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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Bro hag Eskopti Sant-Maloù

Pays et Évêché de Saint-Malo

  Gaël * Gaèu

*Gwazel

 

pajenn bet digoret ar 07.02.2006 page ouverte le 07.02.2006     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 24/10/2024 19:49:56

Définition / Displegadur : Commune de la Bretagne historique, en Bro-Sant Maloù; évêché de Saint Malo.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département d'Ille et Vilaine; arrondissement de Rennes; canton de Saint-Méen le Grand; sur le Meu.

Ethnonyme : les Gaëlites.

Code postal : 35290

Superficie : 5210 ha.

Population : 3800 'communiants' vers 1780 (y compris ceux du Bran et de Muhel); 2522 hab. en 1878; 2641 hab. en 1881; 1673 hab. en 1968; 1484 hab. en 1982; 1351 hab. en 1999.

Armoiries; Blason / Ardamezioù; Skoed :

* Editions Flohic :  'd'argent à la croix guivrée de gueules (cf. de Bellevue)'. Blason peint dans la mairie de Gaël, représentant celui de Raoul de Gaël, en 1066.

* M. Froger et M. Pressensé : "de gueules à la croix d'argent gringolée d'or". Modifié du sceau des Montfort-la-Canne (1373). Raoul de Gaël participa à la conquête de l'Angleterre en 1066 et reçut les comtés de Norfolk et Suffolk. Il bâtit le château de Montfort en 1091 et en prit le nom".

* JC Even : "En gwad e groaz en arc'hant naerek en aour"

Paroisse; Parrez : église sous le vocable Saint Pierre.

A Bran, l'église est sous le vocable de saint Nicodème.

Histoire / Istor :

* Ogée (1780) : Gaël; sur la rivière de Muhel et sur la route de Ploërmel à Saint-Méen; à 12 lieues 1/2 de Saint-Malo, son évêché [aujourd'hui Rennes], à 8 lieues 1/3 de Rennes, et à 3 lieues 5/4 de Plélan, sa subdélégation. Cette paroisse a une haute-justice, qui appartient à M. de Montigny et ressortit au siège royal de Ploërmel. On y compte 3800 communiants, y compris ceux du Bran et de Muhel [Muel], ses trêves. La cure est présentée par l'abbé de Saint-Méen. En 540, les forêts de Paimpont, de Brécilien, de la Hardouinais, de Moncontour et de la Noue, formaient une seule forêt, qui s'étendait depuis Gaël jusqu'à Corlay, et partageait la Bretagne en deux parties, dont l'une se nommait le pays en deçà [Porhoët], et l'autre le pays au-delà de la forêt [Trécouët]. L'an 600, Caduon, seigneur de la majeure partie de cette forêt, donna un terrain à saint Méen, à condition qu'il aurait élevé un monastère sur la rivière de Muhel, à peu de distance de son château : ce que le saint se hâta d'exécuter. Ce monastère fut brûlé en 814. On érigea sur ses ruines une église paroissiale, qui fut donnée, l'an 1001, à Hugueton, abbé de Saint-Méen, par Alain III. fils du duc de Bretagne Geoffroy Ier. Depuis ce temps, Gaël a toujours dépendu de cette abbaye. La seigneurie de cette paroisse appartenait, en 1065, à Raoul de Gaël, qui, en 1070, passa en Angleterre avec cinq mille Bretons que lui avait donnés Alain Fergent, duc de Bretagne, pour aider Guillaume, duc de Normandie, à conquérir le royaume d'Angleterre, auquel il était appelé par le testament du roi Edward ou Edouard, mort sans enfants. Harald, qui disputait le trône au Normand, lui livra bataille et fut vaincu. Guillaume, pour récompenser Raoul de Gaël, lui donna les comtés de Norfolk et de Suffolck, dont sa postérité a joui très-long-temps. Les descendants de ce seigneur se sont toujours distingués dans les armes. Cette illustre famille subsiste encore en Bretagne, en la personne de M. le comte du Largez. ( Voy. Louargat.) L'an 1192, le pape Célestin III confirma, à l'exemple de Lucius et de Clément, ses prédécesseurs, par une bulle adressée à Rolland, abbé de Saint-Méen, son abbaye dans la possession des privilèges et des biens qui lui avaient été donnés en aumône sur l'église de Gaël. On voyait jadis un fort château, qui, après avoir soutenu plusieurs sièges, fut enfin pris, en 1373, par Bertrand Duguesclin, connétable de France. Il n'en reste aujourd'hui que les masures, avec les traces des fossés. En 1386, le fief de Pelmorvan, que le vicomte de Dinan avait acheté l'an 1180, appartenait à Raoul, sire de Montfort. — La paroisse de Gaël est décorée de plusieurs manoirs et maisons nobles, qui appartenaient, en 1420, savoir : la Gallonaye, à Jean Desalles; la Ville-Boschet, à Eon Agan; le Chêne, à Jean Gouezel; la Cornillière, à Dom Jean Relle; Couetti-Bœuf, à Pierre Gourhaut; la Haye-Bellouan, à Jean Bellouan; la Haye, à Guillaume de la Haye; la Bouexière, à Guillaume l'Evêque; le Plessis-au-Prévost, à Jean le Prévost; l'Est-Nest, à Guillaume Quejau; le Plessis-Guelier-au-Hereu, à Alain le Prévost; la Houssaye, à Geoffroy de la Houssaye; Rosaez, à Philippe des Salles; la Ville-Raoul, à N. du Vauferrier; la Touche, à Olivier Anne; la Noë, à Gilles Bino; le Haut-Eau, à Pierre Lance; Herran, à Geoffroy de Comper; Treguern, à Guillaume de la Haye; le Villeu, à Jean Bourgneuf; le manoir de la Ville-au-Harang, à Jean le Prévost; de Conq-Jaillo, à Guillaume Rouxel; de la Lande, à Olivier de la Lande; de la Touche, à Gilles Bino; Dufau [du Fau] et de la Chesnaie-Giffart, à Jean Dufau [du Fau]; du Val, à Jean Blanchart; du Clos, à Jean Rouxel; les maisons nobles du Plessis-Marban, de la Ville-Mor-Fouacé, du Pont-Quillet et du Presguel. La seigneurie de cette paroisse était, en 1470, au seigneur de Laval. Elle était alors presque toute en forêt. Le bois n'y est pas si abondant aujourd'hui. Les terres y sont assez fertiles; mais il y a beaucoup de landes.

* Marteville et Varin (1843) : GAEL (sous l'invocation de saint Pierre) : commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins son ancienne trêve Muhel, ou mieux Muel (voy. ce mot); aujourd'hui succursale; chef-lieu de perception.— Lim. : N. le Loscouët, Saint-Méen;  E. Saint Onen, Muel; S. Concoret; O. Mauron, Saint-I,éry, lllifaut. — Princip. vill. : la Ville-ès-Vieux, la Ville-Moisan, Launai, Branghux, Limplet, la Chevalerie, Ras-fois, la Grée, le Pont-Gérard, le Fau, le Brell, le Bran (chapelle desservie), Peslan, la Haye-Delouati, la Ville-Roux, le Villeu de la Haye, la Ville Clouet, le Bois-Bily, la Ville-ès-Guillois, les Rues-Hirel, Clemelin, Lesnée, Louya, la Haye-Goudal. — Maisons remarquables : la Ville-Roux, la Chênaie-Ribard, le Plessix au-Provôt, les Rosais, la Haye-Goulu. — Superf. tôt. 5205 hect. 62 a., dont les princip. div. sont : ter. lab. 2822; prés et pat. 361; bois 192; verg. et jard. 45, landes et incultes 1587; étangs 2; superf. des prop. bât. 27; cont. non imp. 169; Const. div. 577; moulins 7 (du Fau, du Roux, des Rosais, de Gaël, de la Haye, à eau; de la Tertrais, à vent; 1 moulin à tan). >>> Le nom de Gaël a subi de nombreuses transformations; mais on trouve plus fréquemment Guadel et Wadel (Dom. Morice, Preuves, t. I, col. 3, 4, 34, 35 ). On trouve aussi cette église nommée Sancti Judicaëlis de Gadel. — Quoi qu'il en soit, les antiquaires ont voulu faire de Gaël un lieu d'une haute et célèbre antiquité. On a dit entre autres que cette localité avait été capitale de l'ancien royaume de Domnonée (Alain Bouchart, Annales,'f. xxx). « Je crois, nous écrit M. l'abbé Oresve, que ce qui a pu accréditer cette opinion, c'est que Gaël était sans doute le principal château de la couronne domnonéenne. Situé dans les bois, il devait être un rendez-vous de chasse; et le séjour qu'y faisaient les princes bretons a donné l'occasion de le regarder comme capitale d'un petit royaume. » Ce n'est point ici le lieu de discuter ce qu'a été ou ce qu'a pu être la Domnonée. — «Hoël III, nous dit encore M. l'abbé Oresve, habitait le château de Gaël. Une vieille légende, citée parle V. Albert, l'appelle le roi des bois, rex arboretanus. Judicaël, son »flls, qui lui a succédé, habitait aussi ce château. C'est le
sentiment de Gallet. — Ogée se trompe en disant que Cadwon donna un terrain à saint Méen pour bâtir un monastère auprès de son château, sur la rivière de Muhel : 1° Caduon  ne demeurait point où est Gaël; 2° saint Méen ne bâtit point son monastère sur la rivière de Muhel. — Judicaël fit bâtir un petit monastère ou prieuré auprès du château de Gaël. Il était desservi par les moines de Saint-Méen. Ce prieuré fut probablement détruit par les troupes de Charlemagne, et rebâti aux frais de ce prince, puisque la Chronique de Bretagne, sur l'an 799, nous dit qu'il concéda à Dieu et à saint Judicaël l'église de Gaël avec tout son peuple, par la main d'Helogar, évêque d'Aleth. Carolus-Magnus concessit Deo et sancto Judicaëli ecclesiam de Guadel, cum totâ plèbe, per manum Helocari, episcopi Aletensis.— Il est encore fait mention de cette église aux années 1008 et 1192 comme affiliée au monastère de Saint-Méen.  — La gloire de Gaël s'éclipsa après la chute de la royauté en Bretagne. Son château détruit et rebâti devint l'apanage de Raoul Ier, sire de Gaël. (Voy. sa généalogie dans les notes sur Montfort. ) — Guillaume Ier, seigneur de Montfort, donna plusieurs droits et terres en Gaël aux chanoines réguliers qu'il venait de fonder près Montfort, en 1152. Voici le nom des terres : la terre de Prestebol, de Charbonel, de Folohël, d'Even et de Garnier de la Noë, la terre de Dodelient, la terre des fils de Rivalt de la Lande, la terre des fils de Judicaël, fils de Moysen. Hugues, fils de Respet, donna tout ce qu'il avait de droit héréditaire. Hervé, fils de David, donna deux maisons. Amice de Porohët, épouse de Guillaume, donna le droit de marché : Dedit igitur Amicia uxor mea in Gaël venditionem panis et carnis. (Tiré de l'acte de fondation. ) — On distribue à Gaêl des eaux qui sont, dit-on dans le pays, un spécifique contre la rage. Leur nature n'est pas bien déterminée. On ignore depuis quand on en fait usage.  — Cette commune est traversée dans sa partie nord, d'abord du nord au sud, puis de l'ouest à l'est, par le Meu, dit aussi Men et Muhel. Elle contient quelques petits bois, tels que ceux du Plessix au Prévôt, de la Basse-Haie, de Grénédan. — Il y a foire le 22 août, dite de Saint-Symphorien, et le 18 octobre, dite de Saint-Luc. — Marché le mardi. — Géologie : schistes argileux; schistes talqueux au Bran. — Archéologie : Albert de Morlaix, p. 326, 330, 882. — On parle le français. — (Il faut voir aussi sur Gaël l'intéressant ouvrage de M. Baron du Taya, Brociliande, Rennes, Vatar, 1839, in-8°. )

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* Mr le Recteur de Tréhorenteuc (1955), p. 4 : "Le petit bourg de Gaël a eu autrefois une grande notoriété, car il fut, au moyen-âge, une véritable capitale. Au VIIè siècle, il était la capitale de la Domnonée, et, au XIè, capitale d'une grosse province d'Angleterre, l'Est-Anglie, au nord de Londres.

L'église de Gaël a été construite pour l'usage d'un monastère; mais elle a été transformée et elle a été dotée récemment de magnifiques peintures murales;

Le château de Gaël aurait sûrement aujourd'hui un intérêt énorme. Il a vu naître une famille de 22 enfants dont 8 sont sur les autels, et a vu passer tant de personnages historiques qu'il est impossible de les citer. Malheureusement, au XIVè siècle, les Occupants devaient adhérer au parti anglais, et du Guesclin, plus soucieux des intérêts de la France que de ceux de la Bretagne, sa patrie, en ordonna la destruction. Il n'en reste que l'emplacement, à la sortie du bourg à droite, sur la route de Mauron". "

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Maires de Gaël : 

Patrimoine. Archéologie / Glad. Arkeologiezh :

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Le bourg Ar bourg
Église saint Pierre (XIè, XVè, XVIIè, XVIIIè, XIXè) Iliz sant Per
Église saint Nicodème, au Bran (XVIIIè, XXè) Iliz sant Nigouden, er Bran
Chapelle sainte Marguerite Chapel santez Marc'harid
Chapelle du Louya (1556-1925)

St Jacques et St Christophe

Chapel Louya

St Jakez ha St Kristol

Chapelle Sainte-Santé (reconstruite en 1959) Chapel ar Yec'hed-Santel
Château de la Ville-Roux (XVIIè, XVIIIè) Kastell la Ville-Roux
Manoir du Plessix-Provost (XVIIè, XIXè) Maner Plessix-Provost

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Image provenant de Wikipedia

Image provenant de l'annuaire des mairies

Étymologie / Gerdarzh

* Marteville et Varin (1843), reprenant Dom Morice : Guadel et Wadel

* Dauzat et Rostaing (1963) : "nom de personne breton ethnique: latin Gallus (désignait les peuples celtiques insulaire)"

* Jean-Yves Le Moing (1990) : Wadel, 816, BO/DM & Vadel, monaterium, 851 CR & de Gadello, 1330 LO.

* Erwan Vallerie (1995) : Guadel, 799; Wadel, 814; Vadel, 851; Wael, 1096; Gael, 1112; Gael, Gaelo, 1152; Gael, 1152; Gueel, 1362; Gael, XVIè; Gael, Gails; 1709; 

* Éditions Flohic (1996) : "du celtique waddel, "gué", d'après celui, implanté au sud de la commune, qui permet de traverser le Meu à pied".

* Hervé Abalain (2000) : "Guadel, 799; Vadel Monasterium; hagionyme : Gaël"

Personnages connus Tud brudet
saint Méen sant Meven
saint Judikaël sant Judikael
Raoul de Gaël Raoul Wadel
Famille Desalle (1440)  
Famille Decastelle (1887)  

Armorial * Ardamezeg

Aribart  de Bellouan du Fau de Quéjau
seigneurs de la Chesnaye, en Gaël

"d'argent à trois chevrons de gueules"

"en arc'hant e deir c'hebrenn en gwad"

Colin, notaire-passe à Gaël en 1440.

Famille fondue dans le Bel puis dans Maceot et la Landelle

(PPC)

 Seigneurs dudit lieu et de Couësbily, par. de Ménéac; de la Villefief et du Bois-du-Loup, par. d'Augan; du Closmarquer; de Vay, par. de ce nom; du Vaujouan, par. d'Allaire; du Bois-de-la-Motte, par. de Trigavou; de Tréméreuc, par. de ce nom; de la Haye, par. de Gaël; de la Minière et de la Mottay s, par. de Réminiac; de Montorin; du Vauniel, par. de Guer; de la Haultière, par. de Chantenay.

Anc. ext. chev., réf. 1668, douze gén., réf. et montres de 1426 à 1536, par. de Ménéac, Augan, Gaël et Réminiac, év. de Saint-Malo, et Allaire, év.  de Vannes.

"de sable, à l'aigle éployée d'argent"

"en sabel, e erez dispak en arc'hant"

- Olivier, croisé en 1248 (cab. Courtois);

- Gilles, fils d'Etienne, donne, en 1297, à son frère juveigneur Etienne, le lieu de Couésbily en Ménéac; 

- Pierre, connétable de Ploërmel, commandant l'artillerie au siége de Châteauceaux en 1420

- Guillaume, son fils, auteur des seigneurs du Vauniel qui existent encore, marié, en 1435, à Marie de Scépeaux; 

- Jean, chevalier de l'Hermine en 1454

- Isabeau, abbesse de la Joie en 1469

- Un membre admis aux honneurs de la Cour en 1787.

La branche aînée fondue en 1558 dans Avaugour Saint-Laurent.

La branche de Vay a été substituée au XVè siècle aux nom et armes d'Avaugour, par le mariage de Jean, sr de Vay, avec Blanche d'Avaugour, dame de Kergroix, dernière du nom. La branche de la Villefief issue de la précédente, fondue en 1572 dans la Fresnaye.  

(PPC) 

seigneurs dudit lieu et de la Chesnaye-Giffart, en Gaël; du Bois-Guérin, en Sixte

"de gueules à trois fasces d'argent"

"en gwad e deir dreustell en arc'hant"

références et montres de 1440 à 1513

(PPC) 

 

 

 

 

seigneurs dudit lieu en Campénéac; de Lesnée en Gaël

"d'argent à trois roses de gueules"

"en arc'hant e deir rozenn en gwad"

références et montres de 1440 à 1543

(PPC)

 

       
        Rabuan
        seigneurs de la Croix, en Mérillac; du Pont, en Landehen; de la Brière, en Saint-Launeuc; de la Chèze, en Gaël; du Rocher et des Roudais, en Lanrelas; de la Hamonnaye, en Saint-Onen-la-Chapelle; de la Moisonnière, en Irodoer; du Coudray, en Talensac.

"d'argent à trois rocs d'échiquier de gueules, celui de la pointe soutenu d'un chevron renversé et alesé de même; à la bordure de sinople"

"en arc'hant, e zri roc'h-gwezboell en gwad, an hini ouzh beg skourret gant ur gebrenn war e eneb ivez en gwad; e vevenn geotet"

(Arm. 1696)

(PPC)

Vie culturelle et associative Buhez dre ar kultur hag ar gevredadoù
   

Les basons et triscèles rouges sont des liens actifs

Communes du canton de Saint-Méen-le-Grand Parrezioù kanton *Sant-Meven
Bléurais *Blerwaz
le Crouais *ar Groez
Gaël / Gaèu *Gwazel
Muel *Moel
Quédillac *Kedilieg
Saint-Malon-sur-Mel *Sant-Malon
Saint-Maugan *Sant-Malgan
Saint-Méen-le-Grand *Sant-Meven
Saint-Onen-la-Chapelle *Santez-Onenn

Communes limitrophes de Gaël / Gaèu Parrezioù tro war dro *Gwazel
Plouasne Saint-Méen le Grand Saint Onen la Chapelle Muel Concoret Mauron Saint-Léry Mauron

Sources; Bibliographie / Eien. Levrlennadur

* OGEE : Dictionnaire de Bretagne; 1780.

* A. MARTEVILLE et P. VARIN : continuateurs et correcteurs d'OGEE. 1843.

* Adolphe JOANNE : Géographie d'Ille-et-Vilaine. Hachette. 1878.

* A. DAUZAT et Ch. ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Guénégaud. 1963. Édition 1978. 

* Mr le Recteur de Tréhorenteuc : Curiosités et légendes de la forêt de Paimpont. Éditions du Ploërmelais. 

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux de Haute Bretagne. Coop-Breizh. 1990.

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez. Corpus. An Here. 1995

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Morbihan. 1996. 

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes d'Ille et Vilaine. 2000

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

* J.L RAMEL et A.J. RAUDE : Liste des communes du département de L'Ille et Vilaine. Rolaey dez comunn deu departamant deu l'Ill e Vilaeyn. Roll komuniou an departamant Il-ha-Gwilen.  Maezoe-Heveziken. 2003.

* Daniel DELATTRE : L'Ille et Vilaine. Les 352 communes. Éditions Delattre. 2004. 

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et Ille et Vilaine. 2008.

Liens électroniques des sites Internet traitant de Gaël  / *Gwazel

* lien communal : https://www.mairie-gael.bzh/plan-du-site/

 Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Gwazel#Anv

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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