |
Personnes connues |
Tud brudet |
Jean l'OLIVIER
de la paroisse de Plourac'h; sénéchal de Duault-Quelen, anobli en 1462 (PPC) |
Jean l'OLIVIER
eus parrez Plourac'h; senechal Duaod-Kelen, bet laket war roll an noblañs en 1462 (PPC) |
Charles-Claude de BROSSARD né à Duault le 4 janvier 1733; habitant à Pluvigner, Morbihan; chef chouan, a soutenu le débarquement raté des royalistes à Quiberon, en 1795; capturé, il est condamné à Vannes le 24 nivôse AN IV / jeudi 14 janvier 1796. |
Charlez-Glaod a VROSSARD bet ganet e Duod, ar 4t a viz Genver 1733, o chom e Pleuigner, Mor-Bihan; penn chouan, en eus skoazellet an dilestradur c'hwitet ar roueelerien e Kiberen, e 1795; bet tapet, eo bet kondaonet e Gwened ar 24 nivôse AN IV / Yaou 14t a viz C'hwevrer 1796. |
Jean-Marie-Yves LOYER Grand-Fault, Duault, 07.08.1802 / *** ? Maire de Glomel, 1830/1834; Représentant des Côtes du Nord, 1848/1849 |
Jan-Mai-Iff LOYER Faout-Vras, 07.08.1802 / *** ? Maer Gronvel, 1830/1834; Kannad evit an Aochoù an Hanternoz, 1848/1849 |
le Bahezre | de Beaucours | Le Bigot | de Budes | Fleuriot de Langle |
seigneurs
dudit lieu en Saint-Mayeux,
trève de Saint-Gilles;
de Tananguen et de Lanlay, en Plésidy;
de Mesfantan, du Cosquer, en Bourbriac;
de Kerfichant et Rosviliou, en Duault;
de Créamblay, en Maël-Pestivien;
de Kervénargant, en Guilers;
du Rest, du Quenquis, en Locarn;
de Kerbéno et du Goullo, en Plouray
références et montres de 1447 à 1562; maintenus par arrêt du Parlement de 1675 "d'argent, au lion de gueules, armé et lampassé de sable" "en arc'hant, e leon en gwad, krabanet ha teodet en sabel" (PPC) |
Seigneurs dudit lieu, en Bothoa; de la Rivière, en Ploësquellec; de Lopuen et Roc'hcleuz, en Duault; de Lostalen, en Peumeurit-Quintin; de Kermorvan, en Mur; du Cosquer, en Lignol; de Kermarker et Kerourhin, en Ploërdut "de gueules à trois éperviers d'argent, becqués, membrés et grilletés d'or" "en gwad e zri sparfell en arc'hant, pigoset, iziliet, ha grizilhonet en aour" - Guillaume, obtient lettres de rémission en 1505, pour avoir tué Nicolas Garic, son neveu, époux de Jeanne de Beaucours, remariée à Gilles du Matz, maître d'hôtel de feu duc François II. La branche de Kermarker fondue vers 1650 dans Hervé. - François, débouté à l'intendance en 1699 (PPC) |
"d'argent à l'écureuil de pourpre, couronné d'or" "en arc'hant, e c'hwinver en mouk / limestra, kurunet en aour" |
"d'argent, au chevron de gueules, accompagné de trois quintefeuilles d'azur" "en arc'hant, e gebrenn en gwad, heuliet gant teir fempdiliaouenn en glazur" Devise / Sturienn : "semper florent" |
l'Olivier | ||||
"d'argent à la fasce de gueules, grillée d'or, accompagnée de trois quintefeuilles de gueules. "en arc'hant, e dreustell en gwad, kaeliet en aour, heuliet gant teir fempdiliaouenn en gwad" devise / Sturienn : Nobili pace victor Jean l'Olivier, sénéchal de Duault-Quélen, anobli en 1642 (PPC) |
de Quélen |
ramage de Poher baron dudit lieu en 1512 et seigneur de Locquénvel, en Duault; de Kerelleau, en Kermaria-Sulard; baron du Vieux-Châtel, en Plounévez-Porzay; seigneur de Saint-Bihy, en Plélo; de Tressigneaux, en Plounez; du Dresnay, en Plougras; de la Roche, de l'Oursière, de la Ville-Chevalier, en Plouagat; du Plessix-Eon et de Kerjean, en Plufur; de Kerampont, du Clos, de Kerlabourat, en Saint-Gilles-Pligeau; de Kerhoz, en Pleubian; de la Saissonnais, de Castelriec, de la Croix-Cholin, en Ploufragan; de la Villetual, de la Villeglé, de Kerlan, en Sibiril; de Keroc'hant et du Mescam, en Hanvec; de Kerprigent, en Plounérin; de Kerbridou et du Rest, en Plouézoc'h; de Guernisac et du Vieux-Châtel, en Taulé; de Pontplancoët, en Plougasnou; de Kermouster, en Langoat; de Châteaufur, en Plounévez-Lochrist; de Kermartin, en Minihy-Tréguier; de la Vieille-Motte, en Tonquédec; de Saint-Hugeon, en Brélévénez; de Kernéguez (Loguivy-Lannion ?) "burelé d'argent et de gueules de dix pièces" "goudreustellet etre arc'hant ha gwad a zek pezh" sceau / siell 1372 devise / sturienn : E peb amzer, Quélen (En tout temps Quélen) (PPC) |
Le Saint | |||||
seigneurs de Kerambellec et de Traonvoaz,
en Pleumeur-Gautier; de Loguével, en Duault; de Kergrist,
en Pleudaniel; de Kermartin, Kerluan, Coëtarsant, en
Lanmodez "d'argent au lion de sable, accompagné de quate merlettes de même, 3, 1" "en arc'hant, e leon en sabel, eilet gant peder moualc'henn ivez en sabel" références de 1481 à 1513 (PPC) |
Vie culturelle et associative |
Buhez dre ar c'hultur hag ar gevredadoù |
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Plusquellec / Pluskelleg |
Callac / Kallag |
Saint-Servais / Sant-Servez |
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Sources / Eien : - OGEE : Dictionnaire de Bretagne; 1780. - MARTEVILLE & VARIN : continuateurs et correcteurs d'OGEE, 1843 - Anonyme : Dictionnaire des communes des Côtes du Nord. vers 1863. - Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878. - Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1886. - Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970. - Michel de la TORRE : Guide de l'art et de la nature. Côtes du Nord. Berger-Levrault Editeur. 1978. - Michel de la TORRE : Guide de l'art et de la nature. Côtes du Nord. Nathan. 1985. - Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes . Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990. - Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992 - Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Côtes d'Armor. 1998. - Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Duault / Duaod : * lien communal : (par défaut) : https://lannuaire.service-public.fr/bretagne/cotes-d-armor/0dd79de1-2153-4dc1-98c7-3065e335d443 * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Duaod * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |